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April 25, 2024 | International, Aerospace

Bombardier gets federal exemption from sanctions on Russian titanium | CBC News

Bombardier is now the second large Canadian corporation known to have been granted an exemption from federal government sanctions on Russian titanium.

https://www.cbc.ca/news/politics/bombardier-airbus-titanium-russia-ukraine-1.7185311

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  • La France veut consacrer près de 300 milliards d'euros à sa défense en sept ans

    February 8, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR

    La France veut consacrer près de 300 milliards d'euros à sa défense en sept ans

    Par Challenges le 08.02.2018 à 08h45 Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Régénérer les hommes et moderniser les équipements, durement sollicités, tout en préparant l'avenir : c'est l'ambition du nouveau projet de loi de programmation militaire (LPM) français, qui prévoit de consacrer 295 milliards d'euros à la défense de 2019 à 2025. Objectif de cet "effort budgétaire inédit", selon les propos du président Emmanuel Macron : porter les dépenses de défense de la France à 2% du PIB en 2025, conformément à ce que réclame l'Otan de la part de ses membres, selon cette LPM présentée jeudi matin en conseil des ministres dont l'AFP a obtenu les détails. Le budget des armées, de 34,2 milliards d'euros en 2018, va bénéficier d'une hausse de 1,7 milliard d'euros par an jusqu'en 2022, avant des "marches" de 3 milliards par an à partir de 2023. Soit après la prochaine élection présidentielle. Cette trajectoire budgétaire ascendante contraste avec les réductions d'effectifs et les tensions financières endurées pendant plus d'une décennie par l'institution militaire, avant un redressement amorcé après les attentats de 2015. Reste une incertitude quant à la forte hausse des moyens programmée en 2024 et 2025, au-delà du quinquennat Macron. Pour l'heure, ce sont 198 milliards d'euros de besoins, de 2019 à 2023, qui sont "couverts de manière ferme", souligne-t-on au ministère. Les montants des années suivantes seront "précisés" lors d'une actualisation de la LPM en 2021. L'ancien chef d'Etat-major des armées Pierre de Villiers a appelé à la vigilance mercredi soir sur France 3, en soulignant que la mise en oeuvre de ces projections budgétaires était rarement fidèle aux engagements initiaux. "Nous sommes sur une pente à 1,7 milliard jusqu'en 2022 et ensuite la pente est à 3 milliards à partir de 2023 (...) Evidemment, nous avons l'expérience, il faudra être vigilant" sur l'exécution de ces engagements, a lancé le général, qui a démissionné en juillet 2017 après un conflit avec le chef de l'Etat en raison de coupes budgétaires. Le projet de LPM érige en priorités l'amélioration du quotidien du soldat et à la modernisation d'équipements à bout de souffle, alors que la France est engagée tous azimuts, au Sahel (opération Barkhane), au Levant (Chammal) et sur le territoire national (Sentinelle). Livraisons accélérées et augmentées Après quelque 60.000 suppressions d'effectifs entre 2005 et 2015, le ministère des Armées ambitionne de créer quelque 6.000 postes d'ici à 2025, en particulier dans la cyberdéfense (1.500) et le renseignement (1.500). Pour améliorer la condition des quelque 200.000 militaires français et les fidéliser, la LPM augmente nettement les crédits consacrés aux petits équipements (+34% sur 2019-23) -- gilets pare-balles, treillis... --, à l'entretien du matériel (+30%) et aux infrastructures (+71%), longtemps négligés. Deuxième grand axe : la modernisation accélérée des matériels existants, nombreux à aligner plusieurs décennies de service, a été privilégiée, et l'accent mis sur les capacités de renseignement (avions, drones, satellites...) susceptibles d'accroître l'autonomie stratégique française et européenne. L'armée de Terre va voir le renouvellement accéléré de ses véhicules blindés médians (programme Scorpion), dont 50% des nouveaux modèles seront livrés d'ici à 2025. Les fameux VAB, 40 ans au compteur, seront remplacés par les blindés Griffon, dont 150 exemplaires supplémentaires seront commandés. La Marine obtient quatre pétroliers ravitailleurs nouvelle génération, dont deux d'ici à 2025, un b'timent spécialisé dans le recueil de renseignement, et 19 patrouilleurs au lieu des 17 prévus pour surveiller les zones économiques exclusives françaises outre-mer. L'armée de l'Air se voit allouer 8 avions légers de surveillance, et le renouvellement accéléré de sa flotte quinquagénaire d'avions ravitailleurs Boeing KC-135 par 15 A330 MRTT, dont 12 auront été livrés en 2023. Pour préparer l'avenir, la France va lancer des études sur le remplacement de son unique porte-avions, qui sera retiré du service vers 2040. Seront également financées des études sur le système de combat aérien du futur et sur le char de combat du futur. Sur le plan de la dissuasion nucléaire, clé de voûte de la défense française, les travaux de renouvellement des deux composantes (navale et aérienne) seront engagés au cours du quinquennat. Budget estimé : 37 milliards d'euros entre 2019 et 2025. (Avec AFP) https://www.challenges.fr/entreprise/defense/la-france-veut-consacrer-pres-de-300-milliards-d-euros-a-sa-defense-en-sept-ans_566000

