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August 17, 2021 | Local, Aerospace, C4ISR, Other Defence

Canada, U.S. vow stronger protection against ‘greater and more complex’ missile threat

Statement from Defence Minister and U.S. Secretary of Defence appears to represent a deepening of Canada-U.S. collaboration in protecting North America from missile threats

https://www.theglobeandmail.com/politics/article-canada-us-vow-stronger-protection-against-greater-and-more-complex/

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  • Boeing Launchpad Canada

    February 2, 2021 | Local, Aerospace

    Boeing Launchpad Canada

    Message de Philippe Huneault, Délégué du Québec à Los Angeles : L'accélérateur Boeing Launchpad Canada, développé par Boeing HorizonX Global Ventures, Boeing Commercial Airplanes, Boeing Canada et le Service des délégués commerciaux du Canada, prenait fin la semaine dernière. Je tiens à féliciter les dix entreprises canadiennes participantes, notamment les trois entreprises québécoises @KEITAS SYSTEMS, @Paladin AI et @Warp Solutions Inc. Des félicitations toutes particulières à Paladin AI (@Adofo Klassen et @Mikhail Klassen), qui ont été déclarés gagnants du programme ! La performance des entreprises québécoises à ce programme est un parfait exemple de la pensée novatrice et orientée vers les solutions que le Québec peut apporter à l'industrie aérospatiale en ces temps difficiles. J'ai très h'te de poursuivre les démarches que la Délégation du Québec à Los Angeles a entamées à Seattle et de continuer à supporter les entreprises québécoises qui visent ce marché à fort potentiel pour leurs produits et services.

  • Talon Helicopters AS365 Dauphin ready to fight fires at night

    June 23, 2020 | Local, Security

    Talon Helicopters AS365 Dauphin ready to fight fires at night

    Talon Helicopters of Richmond, B.C., is ready to take on nighttime fire attack missions with its night vision goggle (NVG) approved Airbus AS365 N2 Dauphin — the only Transport Canada approved NVG night fire attack medium helicopter in Canada. The nine-passenger aircraft, configured with a night vision cockpit and cabin, has been approved for day and night fire attack operations with the Simplex Model 301 belly tank, which can hold up to 901 litres (238 gallons) of water. Peter Murray, president of Talon Helicopters, said the company is taking advantage of the benefits and safety factors of NVGs, and “the ability to not have a grounding time.” Talon's AS365 is approved to fight fires at night with the Simplex Model 301 belly tank, which can hold up to 901 litres of water. Heath Moffatt Photo He added: “With doing initial attack at night... if a fire starts at 11 p.m. and you're on it at 11:30 p.m., of course you're going to reduce the impact the fire makes if you're on it six or eight hours earlier than if you got on it in the daylight. . . . So we're right on the leading edge of all this.” The NVG certification for the Dauphin has been a multi-year project for Talon. Murray said the company has had the capabilities to fight fires at night for just under a year now, but recently received approval from Transport Canada for all part 702/703 operations with NVGs, which includes flying passengers at night. All of the company's pilots have completed basic NVG training, and “the AS365 pilots have done advanced NVG [training],” said Murray, “so they can go into remote areas and land at night with NVGs.” Murray said the Dauphin outfitted with the Simplex tank is 30 per cent faster than other belly tank-equipped mediums. “It's a fast tank for this machine. With the snorkel stowed, it's 140 knots VNE. . . . With the snorkel on its 120 [knots]. If you're going out to do initial attack and go a distance, you're going to go there at 140 knots and you're going to get there faster,” he said. The Simplex tank has an easy install process with four hard points on the aircraft, and can be removed just as easily for a different mission configuration. “You can probably do the whole hook change and remove the tank within 20 minutes or a half-hour,” said Murray. In place of the belly tank, the Dauphin can be equipped with a 350-gallon FAST Bucket for daytime wildfire operations. A multi-mission helicopter, Talon's Dauphin is also used for medevac, search and rescue, aerial lift work and passenger transport operations. “We call it the Swiss Army knife of helicopters because we have a full approved stretcher kit (we got that approved in Canada), and then we have the hoist as well; we're approved for day and night hoisting” using Transport Canada approved crew harnesses and evacuation equipment, and a 300-foot hoist cable with a 600-pound load limit. Along with its night fire attack and nighttime hoist certifications, Talon is approved for night hover entry/exit. The aircraft has a number of STC'd avionics upgrades including the Garmin GTN 750 touchscreen navigator, helicopter terrain awareness warning system, traffic collision avoidance systems, and automatic dependent surveillance-broadcast. Building on the company's NVG firefighting capabilities, Murray said Talon is looking into collecting data on daytime and nighttime fire attack operations to evaluate the difference in the cost of fighting the fires and the cost of losing resources like trees, as well as structures. For example, “what would happen if we put 20,000 litres of water around one burning tree at nighttime... what would we have in the morning? Would it be a mop up for a couple of days, instead of a two-month production?” he said. While the current Covid-19 crisis has delayed these data-gathering initiatives, Murray said the company is still working to pursue them in the near future. https://www.skiesmag.com/news/talon-helicopters-as365-dauphin-fight-fires-night

  • JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    October 22, 2019 | Local, Aerospace

