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July 19, 2019 | Aerospace

Air Force satellite communications get more resilient signal

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A new wideband communications satellite will give the Air Force more resiliency and a stronger signal from space according to a July 10 news release from the service's 4th Space Operations Squadron.

The 10th satellite in the Wideband Global SATCOM system was officially handed over to the Air Force during a July 10 ceremony when the 4th Space Operations Squadron accepted control. The satellite launched into orbit on a Delta IV rocket from United Launch Alliance March 15 and has been undergoing testing by Boeing, the satellite's prime contractor, to verify that it was performing properly and had arrived in geostationary orbit.

The latest addition to the constellation will provide increased resilience and capacity and provide more bandwidth for Army users on the battlefield. According to the Air Force, the satellite will add 17 percent more signal strength to the system.

“Anytime we put a satellite vehicle in orbit, we are gaining more resiliency, which is important in an operationally contested and degraded environment,” added Lt. Col. Timothy Ryan, 4th SOPS commander. “More importantly, it gives more of the abilities and the capabilities of the satellite to the war fighter.”

For years, this vehicle was expected to be the final satellite in the WGS constellation, with the Air Force looking at alternative ways to provide wideband communications, including buying commercial services. But in 2018, Congress overrode the Air Force and fully funded an additional two satellites in the series.

On April 19, the Air Force awarded Boeing a $605 million contract modification with $300 million available immediately to produce the 11th satellite. That modification brings the total value of Boeing's current WGS contract to $2.5 billion.

Work is expected to be completed by Nov. 20, 2023.

https://www.c4isrnet.com/battlefield-tech/2019/07/17/air-force-satellite-communications-get-more-resilient-signal/

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  • La campagne de certification de ravitaillement en vol des hélicoptères depuis des Airbus A400M se poursuit

    April 20, 2021 | International, Aerospace

    La campagne de certification de ravitaillement en vol des hélicoptères depuis des Airbus A400M se poursuit

    L'avionneur a annoncé lundi avoir mené avec succès une campagne de certification de ravitaillement en vol pour hélicoptères. Le groupe souhaite finaliser la campagne de certification complète au plus tard à la fin de l'année. Les essais, en coordination avec la Direction Générale de l'Armement et l'armée de l'Air et de l'Espace française, ont impliqué deux hélicoptères H225M (Airbus Helicopters). Dans un communiqué de presse, le groupe précise qu'« au cours de ces vols, un total de 81 contacts et des transferts de 6,5 tonnes de carburant ont été réalisés, dont le ravitaillement simultané de deux hélicoptères pour la première fois. Avec cette capacité, l'A400M devient l'un des rares avions ravitailleurs au monde capable d'effectuer de telles opérations ». Zonebourse.com, Airrecognition.com, Actu-aero.fr

  • New in 2019: The Army’s new way of warfighting will continue to evolve

    January 7, 2019 | International, Naval, Land, C4ISR

    New in 2019: The Army’s new way of warfighting will continue to evolve

    By: Todd South Each of the past three years has seen the Army build and upgrade its newest warfighting concept, one that leaders look to transform the service in an era of greater competitionand multi-faceted threats. That concept, while improved, will continue to evolve in the coming year as well, with more experimentation and feedback from soldiers at all levels. The Army will fight its future battles through formations geared toward multi-domain operations and guided by real-world threats to global military superiority, according to an updated version of Army warfighting called Multi-Domain Operations 2028. “U.S. Army in Multi-Domain Operations 2028” is both a revision to ongoing warfighting plans and an invitation for input from across the force. “The American way of war must evolve and adapt,” Army Chief of Staff Gen. Mark Milley wrote. “It describes how U.S. Army forces, as part of the Joint Force, will militarily compete, penetrate, dis-integrate, and exploit our adversaries in the future.” And while it has been formed by commanders at Army Training and Doctrine Command, Army leaders know it needs more. “Every one of you is part of our evolution and the construction of our future force,” Milley wrote, addressing soldiers, “and we want your critical feedback.” The main task of this new battle concept is to get after “layered stand-off,” in which adversaries have created ways to deny historical U.S. dominance of domains such as air-land-sea, and new ones such as information and electromagnetic spectrums to keep U.S. and allied military units at bay. In the newly released document's preface, Gen. Stephen Townsend, TRADOC commander, focused on how the Army will operate and enable the joint force in future conflicts. “If deterrence fails, Army formations, operating as part of the Joint Force, penetrate and dis-integrate enemy anti-access and area denial systems; exploit the resulting freedom of maneuver to defeat enemy systems, formations and objectives and to achieve our own strategic objectives; and consolidate gains to force a return to competition on terms more favorable to the U.S., our allies and partners,” he wrote. To reach those goals, the Army will need some new functions, new equipment and advanced processes to select, train and retain capable soldiers. Some of that was evident this past summer in the Pacific, where fires soldiers found novel approaches to integrating traditionally land-focused Army assets and networks to link up with partner forces and U.S. Navy and Marine Corps teams to share information and strike ships at sea in simulated, contested environments. The director of the Army's Capabilities Integration Center, Brig. Gen. Mark Odom, in an Army release, highlighted key factors in the new concept's importance. The concept focuses on operational problems with competitors such as Russia and China, as opposed to the counterinsurgency and counterterrorism focus in recent decades. This means it returns the Army to a focus on threats rather than capabilities-based approaches, he wrote. https://www.armytimes.com/news/your-army/2019/01/04/new-in-2019-the-armys-new-way-of-warfighting-will-continue-to-evolve

