Back to news

August 16, 2019 | International, Aerospace

Bell 407GXi earns instrument flight rules certification

Bell Textron Inc., a Textron Inc. company, announced the Federal Aviation Administration (FAA) has issued an instrument flight rules (IFR) supplemental type certificate (STC) for the Bell 407GXi. The certification is a requirement for the Navy Advanced Helicopter Training System competition, enabling the Bell 407GXi to replace the Bell TH-57 Sea Ranger as the U.S. Navy's training helicopter.

Bell's replacement bid offers a unique combination of capability, ease of transition, and low sustainment costs, giving the best value to the Navy. Should the Bell 407GXi be selected for the U.S. Navy Advanced Helicopter Trainer program, the company plans to conduct final assembly of the aircraft in Ozark, Ala.

“The team did a great job ensuring the Bell 407GXi achieved the FAA's IFR certification necessary to meet all of the Navy's requirements,” said Mitch Snyder, president and CEO. “Bell is an instrumental part of the Navy's training program and has been for more than 50 years, and we look forward to continuing the tradition for the next generation of naval aviators.”

A Bell to Bell transition offers low-risk to the Navy by streamlining instructor pilot and maintainer transition training as well as using common support equipment and infrastructure. The 407 airframe has already proven capabilities as the platform for the MQ-8C Fire Scout for the U.S. Navy. Bell's customer service and support has established capability with cost-efficient and effective helicopter training solutions.

Bell proves its mature production and sustainment support capability every day by supporting more than 1,600 Bell 407s globally. These aircraft have nearly 6 million flight hours across the fleet and are actively performing flight training as well as military and para-public missions helicopter mission-set. The 407GXi's Garmin G1000H NXi Flight Deck enhances situational awareness and reduces pilot workload by delivering easy-to-read information at a glance. The Bell 407GXi's new IFR capability will allow all-weather operations while continuing to provide multi-mission capability safely, reliably, and effectively. The Bell 407GXi offers the lowest direct operating costs of any IFR-capable helicopter produced today. Combined with its proven performance, reliability, and ease of transition, the Bell 407GXi is the best value aircraft for U.S. Navy helicopter training.

https://www.skiesmag.com/press-releases/bell-407gxi-earns-instrument-flight-rules-certification/

On the same subject

  • Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    May 24, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Concentration industrielle en Europe : une nécessité autant qu'une opportunité pour la Défense

