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January 24, 2019 | Local, Aerospace

Canada to keep paying for F-35 development as fighter-jet competition ramps up

LEE BERTHIAUME, OTTAWA, THE CANADIAN PRESS

Canada is poised to contribute tens of millions of dollars toward further development of the F-35 stealth fighter even as the federal government wrestles with whether to buy the plane or not.

In an interview with The Canadian Press, the Department of National Defence's head of military procurement says there are no plans for Canada to quit as one of nine partner countries in the F-35 stealth fighter program until after the Trudeau government completes the competition to determine which fighter jet will replace Canada's aging fleet of CF-18s.

“We're committed to staying there (in the program) until we understand where the competition will bring us,” said Patrick Finn, assistant deputy minister of material at National Defence.

The competition is expected to be launched this spring.

The F-35 is one of four planes currently slated to participate in the $19-billion competition, which will result in the purchase of 88 new fighter aircraft to serve as the air force's backbone for the coming decades.

The Trudeau Liberals campaigned on a promise not to buy the F-35s in 2015, but have since backed away from that pledge. The Harper Conservatives first announced plans to buy 65 F-35s in 2010, but ran into controversy over cost.

Staying on as a partner in the F-35 program comes with advantages, Finn says, including the ability for Canadian companies to compete for billions of dollars in contracts associated with building and maintaining the stealth fighter.

Partners are also allowed to buy the F-35 at a lower price than non-partners, who must pay a variety of fees and other costs to purchase the plane.

“We want to keep the F-35 as an option, as a contender in the competition,” Finn said.

“We want to also make sure that while that's unfolding, that Canadian industry that have competitively won contracts get to continue to do that.”

The Defence Department says Canadian companies have won more than $1.25-billion in F-35-related contracts over the years.

Yet there are also costs to being a partner; Canada has so far invested more than $500-million into the program over the past 20 years, including $54-million last year.

Its next annual payment is due this spring and there will likely be more as the competition isn't scheduled to select a winner until 2021 or 2022. The first new aircraft is expected in 2025 and the last in 2031.

There are some technical issues that government officials are working through that could impact how it runs the competition to replace the CF-18s.

One of those is how to ensure the various bids are all measured equally. In addition to Lockheed Martin's F-35, bids are expected from Boeing's Super Hornet, Eurofighter's Typhoon and Saab's Gripen.

All four companies recently provided feedback on a draft process that the government has drawn up to run the competition, and another round of consultations is scheduled for mid-February.

A big question facing Lockheed is how it can meet Ottawa's usual requirement that companies who are awarded large military contracts invest back into Canada on a dollar-for-dollar basis.

The F-35 partnership agreement that Canada signed with the other countries bars such promised investments and instead stipulates that companies must compete for the work.

Finn said all four jet companies have unique challenges and circumstances, and that officials in charge of the competition could inject some flexibility into how the requirement is handled.

“There is absolutely flexibility and I would say my colleagues in (the federal industry department) demonstrate that on a weekly, monthly basis,” he said.

“They would be the first to say, and they're very good at saying, is: ‘Well listen, the first intent is to get the right military capability. We want to have the offsets as well, and with a given market segment, what it is that we do and how do we do it.“'

https://www.theglobeandmail.com/politics/article-canada-to-keep-paying-for-f-35-development-as-fighter-jet-competition

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  • Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    June 17, 2019 | Local, Aerospace

    Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    POSTED BY: AEROMORNING « Accelerating through digital turbulence », tel est le titre de l'étude menée par Accenture en 2017, et Jean-Louis Rassineux, directeur exécutif, nous fait partager la vision de sur les enjeux de l'aéronautique et de la défense dans le monde. « Le secteur aéronautique et spatial a connu une croissance extrêmement forte jusqu'en 2014, date où l'on annonçait des prises de commandes record dans les salons, et Accenture souligne une baisse de 50% qui se fait sentir depuis 3 ans au niveau mondial » affirme Jean-Louis Rassineux. L'un des défis majeurs de cette industrie consiste à accroître efficacité et croissance dans un secteur qui évolue lentement avec une baisse des commandes de nouveaux appareils en Europe et en Amérique du Nord, mais aussi avec des climats instables, des risques géopolitiques, et l'aggravation des conditions économiques dans certains pays. L'accroissement des cadences chez les avionneurs pèse aussi sur la production qui doit se réinventer pour être plus compétitive. Au niveau du marché de la défense, Accenture évoque de nouvelles perspectives de croissance avec un budget monde estimé à 400 Milliards de dollars, en augmentation faible sur 5 ans. Toutefois une forte croissance sur ce marché défense est liée aux risques, avec une part croissante sur les drones, une tendance de fond qui se confirme. Bien que le contexte d'évolution soit lent, la défense se porte bien et progresse. En croissance depuis deux ans gr'ce aux succès importants qui se sont succédés, et notamment en France avec le Rafale par exemple, l'enjeu aujourd'hui pour la défense est aussi de remplir les accords de contrepartie qui vont avec les ventes et d'arriver à avoir une chaîne de production qui permette de donner un équilibre à ces contrats, de gérer les questions de compétences dans le pays. L'avènement de la transformation numérique, la clé pour affronter tous les enjeux: Accenture analyse l'avènement de la transformation numérique du secteur aéronautique et spatial comme une tendance lourde pour faire face aux nouveaux enjeux. L'une des clés pour la croissance est d'utiliser des technologies d'analyse de données afin d'améliorer les opérations, la chaîne d'approvisionnement et l'intégration de systèmes afin de proposer des services plus attractifs pour leurs clients. Autre tendance lourde observée, le développement des services. L'aspect service digital est devenu un des leviers de croissance. Pour illustrer cette transformation numérique, dans son enquête menée en 2017, pour 68% des entreprises de l'aéronautique et du spatial des sommes considérables ont été investies dans les technologies du numérique, aussi bien pour l'externe que pour l'interne qu'il s'agisse de fabrication additive, de machine learning, d'applications intelligentes, de réalité augmentée. Déjà à la pointe du mumérique depuis la conception du B777 ou de l'Airbus A350 conçu à l'origine entièrement en CAO sur les logiciels de Dassault Systèmes, les entreprises du secteur Aérospatial et défense vont encore plus loin. Au-delà de cette première étape de transformation numérique l'enjeu majeur est d'appliquer cette transformation numérique déjà initiée sur toute la chaîne de valeur, à partir d'objets connectés. Pour citer un exemple, Accenture et Airbus ont collaboré en « mode start-up » pour développer une application « wearable » de pointe dédiée au secteur de l'aérospatial et de la défense : des lunettes intelligentes qui permettent d'améliorer la précision et de réduire la complexité des procédés d'aménagement des cabines, en réduisant notamment le temps nécessaire pour le marquage des sièges en moins d'un mois.. Opérant à partir d'Instructions contextuelles à propos du marquage, les lunettes connectées affichent toutes les informations nécessaires pour aider l'opérateur à marquer le sol plus rapidement et à éliminer tout risque d'erreur. Cette technologie implémentée par Accenture permet une grande interactivité en offrant un accès à diverses fonctions telles que la lecture de codes à barres, la récupération des données dans le cloud, la commande vocale et la réalité augmentée. Gr'ce à cette innovation technologique, les emplacements des sièges peuvent être marqués au millimètre près, permettant ainsi de vérifier leur précision et leur qualité dans tous les avions. De multiples applications digitales de réalité virtuelle sont ainsi portées sur l'industrialisation, sur le développement du produit. L'enjeu, et on assiste à énormément d'essais, c'est de passer du POC, du pilote, à l'industrialisation en série. C'est en ce sens qu'Accenture développe la stratégie digitale en interne à travers toutes ces opérations de production, de support (finance, RH, achats) et assiste ses clients dans la bonne utilisation du digital de la meilleure façon. Il y a eu beaucoup d'apports à l'industrie gr'ce à la réalité augmentée, avec d'heureux effets sur l'emploi, car elle aide l'aéronautique à avoir une meilleure image, moins ancienne et traditionnelle, apporte un facteur d'attractivité sur les aspects formation, en privilégiant l'interactivité plutôt que les « slides » froids et muets. En somme, selon Accenture, tout l'enjeu est d'arriver à trouver les bons leviers pour permettre en interne d'être compétitif, en externe, d'offrir les meilleurs produits et services. Et le big data dans tout ça ? Dans un avion, on a 1 teraoctet (mille milliard d'octets) de données sur un vol, ce qui équivaut à environ 200 vidéodisques numériques et le traitement des données peut devenir clé pour la maintenance prédictive aéronautique. Le grand enjeu est de savoir comment utiliser ces données en vol, et au sol sans s'y perdre et d'en sortir de la valeur ajoutée en matière de conception, de maintenance, de services et de coûts. Par exemple, imaginer des avions performants qui s'échangent les données de vol, ou tout un tas d'applications qui permettent en temps réel de saisir des trajectoires, d'utiliser des données, d'optimiser des routes, d'économiser du gazoil, etc.... Le data lake est né, pour stocker et restituer de façon intéressante et innovante les données en vue de plus de compétitivité. L'intelligence artificielle améliore les Fonctions du support, offre de nouvelles possibilités en matière financière ou en matière de ressources humaines Big data, et mise en place d'applis intelligentes (machine learning), permettent d'envisager l'intelligence artificielle dans l'industrie aéronautique et de doper la croissance. l'innovation, les universités et les startups : Les entreprises aéronautiques ont compris cette nécessité de se remettre en question. L'innovation est aujourd'hui un levier incontestable et c'est pourquoi en 2017 la connection avec les startups et les universités est devenue centrale dans les stratégies de ces dernières, qui de plus en plus nouent des partenariats pour être à la pointe de la meilleure bonne idée, pour créer les meilleurs produits et services, et puisqu'on est souvent en phase de proof en concept, pour réduire les coûts au cas où le POC ne dépasserait pas la phase pilote. Autant pour la recherche que pour le financement, les alliances réduisent les coûts, agrègent des compétences, et en s'allliant avec des petites startups, les grandes entreprises créent de cette façon un réseau d'intelligence. La solution est de se rapprocher de l'écosystème de l'innovation et de travailler collaborativement. Accenture, acteur du digital, apporte de nombreuses solutions gr'ce à son expertise, à sa philosophie, et non moins important son sens de la responsabilité sociétale, n' oubliant jamais l'humain au centre de ces évolutions. Elle remporte ainsi de nombreux succès, fait d'ailleurs partie des grands partenaires du Gifas depuis plus de 10 ans, est aussi partenaire des plus grands salons mondiaux tels Le Salon du Bourget ou celui de Farnborough. « On vit une période fabuleuse d'opportunités, et Accenture, au cœur de cette révolution est passé de consultant à acteur, partenaire industriel du marché de l'aéronautique et de la défense. Nadia Didelot pour AeroMorning http://www.aeromorning.com/blog/enjeux-de-laeronautique-de-defense-monde-vision-daccenture/