  • Réfléchir à l’Europe de la défense de demain

    May 22, 2019 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security, Other Defence

    Réfléchir à l’Europe de la défense de demain

    (B2) L'Europe doit-elle s'occuper de défense et de diplomatie ? Comment peut-elle le faire ? Observateur patenté des institutions européennes, B2 vous propose quelques pistes de réflexion... On ne peut pas se réjouir simplement que la coopération structurée permanente ait été mise en place ou qu'un Fonds européen de défense soit en train de naitre. L'Europe ne fait ainsi que rattraper un retard à l'allumage. Tous ces projets ont été conçus il y a dix ou vingt ans. Ce qui à l'échelle de l'évolution du monde est quasiment un siècle. Les mettre en place maintenant est indispensable. Mais la donne stratégique évolue. Il importe de continuer à avancer vite, pour rattraper le retard et combler toutes les lacunes. Se reposer sur les 'lauriers' serait une erreur tragique. La doctrine européenne : sans illusion, La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC), alias l'Europe de la défense. Elle n'est pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Ce qu'est l'Europe de la défense. Ce qu'elle n'est pas Mini QG militaire, Fonds européen de la défense, coopération structurée permanente... Ce n'est pas le grand soir annoncé par certains. Mais c'est une étape intéressante permettant à différents projets mis sur la table depuis un ou deux ans de progresser. Union européenne de défense : ce qui avance, ce qui bloque B'tir des structures institutionnelles Les dernières options travaillées au sein de la Commission européenne semblent favoriser une nouvelle direction générale au mandat élargi regroupant la Défense et la Sécurité, selon nos informations. Une DG défense et sécurité d'ici la fin de l'année ?* L'idée d'avoir une commission de plein exercice consacrée aux questions de défense dans le futur Parlement européen est sur la table. Sera-t-elle acceptée ? En route vers une commission Défense au Parlement européen ?* A force de parler d'armée européenne, il faudrait examiner ce que cela imposerait. Ne tentons pas de dire que cette idée est bonne ou mauvaise. Essayons de voir ce que cela supposerait. Imaginons un moment un consensus politique pour créer cette armée. Imaginons des moyens pragmatiques pour la mettre en œuvre. Et si l'armée européenne était un projet d'avenir ? Dynamiser la diplomatie européenne Pour avoir une diplomatie européenne plus réactive, pourquoi ne pas désigner un envoyé ou un représentant spécial pour une zone de crise, ou confier à une troïka ou un duo de pays membres le soin de mener les négociations. Deux outils oubliés de la diplomatie européenne de gestion de crises à ressusciter Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention. Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler. L'Union européenne dispose de représentants spéciaux en Asie centrale, au Moyen-Orient au Sahel, etc. Leur présence est-elle nécessaire aujourd'hui ? Huit représentants spéciaux de l'UE enkystés dans le paysage. Efficacité ? Refonder la gestion de crises Malgré de grands effets de manche, l'Union européenne a perdu en fait son ambition de maintien de la paix qui sur laquelle reposait sa politique de sécurité et de défense. Et cependant, il ne manque pas de raisons et de possibilités d'agir. Que pourrait-elle faire ? Les missions et opérations de sécurité et de défense communes sont aujourd'hui un peu les enfants délaissés de la politique extérieure de l'Union européenne (PESC). Elles ne suscitent que très peu d'attention des responsables européens. Certaines missions et opérations n'ont plus d'efficacité ou sont arrivées à leur terme. Il est temps d'en tirer la leçon ! Opération Sophia, EUBAM Rafah et Libya... l'UE doit apprendre à fermer des missions devenues inutiles Le concept des battlegroups est bon mais il est dépassé aujourd'hui. Cela reste un joujou d'exercice, impossible à mettre en pratique. Pour le rendre déployable trois éléments essentiels peuvent être travaillés : une autorisation politique préalable, des financements préalables, des éléments modulaires. Revoir le concept des battlegroups : une nécessité Développer l'autonomie industrielle Malgré des efforts certains, la plupart des pays européens n'ont pas le réflexe d'acheter chez leur voisin quand ils ne peuvent s'équiper en national. Et ils préfèrent acheter américain. L'achat d'un équipement militaire ne peut se résoudre à une question technique, il y a tout un accompagnement politique, logistique à prévoir que seuls les États-Unis aujourd'hui fournissent. Pourquoi les Européens n'arrivent pas à convaincre lors de l'achat d'équipements militaires ? (article publié jeudi) A suivre... (Nicolas Gros-Verheyde) https://club.bruxelles2.eu/2019/05/reflechir-a-leurope-de-la-defense-demain/

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