    Par Frédéric Dubois Dans les airs, sur terre ou sur mer, l'industrie européenne de la Défense vit actuellement de profondes transformations. Français, Italiens, Allemands, Britanniques, Espagnols... tous ces acteurs cherchent de nouvelles alliances dans un secteur de plus en plus concurrentiel. Mariages de raison ou de passion, les rapprochements entre grands groupes industriels sont devenus, depuis quinze ans, un passage obligé pour les entreprises qui veulent survivre sur ce marché hyper concurrentiel. Et les cas sont nombreux. Dans les airs, l'exemple le plus connu est certainement l'Eurofighter Typhoon, avion de combat bi-réacteur mis en service en 2004 par l'entreprise européenne Eurofighter GmbH. Aux manettes, quatre pays : la Grande-Bretagne, l'Allemagne, l'Espagne et l'Italie. Ce projet d'avion européen était sur la table depuis les années 70. Finalement, ces quatre pays ont uni leurs savoir-faire, laissant les Français sur la touche, car ces derniers préféraient faire cavalier seul avec le Rafale de Dassault. Entre les deux camps, les résultats commerciaux sont sans appel. En quinze ans, Eurofighter GmbH a vendu 538 exemplaires de son chasseur ; en quelques années de plus, Dassault a écoulé – seulement – 176 avions, en dépit d'une carrière opérationnelle nettement plus prestigieuse. Cette situation a poussé les Européens à revoir leur copie. En 2014, Français et Britanniques se mettent à plancher sur un projet – baptisé FCAS pour Future Combat Air System – afin de produire un avion de 6e génération. Trois ans plus tard, ils sont rejoints par les Allemands. Finalement, en 2018, Dassault annonce officiellement son partenariat avec Airbus Defence and Space dans le cadre du projet FCAS : l'Europe va ainsi se doter d'un nouveau système de défense aérienne avec l'héritier du Rafale, de l'Eurofighter Typhoon européen et de l'Hornet espagnol. Son nom (provisoire) : New Generation Fighter. Dans les airs, les Européens ont enfin compris qu'il valait mieux parler une seule et même langue face au Sukhoi Su-57 russe, et autres F-35 américain ou J-20 chinois. Des concurrents aux dents longues Quel que soit le secteur en Europe, les industries nationales jouent aujourd'hui leur survie face à des concurrents aux moyens nettement plus importants qu'auparavant, gr'ce à des marchés domestiques en forte dynamique et au soutien politique et financier d'états puissants. Après les airs, prenons la direction des océans. Le secteur de l'industrie navale a pris quelques longueurs de retard. En 2017, le quotidien français Le Mondetitrait : « Naval : le serpent de mer de la consolidation européenne ». Dans ce secteur comme dans les autres, le principe de « consolidation » est sur toutes les lèvres, la concurrence étant très sévère entre pays exportateurs. Deux géants se dressent face aux Européens : les Russes et surtout les Chinois, devenus la première puissance mondiale en la matière. En seulement dix ans. « Les groupes européens se sont trop souvent livré une guerre fratricide sur les appels d'offres internationaux, remarque Bertrand Gueynard, directeur du pôle Défense et sécurité du cabinet de conseil en stratégie CEIS dans les colonnes du Monde. Ils sont confrontés à la montée en puissance des arsenaux chinois, russes et même aujourd'hui japonais. Pour rester dans la classe mondiale, les rapprochements sont indispensables. Dans cette industrie, la taille est déterminante car elle permet d'offrir une large gamme de produits et de financer les investissements en recherche et développement nécessaires pour maintenir une avance technologique. Il faut toujours avoir un coup d'avance. » Motivées par le risque de disparition de certaines industries (les exemples sont nombreux hors défense), certaines entreprises européennes de l'industrie navale ont décidé de réagir avant qu'il ne soit trop tard. Des fleurons high-tech en Europe C'est le cas du Français Naval Group et de l'Italien Fincantieri. En 2017, Fincantieri a décidé de se lier à la France à travers deux projets : le rachat des Chantiers de l'Atlantique de Saint-Nazaire (les Sud-Coréens ayant jeté l'éponge) et l'alliance avec son homologue Naval Group. Ces deux entreprises étaient à la fois concurrentes lors d'appels d'offre internationaux et partenaires sur différents projets depuis trente ans, comme avec les frégates Horizon, un projet impulsé en 1991 par Hervé Guillou... devenu PDG de l'entreprise française en 2014. Lors de l'annonce de son alliance avec le PDG de Fincantieri Giuseppe Bono, Guillou a expliqué leur vision commune : « C'est une double ambition – à la fois d'offrir à nos deux pays les meilleures technologies au meilleur prix avec les meilleurs programmes pour garantir la supériorité de nos marines, mais aussi d'être capables d'avoir une présence mondiale suffisante pour assurer notre compétitivité et notre présence sur le marché – qui justifie notre rapprochement. » Cette volonté de la France et de l'Italie part d'un constat sans ambiguïté : l'Europe, et ses divers budgets de défense nationaux, n'a plus les moyens de faire vivre ni de maintenir toutes les compétences de l'ensemble des industriels de la construction navale. Les marchés commencent à opérer une sélection naturelle douloureuse, certains acteurs historiques commençant à connaitre de graves difficultés, notamment en Allemagne, aux Pays-Bas ou encore en Espagne. C'est une course pour la survie qui s'engage désormais. Les Européens ont donc tout intérêt à faire vite, d'autant qu'ils jouissent d'un savoir-faire et de technologies que le reste de la planète leur envie, avec des fleurons high-tech comme Leonardo, Thalès ou Safran. Car si la concurrence est aujourd'hui féroce, les atouts des Européens sont évidents et constituent de réelles opportunités pour les acteurs du Vieux continent. Encore faut-il qu'ils arrêtent de se mettre – trop souvent – des b'tons dans les roues. https://www.econostrum.info/Concentration-industrielle-en-Europe-une-necessite-autant-qu-une-opportunite-pour-la-Defense_a25636.html

  • Booz Allen Secures $506M Army Aviation Contract

    August 8, 2024 | International, Aerospace, Land

    Booz Allen Secures $506M Army Aviation Contract

    Under this five-year contract, Booz Allen will champion a Modular Open Systems Approach strategy, driving the development, integration, and fielding of critical technologies to empower the nation’s warfighters.

