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December 2, 2020 | International, Aerospace

Boeing Starts Production of T-7A Weapons Systems Trainers, Operational Flight Trainer

St. Louis, December 1, 2020 — The U.S. Air Force is one step closer to receiving its next-generation trainer as Boeing [NYSE: BA] started producing the T-7A Red Hawk's “real-as-it-gets” ground-based training system (GBTS).

Boeing teams are currently assembling the first two weapons systems trainers and an operational flight trainer at the company's St. Louis site. These simulators, which are the foundation for pilot training and key to the Air Force's readiness, can digitally connect to actual T-7A aircraft and enable live virtual constructive and embedded training scenarios.

“The Red Hawk's training system is arguably the most advanced in the world. It's a game changer,” said Chuck Dabundo, vice president of Boeing T-7 Programs. “This system is 100% integrated with the pilot's real-world experience, offering ‘real-as-it-gets' simulation. We're working closely with the U.S. Air Force and look forward to testing and fielding the devices.”

The training simulators are equipped with high-fidelity crew stations that include dynamic motion seats and the Boeing Constant Resolution Visual System's 8K native projectors, offering 16 times the clarity of traditional high-definition video (1080p).

“This is the most accurate, immersive experience that any pilot can have outside the aircraft,” said Sherri Koehnemann, T-7A Training & Sustainment director at Boeing Global Services. “We've integrated the training across the board, including ‘one push' software updates. What a pilot sees in the classroom, on his or her desktop training devices, and in the operational and weapon systems trainers will be what they see in the jet. Future pilots can expect more holistic, immersive training.”

The T-7A's GBTS was built on an open systems architecture of hardware and digital software that will allow it to grow with the Air Force's evolving needs.

Boeing expects to deliver the first T-7A Red Hawk simulators to the Air Force in 2023.

Boeing is the world's largest aerospace company and leading provider of commercial airplanes, defense, space and security systems, and global services. As the top U.S. exporter, the company supports commercial and government customers in more than 150 countries and leverages the talents of a global supplier base. Building on a legacy of aerospace leadership, Boeing continues to lead in technology and innovation, deliver for its customers and invest in its people and future growth.

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Contact:
Zeyad Maasarani
T-7A Training & Sustainment
Boeing Global Services
+1-562-400-5533
zeyad.maasarani@boeing.com

Randy Jackson
T-7A Program
Boeing Defense, Space & Security
+1 314-435-7588
randy.jackson@boeing.com

View source version on Boeing: https://boeing.mediaroom.com/news-releases-statements?item=130776

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    (B2) Un premier rapport du bureau enquêtes accidents norvégien (AIBN) l'affirme sans ambages. La collision entre une frégate de la marine norvégienne KNM Helge Ingstad et un tanker maltais (Sola TS) dans la baie de Hjeltefjorden en Norvège le 8 novembre, révèle un problème grave de conception sur certains navires fabriqués par les chantiers navals espagnols Navantia. Une alerte sécurité vient d'être envoyée Un naufrage à proximité des côtes Rappelons-nous, c'était juste après l'exercice de l'OTAN Trident Juncture, la frégate norvégienne (qui porte le numéro de coque F-313), effectuait des manœuvres à proximité des côtes, près du terminal pétrolier de ce fjord norvégien situé non loin de Bergen, quand il heurte le pétrolier qui naviguait en sens inverse. La collision ne provoque que peu de dég'ts dans le pétrolier, mais pour le navire militaire les conséquences sont autrement plus graves. Une enquête des bureaux d'accidents civil et militaire norvégiens La frégate norvégienne, qui fait alors partie de la force navale permanente de l'OTAN (SNMG1), est atteinte « au-dessus et au-dessous de la ligne de flottaison » et « absorbe énormément d'eau » comme le signale le ministère norvégien de la Défense. Il n'est plus stable et doit être échoué. Ses 137 marins doivent être évacués. Une enquête est alors diligentée associant le bureau d'enquête accidents maritime norvégien (AIBN) et son pendant militaire (DAIBN), auquel est associé l'unité d'enquête maritime maltaise (MSIU), autorité du pavillon du pétrolier. Les compartiments non étanches Trois compartiments étanches à bord du KNM Helge Ingstad sont inondés : « la salle du groupe électrogène arrière, les quartiers de l'équipage du pont Orlop et le magasin » selon le rapport de l'AIBN. La stabilité est jugée « médiocre », mais le navire est encore considéré comme 'sauvable'. Cette première évaluation ne résiste pas. L'eau gagne du terrain. Elle « coule de la salle des génératrices arrière vers la salle des engrenages via les arbres creux de l'hélice, puis de la salle des engrenages, vers les salles des machines avant et arrière via les boîtes de rangement dans les cloisons ». Quand la salle d'engrenage est inondée, l'évacuation des 137 marins est décidée. Le navire est considéré comme « perdu ». Huit marins sont légèrement blessés dans les différentes manœuvres. Le navire échoué coule à pic Les autorités espèrent encore pouvoir récupérer le navire, qui flotte toujours, en le fixant avec des c'bles. Mais dans la nuit du 12 au 13 novembre, ils s'arrachent et le navire coule à pic. Le navire est désormais considéré comme irrécupérable, même si les travaux sont toujours en cours pour être renfloué, comme le précise le ministère norvégien de la Défense. Perte sèche : 4,2 milliards de couronnes (environ 220 millions d'euros). Une enquête nécessaire chez Navantia L'autorité norvégienne préconise une vérification des navires norvégiens de même conception. Oslo dispose encore de quatre navires de la même classe — le KNM Fridtjof Nansen, le KNM Roald Amundsen, le KNM Otto Sverdrup et le KNM Thor Heyerdahl — construits sur les chantiers navals espagnols de Ferrol de Navantia. Elle demande ainsi à Navantia de mener « une enquête sur les problèmes identifiés lors de la première enquête et de déterminer s'il s'agit également d'un problème lié à d'autres navires ». L'industriel espagnol doit aussi envoyer une notification aux chantiers, propriétaires et exploitants concernés, pour leur indiquer « les mesures à prendre pour assurer la sécurité ». (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2018/12/un-defaut-de-conception-dans-les-fregates-de-type-nansen-le-chantier-navantia-mis-en-cause/

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