  • A New NATO Buyer For JLTV; More Buyers On The Way?

    October 7, 2019 | International, Land

    A New NATO Buyer For JLTV; More Buyers On The Way?

    The sale to Montenegro might be small, but the US push into the Balkans will not make Moscow happy. By PAUL MCLEARY WASHINGTON: In a sign the floodgates may be opening for allies to buy the Army's newest tactical vehicle, the US appears to be finalizing a $36 million agreement with Montenegro to sell them dozens of brand-new Joint Light Tactical Vehicles. The tipoff came this morning when Secretary of State Mike Pompeo, who is visiting the country, said the US “offered an agreement to Montenegro for the largest sale of military equipment in the history between our two nations. The United States looks forward to delivering $36 million worth of light tactical vehicles to our NATO ally once this agreement is finalized.” A defense official confirmed the deal is for 67 Oshkosh-made JLTVs. If the deal goes through, Montenegro would become the fourth NATO ally to express interest or actually buy into the program, though so far Lithuania is the only country to receive US approval after the State Department signed off on a $170 million deal with the Baltic nation for 500 JLTVs in August. Mike Ivy, Oshkosh's senior VP for international programs, wouldn't comment on the Montenegro deal, but told me via email the “JLTV was intended from the beginning to be an international program,” pointing out the common systems on the vehicle make it easier for allies to work together in the field. A vastly larger sale is in the works with the UK, which is considering buying 2,747 JLTVs as part of its Multi Role Vehicle-Protected program. British Army officials acknowledged for the first time earlier this month that Oshkosh has been working on a UK variant. In October 2018, Slovenia also signed a Letter of Offer and Acceptance for 38 JLTVs, though no deal has been finalized. Montenegro joined NATO in 2017, and is a critical part of the Balkan region's slow turn away from their Russian-dominated past, which Washington and NATO have taken pains to nurture. “It is of strategic importance for Montenegro to have US and EU presence in the Balkans so there would be no space for those countries who do not share the same values,” Montenegro Prime Minister Dusko Markovic said alongside Pompeo Friday. Like so many DoD programs, the JLTV has had an exceptionally long and checkered past. The effort kicked off in 2006, eventually enduring a series of fits and starts before being forced to undergo a full requirements overhaul in 2011 after the Army realized the design would need to change to meet demands beyond those of counterinsurgency warfare. In 2015, Oshkosh was awarded a $6.7 billion contract for the initial 16,901 vehicles. In June the Army declared the JLTV was finally ready for full production, clearing the way for the sale of the truck to allies. Although the program spent 13 years churning through the development cycle, the JLTV has recently come under fire from the Army for being built for the wars in Iraq and Afghanistan, and not the potential conflicts of tomorrow against peer adversaries like China and Russia. In April, then-Army Secretary and now Defense Secretary Mark Esper said the JLTV, like the Chinook helicopter, was “designed for a different conflict,” but could still play a role on the battlefield. That shot came around the same time that the service slashed $800 million from its planned JLTV purchases, which translates to at least 1,500 vehicles over the next five years. The cut is only a dent in the massive program's armor, however. The Army has not backed off plans to acquire almost 50,000 JLTVs over the life of the program, which will run into the 2030s. The Marine Corps is also slated to buy about 9,100 JLTVs in the coming years. The Army and Marine Corps are planning to buy four versions of the truck, a general purpose model, a turreted gun truck, a TOW anti-tank missile launcher and a two-door utility variant, basically a militarized pickup truck. https://breakingdefense.com/2019/10/a-new-nato-buyer-for-jltv-more-buyers-on-the-way

  • Army awards contract to build new TNT production facility in Kentucky

    November 12, 2024 | International, Land

    Army awards contract to build new TNT production facility in Kentucky

    The U.S. has picked a location to restart its TNT production domestically as it races to ramp up 155mm production.

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