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July 25, 2023 | Local, Aerospace

Canada orders more Airbus A330 tankers, hires firm to convert planes

Canada’s contract with Airbus, which covers delivery of the four new A330s and conversion of the five used aircraft, is worth about $2.7 billion.

https://www.defensenews.com/air/2023/07/25/canada-orders-more-airbus-a330-tankers-hires-firm-to-convert-planes/

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  • Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    August 27, 2020 | Local, Aerospace

    Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    OPINION / L'avion qui doit enfin remplacer nos CF-18 devrait être choisi dans les prochaines semaines. Débuté en 1997 (!), ce processus devrait permettre à nos Forces aériennes de recevoir leurs premiers nouveaux appareils à partir de 2025. Trois aéronefs sont en lice : le F-35 A de Lockheed-Martin, le F-18 E de Boeing, dit le Super Hornet, et le JAS 39 de SAAB, dit le Gripen. Mais comment les départager ? Tout d'abord, rappelons que chacun de ces trois appareils répond aux exigences de nos Forces aériennes. Le gouvernement évalue les trois possibilités selon les critères suivants : 60 % pour les performances/caractéristiques techniques des avions, 20 % pour les coûts et 20 % pour les retombées économiques au Canada. En ce qui a trait aux performances/caractéristiques, le F-35 est le seul des trois qui soit « furtif », c'est-à-dire qu'il est pratiquement invisible pour les radars ennemis. Par contre, son rayon d'action sur réservoirs intérieurs est limité et avec des réservoirs extérieurs, il perd beaucoup de sa furtivité. Étant l'appareil le plus récent, c'est celui qui dispose des systèmes électroniques les plus modernes. En fait, la principale faiblesse du F-35 réside dans le fait qu'il s'agit d'un avion extrêmement capricieux, qui est affecté par un nombre incroyable de problèmes techniques, dont plusieurs sont toujours non résolus à ce jour. Il en résulte qu'en moyenne, au moins 50 % des F-35 livrés ne peuvent voler, étant en révision/réparation. Ce taux de non-disponibilité est l'un des plus élevés de tous les avions militaires existants et on questionne fortement la capacité réelle de cet avion à livrer ses performances théoriques. Un bon exemple de cela est que, lors du dernier spectacle aérien de Bagotville, un des deux F-35 américains (qui n'ont pourtant présenté que deux courtes démonstrations de 15 minutes) est tombé... en panne ! Au niveau des performances/caractéristiques, le Super Hornet est supérieur à nos CF-18 actuels, mais inférieur au Gripen, qui est plus fiable que les deux autres. Cet appareil est aussi le plus rapide des trois, le plus maniable, celui qui a le meilleur rayon d'action et est le meilleur en termes de combat aérien. Par contre, la capacité du Gripen d'opérer avec les autres avions américains est questionnée. Pourtant, cet avion effectue régulièrement des missions conjointes avec ceux des autres pays de l'OTAN et il a été déclaré admissible à tous les appels d'offres de remplacement des CF-18. De plus, comme son coût d'acquisition/utilisation est de loin le plus bas des trois avions en lice, cela permet d'envisager que même en y ajoutant des frais d'adaptation au système d'interopérabilité du NORAD, il demeurera bien plus abordable que les deux autres. Au niveau financier, voici le coût total, par heure de vol, des trois appareils en dollars canadiens : le F-35, 58 300 $, le Super Hornet, 17 800 $ et le Gripen, 10 500 $ (source Aviatia). L'avion suédois est donc près de six fois moins coûteux que le F-35... Au niveau des retombées économiques au pays, le Canada est déjà un « partenaire industriel » du programme F-35. Cela signifie que plusieurs entreprises canadiennes (et québécoises) sont qualifiées comme fournisseur, à raison d'environ 2,6 millions $ par appareil. Au total, il a été estimé que 325 emplois seront ainsi créés au Canada (soit 9500 personnes/années en 30 ans). Le ministère de la Défense du Canada a affirmé à plusieurs reprises que faire partie du programme industriel F-35 ne nous oblige pas à acquérir obligatoirement cet avion. Cependant, en termes de retombées économiques canadiennes, il est utile de rappeler que depuis 2009, le F-35 est considéré par les Américains comme un appareil à technologie « sensible ». Cela signifie qu'une bonne partie de l'entretien qui est actuellement réalisé par nos militaires à Bagotville et à Cold Lake, ainsi que par l'entreprise qui a pris la suite de Bombardier à Montréal pour les CF-18 actuels, sera réalisé aux États-Unis dans le cas du F-35. Environ 2500 militaires et civils sont actuellement employés au Canada à l'entretien des avions de chasse. Combien perdront leurs emplois, notamment ici dans la région, si le F-35 est choisi ? De plus, durant les 30 ou 40 ans où nous utiliserons le F-35, les Américains ne pourraient-ils par augmenter sensiblement ces coûts d'entretien une fois que nous serons dépendants d'eux ? Pour le Super Hornet, le même niveau de retombées économiques qu'avec l'actuel CF-18 est à prévoir, alors que le fabricant du Gripen a déjà annoncé que, contrairement au F-35 ou au Super Hornet, il s'engage à le produire dans une nouvelle usine au Canada. Bien que théoriquement supérieur, le F-35 est donc un choix prohibitif en termes de coûts et hasardeux au niveau de la fiabilité ou du nombre d'emplois en entretien qui seront perdus au Canada. Le Super Hornet est un choix performant, beaucoup moins cher et plus fiable que le F-35. Le Gripen est de loin l'avion qui répond le mieux à nos besoins, au moindre coût et avec la fiabilité maximale. En terminant, souvenons-nous que le Super Hornet est fabriqué par Boeing, la même compagnie qui a réussi à faire imposer des droits compensatoires de 219 % aux Série C de Bombardier destinées aux États-Unis. Cela a précipité la chute de la division aéronautique du fleuron québécois, tout en lui faisant perdre sept milliards $ (dont deux provenaient du gouvernement du Québec). Le Gripen de SAAB est d'origine européenne. Ne pas toujours être dépendant des Américains, ça aussi, c'est défendre la souveraineté du Canada! Roger Boivin Président de Groupe Performance Stratégique https://www.lequotidien.com/opinions/carrefour-des-lecteurs/remplacement-des-cf-18-une-occasion-deconomiser-et-de-repondre-aux-americains-7015f0786a4fb446a03530adab548da5