  • DOD budget pushing house cleaning pivot to leading-edge technologies: out with the old and in with the new

    February 21, 2020 | International, C4ISR, Security

    DOD budget pushing house cleaning pivot to leading-edge technologies: out with the old and in with the new

    Budget has $9.8 billion for cyber security and cyber warfare; $3.2 billion for hypersonics; and $800 million for artificial intelligence (AI) research. THE MIL & AERO COMMENTARY – The 2021 U.S. Department of Defense (DOD) budget proposal is out, and it looks like several years of consistent growth driven by the Trump Administration may be leveling off. A closer look, however, may indicate a pivot to new leading-edge technologies and away from legacy systems. DOD leaders in their fiscal 2021 budget request to Congress, which was released last month, are asking for $705.4 billion, which is down about 1 percent from this year's level of $712.6 billion. Before you conclude that the Pentagon budget has turned flat, however, take a look at where the money's going. First, the bad news: procurement. This is where big-ticket items like aircraft, combat vehicles, and ships get funding. The DOD's procurement budget request for 2021 is $136.9 billion, down nearly 7 percent from this year's level of $147.1 billion. Contained in the DOD budget for procurement, moreover, are aggressive cuts to legacy weapons systems. The U.S. Air Force, for example, will retire 24 RQ-4 Block 20 and Block 30 Global Hawk Battlefield Airborne Communications Node (BACN) unmanned aerial vehicles (UAVs) and Block 30 multi-intelligence aircraft UAVs next year. Related: Army researchers eye fuel cells to provide power for infantry wearable electronics on the leading edge The U.S. Navy, meanwhile, will retire four Ticonderoga-class missile cruisers. The U.S. Army plans to eliminate 13 programs involving munitions, fires, protection, sustainment, mobility, mission command, and cyber programs that no longer are priorities. Additional cuts are expected. Next year the Navy plans no additional purchases of P-8A Poseidon maritime patrol aircraft; the MQ-4 Triton long-range maritime patrol UAV; or the MQ-25 Stingray UAV. The counterweight to these procurement cuts, however, is in the DOD's budget for research, development, test, and evaluation (RDT&E). As procurement spending is going down, the research budget is headed in the other direction. The Pentagon is asking for $106.6 billion, which is up about 1 percent from this year's research budget of $106.6 billion. Revealing is money is going. The DOD next year plans to spend $9.8 billion for cyber security and cyber warfare -- up 81 percent from $5.4 billion this year; $3.2 billion for hypersonics; $1.5 billion for military microelectronics and 5G networking; and $800 million for artificial intelligence (AI) research. Related: The new era of high-power electromagnetic weapons The Pentagon hypersonics budget will pay for research and development initiatives to develop the Army Long-Range Hypersonic Weapon; Navy Conventional Prompt Strike (CPS); and Air Force Advanced Rapid Response Weapon (ARRW). Research money also would include $1.1 billion for the Navy's next-generation frigate; $4.4 billion for the future Columbia-class ballistic missile submarine; and $464 million for two Large Unmanned Surface Vessels. The U.S. Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) is asking for $3.6 billion in 2021, a 3 percent increase from the $3.5 billion the agency received this year. DARPA has asked for $322.7 million for electronics research in 2021 -- a 1.7 increase from the 317.2 million the agency received this year. For sensors research, DARPA is asking for $200.2 million in 2021 -- a 26 percent increase over the $158.9 million the agency received this year. Related: Military researchers host industry day briefings for artificial intelligence (AI) and machine learning So, in short, it sounds like out with the old, and in with the new at the Pentagon. Four Navy cruisers that are at least 30 years ago are heading for retirement. Large, slow, and vulnerable Global Hawk UAVs are to be taken out of service, and Army programs no longer relevant amid today's global threats will be taken off the board. At the same time, enabling technologies considered crucial for today's military needs are on the upswing: hypersonic munitions and aircraft, cyber security and cyber warfare, 5G networking, and artificial intelligence. Perhaps the DOD has been due for a house cleaning like this for a while. Getting rid of obsolescent weapons systems makes sense because they're past the point of diminishing returns. Pumping more money into technologies for tomorrow's battlefield makes sense, too. These kinds of realignments are painful, yet essential. https://www.militaryaerospace.com/defense-executive/article/14168362/dod-budget-leadingedge-technologies-research

All news