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August 25, 2022 | International, Aerospace, Other Defence

AI to the Rescue as the Military Continues to Struggle With Pilot Shortage

The U.S. Air Force and Merlin Labs are developing software so that the C-130J Hercules flies with a single pilot, using AI as the co-pilot.

https://news.clearancejobs.com/2022/08/24/ai-to-the-rescue-as-the-military-continues-to-struggle-with-pilot-shortage/

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    September 7, 2023 | International, C4ISR

    Army approves next phase for augmented reality device

    Over the next 18 months, the Army will add in cloud technology and review a feasible, affordable production plan for the device.

  • Fewer airmen, fewer bombs and delayed F-15s: Goldfein outlines effects of continuing resolution

    November 8, 2019 | International, Aerospace

    Fewer airmen, fewer bombs and delayed F-15s: Goldfein outlines effects of continuing resolution

    By: Stephen Losey With Congress flailing in its attempt to pass a budget and the prospect of a lengthy continuing resolution growing, Air Force Chief of Staff Gen. Dave Goldfein on Wednesday outlined how bad that would be. A year-long CR, funding the Air Force at fiscal 2019 levels, would cost the service the $11.8 billion increase called for in President Trump's proposed fiscal 2020 budget, Goldfein said at a breakfast hosted by the Air Force Association in Washington. “It's truly damaging for all the services, and certainly the United States Air Force,” Goldfein said. Even if a CR only lasts for six months, the effects would be significant, he said. The Air Force would lose $1.1 billion that would go to Boeing's development and production of new F-15EX fighters, postponing their acquisition and driving up prices, according to a fact sheet Goldfein distributed. It would also force the Air Force to keep flying F-15Cs for longer than it expected, resulting in further cost increases due to the extensive maintenance needed to keep the aging fighters, plagued by structural health issues, in the air. A six-month CR would also hit the Air Force's effort to re-arm. It would reduce munitions procurement by 1,000 tailkits to convert unguided bombs into guided Joint Direct Attack Munitions, as well as cut 99 Sidewinder air-to-air missiles and 665 Small Diameter Bomb II munitions. And that CR would cost the Air Force $188 million intended for improvements to almost one-third of its F-35 fleet. But a year-long CR would be even worse, Goldfein said, hitting airmen directly and limiting the planned 3.1 percent pay raise for troops. It would also scuttle the Air Force's plans to grow its total force end strength by 4,400, he said, which would hurt its efforts to grow vital — and undermanned — career fields such as operations, maintenance, space, cyber, and intelligence, surveillance and reconnaissance. Efforts to fix the pilot shortfall would take a hit, cutting $123 million from undergraduate flight training, Goldfein said. This would mean contractor instructor pilots would be reduced, a new maintenance training center's opening would be delayed, and trainer fleet maintenance would be delayed. A CR for all of fiscal 2020 would also delay the procurement of the GPS IIIF space vehicle to replace a satellite that has now been orbiting for twice as long as it was designed, which would place the Air Force in a contract breach. It would withhold $466 million in facility sustainment, restoration and modernization funds, as well as Defense Department emergency funding, slowing the efforts to recover from natural disasters at Tyndall and Offutt Air Force bases. In all, a six-month CR would delay the start of 26 new programs, 7 production increases, and eight military construction projects. A year-long resolution would prevent 88 new starts, 14 production increases and 41 military construction projects. F-22 sensor upgrades would also be delayed if a budget is not passed, the Air Force said. But as rocky as the 2020 budget process may be, Goldfein sees even darker days to come. “If you look at the projections of funding in the years ahead, many believe that [2021] may very well be the last really good year of funding," Goldfein said. “It may not be true. But it may go flat after that, or it may start coming down. And so, how do you achieve irreversible momentum if you have one good year left of reasonable resources before a potential downturn?” https://www.airforcetimes.com/news/your-air-force/2019/11/06/fewer-airmen-fewer-bombs-and-delayed-f-15s-goldfein-outlines-effects-of-continuing-resolution/

  • Les industriels de l’aéro qui vont bénéficier de la commande d'appareils de surveillance maritime sont...

    November 19, 2020 | International, Aerospace, Naval, C4ISR

    Les industriels de l’aéro qui vont bénéficier de la commande d'appareils de surveillance maritime sont...