    JOUER LES MÉCHANTS PROFITE À TOP ACES

    JEAN-FRANÇOIS CODÈRE L'armée de l'air américaine a choisi vendredi sept entreprises, dont la montréalaise Top Aces, pour venir « jouer les méchants » lors de ses entraînements. Le contrat pourrait permettre à Top Aces de doubler sa taille et devrait confirmer qu'elle deviendra bientôt le premier opérateur privé au monde d'avions de chasse F-16. Fondée il y a 15 ans par trois anciens pilotes de chasse canadiens, Top Aces offre aujourd'hui aux armées canadienne et allemande des services d'entraînement pour leurs pilotes. Top Aces fournit ses propres pilotes, sélectionnés parmi les meilleurs de leur profession, et ses propres avions afin de servir d'adversaires. Le marché est prometteur. De 100 à 150 millions de dollars qu'il représentait jusqu'à tout récemment à l'échelle mondiale, il pourrait bientôt toucher les 3 milliards, gr'ce notamment à l'entrée en scène des Américains. Eux aussi ont découvert l'intérêt de sous-traiter le rôle de l'ennemi : coûts inférieurs et des heures d'entraînement plus productives pour les pilotes. « Un pilote qui joue à l'adversaire est limité et il n'utilise pas ses heures de vol à son plein potentiel », rappelle Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces. CONTRAT AMÉRICAIN Vendredi, l'armée américaine a retenu sept entreprises à l'occasion d'un appel d'offres pour un contrat-cadre d'une valeur maximale de 6,4 milliards US. Ces sept entreprises seront donc admissibles à participer aux appels d'offres à venir de 12 bases américaines. « Chacune de ces bases représente un contrat plus important que celui que nous avons pour l'ensemble du Canada. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Avec ses 29 appareils F-16 achetés de l'armée israélienne, Top Aces devrait être l'entreprise la mieux équipée du lot. Elle est déjà la plus importante en matière d'heures de vol effectuées. Elle devrait donc principalement se concentrer sur les bases aux besoins les plus évolués, celles qui abritent des F-35, par exemple. À elle seule, cette expansion américaine représente un investissement de 450 millions US pour Top Aces. En plus des appareils, il faudra embaucher des pilotes, des ingénieurs et des mécaniciens. Une cinquantaine de pilotes américains ont déjà reçu des promesses d'embauche. Un ancien officier américain de haut rang quittait le bureau de M. Toussaint au moment où La Presse y est entrée. Il venait de passer un entretien d'embauche. Top Aces s'apprête à accueillir de nouveaux investisseurs institutionnels, « dont certains québécois », qui lui permettront de franchir cette étape. Clairvest, de Toronto, et JPMorgan ont déjà une place dans son capital. D'autres bonnes nouvelles pourraient aussi survenir au cours de la prochaine année. Le Royaume-Uni est à la recherche de services du même genre, tout comme l'Australie, dont Top Aces a été le fournisseur pendant une période d'essai de deux ans. MOINS COÛTEUX Si les services de Top Aces représentent des économies pour les armées de l'air, ce n'est pas en raison du coût du personnel. Les pilotes sont rares et l'entreprise doit les payer à leur valeur, dit M. Toussaint. L'économie vient plutôt des appareils. En attendant ses F-16, Top Aces fournit ses services à l'armée canadienne avec 16 appareils Alpha Jet, des avions d'abord conçus pour l'entraînement et qui coûtent moins cher à manœuvrer que les F-18 de l'armée. Leurs performances moindres ne sont pas vraiment significatives dans la plupart des contextes, explique M. Toussaint. « On n'est pas à 50 % des F-18, on est plutôt autour de 90 %. C'est le dernier 10 % qui coûte cher. » — Didier Toussaint, cofondateur et chef des opérations de Top Aces Environ 2000 heures de vol sont encore effectuées par des F-18 qui servent d'adversaires dans les contextes où la performance de l'appareil est critique. Top Aces s'occupe du reste. Les jeunes pilotes, moins expérimentés, gagnent à affronter des avions inférieurs dirigés par des pilotes plus expérimentés, indique d'abord M. Toussaint. Les Alpha Jet sont aussi convenables dans des simulations impliquant de nombreux appareils, où la performance de chacun est moins importante. Finalement, l'entreprise fournit aussi des services à la marine, aux forces spéciales et à l'armée de terre. Les soldats s'entraînent à commander des frappes aériennes et la nature de l'appareil qui répond à leurs commandes importe peu. Quant à la marine, elle s'exerce à tirer sur des cibles en forme de missiles traînées par des avions d'affaires Learjet, au bout d'un c'ble. Si l'interminable saga du renouvellement de la flotte d'avions de chasse finit par aboutir, le Canada se retrouvera équipé d'avions encore plus performants que les F-16 que détiendra Top Aces. Encore là, pas de souci, selon M. Toussaint. « Ce qu'on réplique, ce sont des avions ennemis, essentiellement russes ou chinois pour être clair. Nos F-16, qui seront bien équipés, vont faire le travail. » http://plus.lapresse.ca/screens/b56ec892-2a8d-495c-8972-04df52fe2b08__7C___0.html

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