  • Simthetiq Awarded Contract from Canada’s DND

    December 7, 2018 | Local, Aerospace

    Simthetiq Awarded Contract from Canada’s DND

    Simthetiq has been awarded a new contract under the CASE SEM contract from the Canadian Department on National Defence (NDN) to grow the Canadian Armed Forces's (CAF) access to additional simulation entity models from their interoperable 3D Model Library. Simthetiq was selected in 2016 for the unique benefits offered by their X1 library, such as the ability to publish to multiple simulation formats, accessto source files and the capacity to further enhance the 3D models with crucial functionalities such as material encoding for sensor/thermal simulation. Vincent Cloutier, CEO of Simthetiq said “We are extremely proud of our continuing role as a supplier to the Canadian DND. We are looking forward to supporting the growing needs of existing and new CAF customers as well as expanding the use of Simthetiq's library by other allied nations.” http://www.canadiandefencereview.com/news?news/2584

  • Q&A: Female leaders at Lockheed Martin Canada reflect on the importance of women in aviation

    March 6, 2023 | Local, Aerospace

    Q&A: Female leaders at Lockheed Martin Canada reflect on the importance of women in aviation

    In celebration of Women of Aviation Worldwide Week 2023, two female leaders at Lockheed Martin Canada share their career experiences and reflect on why it?s important for women to be part of the aviation industry.

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