  • LE MARCHÉ MILITAIRE À LA PORTÉE DES PME RÉGIONALES

    January 23, 2020 | Local, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    LE MARCHÉ MILITAIRE À LA PORTÉE DES PME RÉGIONALES

    SAGUENAY – La plupart des PME croient que le marché de la défense et des équipements militaires est complexe et inaccessible. En réalité, ce n'est pas le cas. C'est ce qu'ont expliqué Rock Lemay et Patrick Sirois de la firme Triodeaux quelque 40 entrepreneurs de la région lors d'un déjeuner-conférence organisé par la Société de la Vallée de l'Aluminium(SVA), ce matin, au Manoir du Saguenay. « Il est important pour les PME de comprendre que les contrats ne concernent pas les armements et les avions, par exemple. Il y a plein de petites et grandes entreprises qui ont découvert le marché militaire. Ce marché de la défense et des équipements militaires qui avait été délaissé pendant plusieurs années au Canada, connaît une recrudescence dans les investissements afin de renouveler les équipements nécessaires aux soldats. Il ne s'agit pas seulement des produits de haute technologie, mais également de produits et de l'équipement communs tels que les bateaux, les camions, les plateformes, les uniformes et bien d'autres. Par exemple, l'entreprise d'autobus Prévost a une division militaire. L'armée a acheté 1 500 camions en France et Prévost doit les habiller avec des équipements adaptés. C'est là que les sous-traitants rentrent en ligne de compte et peut fournir des équipements comme des coffres, échelle, pièces de métal, plateforme, etc. », explique Patrick Sirois, président de Triode. Forte croissance Au cours des 10 prochaines années, les besoins du marché de la défense connaîtront une forte croissance. Les budgets pour le renouvellement des équipements sont déjà votés et alloués et les différents départements de l'armée s'affairent à déterminer leurs besoins avant d'aller en appel d'offres. « Autre facteur intéressant, Développement économique Canada (DEC) a mis en place au cours des dernières années une politique de retombées industrielles et technologiques qui favorisent les PME et les régions. En gros, cette politique assure que même si le contrat est octroyé à des entreprises étrangères, celles-ci n'auront d'autre choix que de travailler avec des fournisseurs ou des partenaires locaux pour faire de la recherche ou de l'assemblage de produits. » En fait, les prochaines années promettent d'être très intéressantes dans ce marché. Nul besoin d'être impliqué dans des projets d'armement. « Il y a beaucoup d'équipements pour lesquels la défense canadienne cherchera des fournisseurs, tels que des remorques, des ponts, des ponceaux, des équipements logistiques, des conteneurs ainsi que l'ensemble de l'équipement nécessaire à installer et soutenir des campements temporaires. Tous ces projets représentent de belles opportunités pour les entreprises de la région », affirment M. Sirois et son collègue Rock Lemay en précisant que le marché de la défense et des équipements militaires est de plus en plus accessible pour les PME qui savent se préparer et qui ont un minimum de processus déployés dans leur organisation. Enfin, soulignons que ce déjeuner-conférence servait à démystifier le processus et de permettre aux PME qui le désirent d'êtres accompagnées tout au long de la démarche par la SVA et son créneau d'excellence. (Texte en collaboration avec Guy Bouchard) https://informeaffaires.com/regional/manufacturier-et-fournisseur/le-marche-militaire-a-la-portee-des-pme-regionales

  • Liberals launch negotiations to buy F-35 fighter jets | CBC News

    March 30, 2022 | Local, Aerospace

    Liberals launch negotiations to buy F-35 fighter jets | CBC News

    The Canadian government has chosen the F-35 as its preferred replacement for the air force's four-decade-old CF-18 fighters and will open negotiations with the stealth jet's manufacturer, Lockheed Martin.

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