    HASSAN MEDDAH DÉFENSE , HAUTS-DE-FRANCE , HAUTS-DE-SEINE , BOUCHES-DU-RHÔNE , GIRONDE PUBLIÉ LE 19/11/2020 À 06H00, MIS À JOUR LE 19/11/2020 À 11H27 La Marine nationale va recevoir 12 appareils Albatros pour lutter contre le trafic et la pêche illégale et détecter les pollutions. La commande passée auprès des acteurs de l'aéronautique s'élève à 1,3 milliard d'euros. Une commande de 12 avions pour un montant de 1,3 milliard d'euros... Par les temps qui courent, c'est toujours bon à prendre pour les acteurs de l'aéronautique qui subissent une crise sans précédent. A l'occasion de son déplacement à l'usine de Dassault Aviation à Seclin (Nord), la ministre des armées, Florence Parly, doit annoncer ce 19 novembre une commande de 12 appareils, des Falcon 2000, au profit de la Marine nationale pour ses missions de surveillance maritime. L'usine de Seclin, spécialisée dans la production des pièces primaires des Rafale et des jets d'affaires de Dassault Aviation, fabriquera les premières pièces de structure des Falcon 2000, aussi rebaptisés Albatros dans le cadre du programme AVSIMAR (avion de surveillance et d'intervention maritime). Des capteurs électroniques de dernière génération Depuis leurs bases navales en Outre-mer et à Lann-Bihoué près de Lorient (Morbihan), les Albatros auront pour mission de lutter contre les trafics de stupéfiants, la piraterie, la pêche illégale et de détecter les pollutions. Les avions de surveillance maritime de la Marine nationale ont détecté 54 pollutions en 2018 et 110 en 2019. Selon les chiffres avancés par le ministère des Armées, entre 10 et 25% de la pêche mondiale est réalisée de manière illégale. La commande pour les 12 appareils s'élève à environ 1,3 milliard d'euros. Elle comprend leurs équipements électroniques ainsi qu'un contrat de 10 ans de maintenance. La commande bénéficiera au maître d'œuvre industriel Dassault Aviation ainsi qu'à l'ensemble de ses partenaires. Naval Group fournit le système d'information de la mission, Thales le radar de surveillance maritime, Safran la boule optronique. Une partie des appareils fabriqués en Inde "Le Falcon 2000 Albatros est un avion à hautes performances doté d'un système de mission et de capteurs de dernière génération. (...) Plusieurs pays s'intéressent à ces avions qui constituent une réponse performante aux enjeux considérables de la protection et de la sécurité maritime du territoire et de l'action de l'Etat en mer", a précisé Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation dans un communiqué de presse. Les coast-guards américains et les garde-côtes japonais s'appuient déjà sur des appareils de l'avionneur français pour assurer leurs missions de surveillance maritime. Le contrat signé avec le ministère des Armées devait générer une centaine d'emplois pendant la phase de développement qui concernera essentiellement les sites de l'avionneur à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), Mérignac (Gironde) et Istres (Bouches-du-Rhône). Une cinquantaine d'emplois supplémentaires seront mobilisés pendant la phase de fabrication et de soutien. Les trois premiers exemplaires sont produits et assemblés en France et les appareils suivants en Inde par l'avionneur et son partenaire local Reliance. Cela répond aux contreparties industrielles négociées à l'occasion de la vente de 36 Rafale en 2016 entre Paris et New-Delhi. Les premiers appareils livrés en 2025 Les nouveaux Albatros remplaceront la flotte vieillissante actuelle composés de Falcon 50 et Falcon 200 militarisés qui arrivent en bout de course avec déjà une quarantaine d'années de vol au compteur. Sur les 12 appareils, 7 seront en permanence en mission et les 5 autres serviront à la formation et l'entraînement des équipages ou seront indisponibles car en maintenance. Ils auront des performances accrues de l'ordre de 10% avec notamment 8 heures d'autonomie et une élongation de 2700 nautiques (soit environ 5000 km). Ils seront également équipés de meilleurs équipements électroniques (anti-brouilleurs GPS, communications militaires sécurisées, communications satellitaires, récepteur d'identification automatique AIS ...). Les livraisons des 12 appareils s'étendront jusqu'à 2030 avec les trois premiers exemplaires livrés en 2025. https://www.usinenouvelle.com/article/les-industriels-de-l-aero-qui-vont-beneficier-de-la-commande-d-appareils-de-surveillance-maritime-sont.N1030214

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