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August 5, 2024 | International, C4ISR, Security

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  • Mégacontrat de 1,7 milliard d'euros pour les Chantiers de l'Atlantique et Naval Group

    February 4, 2019 | International, Naval

    Mégacontrat de 1,7 milliard d'euros pour les Chantiers de l'Atlantique et Naval Group

    Par Michel Cabirol L'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement a notifié pour le compte de la France un contrat de 1,7 milliard d'euros à Naval Group et au Chantier de l'Atlantique pour la fourniture de quatre pétroliers ravitailleurs destinés à la marine nationale. L'année commence très bien pour les Chantiers de l'Atlantique et Naval Group. Avec six ans de retard sur le planning initial, les deux groupes empochent un mégacontrat de 1,7 milliard d'euros pour la construction de quatre navires pétroliers ravitailleurs de 194 mètres de longueur dans le cadre du programme FLOTLOG (flotte logistique). Thales fait également partie du programme. Dans le cadre de la coopération entre Naval Group et le chantier naval italien Fincantieri, la France a rejoint le programme Logistic Support Ship (LSS), dont l'Italie a confié la gestion à l'Organisation conjointe de coopération en matière d'armement (OCCAR). De la charge pour Fincantieri C'est donc l'OCCAR qui a notifié le 30 janvier aux deux industriels le contrat de soutien logistique (LSS), qui permettra à la Marine nationale de mettre en service quatre navires flambant neufs, dont les deux premiers seront livrés à partir de 2022 (contre 2017 à 2020). Les six premières années de maintien en condition opérationnelle (MCO) font également partie du contrat signé par les deux industriels. La livraison des quatre navires permettra le déclassement de la flotte actuelle à simple coque, qui est entrée en service actif dans les années 1970 et 80. Les LSS commandés pour la marine française seront basés sur la conception du LSS Vulcano commandé pour la marine italienne, dans le cadre d'une coopération italo-française gérée par l'OCCAR. "Afin de promouvoir l'efficacité industrielle, Fincantieri, concepteur du LSS Vulcano, fournira une assistance technique et érigera certaines parties de la coque", a précisé l'OCCAR dans un communiqué. des modifications seront nécessaires pour s'adapter au soutien du groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle. Par ailleurs, Naval Group sera en charge de fournir le système de combat des navires. Garantir la posture de dissuasion Cette commande a pour objectif de fournir à la Marine nationale les moyens navals pour déployer simultanément un groupe aéronaval et un ou deux groupes navals (groupe amphibie ou groupe de protection du trafic maritime) tout en garantissant la posture de dissuasion. Les moyens FLOTLOG doivent donner à ces groupes la capacité de durer jusqu'à 60 jours à la mer (15.000 km) par un flux logistique régulier, y compris lorsqu'ils sont déployés loin de la métropole ou d'un point d'appui logistique et pour une longue durée, de jour comme de nuit et quelles que soient les conditions météorologiques. Ils accueilleront des équipages de 130 marins et pourront héberger au total 190 personnes à bord. Les quatre navires doivent également participer au ravitaillement des forces maritimes alliées déployées, notamment dans le cadre des accords de défense. Enfin, ils sont en mesure de concourir, en complément d'autres moyens, au soutien logistique de tous types d'opérations interarmées. Les navires seront dotés d'une double coque conforme à la réglementation anti-pollution et permettront une optimisation de la protection des munitions stockées contre les attaques extérieures. Ils auront quatre m'ts de ravitaillement polyvalents pour un soutien simultané de deux navires (dont le porte-avions). Enfin, la plate-forme et le hangar aviation de grandes dimensions pourront accueillir des hélicoptères et drones. Une commande de 14 engins de débarquement amphibie Le ministère des Armées a annoncé jeudi avoir commandé 14 engins de débarquement amphibie pour un montant de 65 millions d'euros en vue d'équiper les navires porte-hélicoptères (BPC). Plus précisément la direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 16 janvier à CNIM la conception et la fabrication de 14 nouveaux engins de débarquement amphibie standard (EDA-S) ainsi que cinq ans de soutien. Ces nouveaux chalands remplaceront plusieurs types de navire actuellement en service. Huit EDA-S sont destinés à la flottille amphibie de Toulon tandis que les six autres EDA-S seront déployés outre-mer pour remplacer divers chalands logistiques à Djibouti, Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, aux Antilles et en Guyane. D'une longueur de 28 mètres, ces monocoques en acier, avec quatre membres d'équipage, pourront transporter la plupart des véhicules de l'armée de Terre, y compris les plus lourds tels le char Leclerc. La livraison des EDA-S s'effectuera à partir de 2020. La production sera réalisée par le chantier naval Socarenam, sous-traitant de CNIM pour ce projet. Cette commande permettra de conforter près de 200 emplois chez CNIM, Socarenam et leurs sous-traitants. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/megacontrat-de-1-7-milliard-d-euros-pour-les-chantiers-de-l-atlantique-et-naval-group-805918.html

  • Air Force tech and the Army's search for next-gen optics | Defense News Weekly Full Episode 9.25.21

    September 27, 2021 | International, Aerospace, C4ISR

    Air Force tech and the Army's search for next-gen optics | Defense News Weekly Full Episode 9.25.21

    See the latest tech at the Air Force Association's annual conference and compare scopes for the Army's NextGen weapon in this week's episode.

  • A220 : les fournisseurs d’Airbus toujours sous pression pour réduire leurs coûts de 20 %

    September 30, 2019 | International, Aerospace

    A220 : les fournisseurs d’Airbus toujours sous pression pour réduire leurs coûts de 20 %

    Par Maxime Bertrand Airbus vise toujours une réduction de 20 % des coûts de la part de ses fournisseurs afin d'assurer la rentabilité de l'A220. C'est ce qu'ont déclaré les pdg d'Airbus et d'Airbus Canada, Guillaume Faury et Philippe Balducchi, lors d'une rencontre avec la presse montréalaise jeudi. Nous avons progressé, mais le processus n'est pas terminé, a déclaré Philippe Balducchi, pdg d'Airbus Canada L'A220 a vraiment besoin d'une accélération, d'un renforcement du programme de réduction des coûts, a renchéri Guillaume Faury, pdg d'Airbus. Le géant européen a pris les commandes du programme né de la C Series de Bombardier – renommé A220 depuis – en juin 2018. Pas plus tard qu'en octobre 2018, le pdg d'Airbus affirmait qu'il lui faudrait « des années » avant que l'A220 devienne une réussite économique. En entrevue avec la presse montréalaise, les deux dirigeants ont soutenu jeudi qu'il était normal que l'effort demandé soit plus important pour l'A220 que pour les autres appareils de la flotte d'Airbus, car le programme en est à ses débuts et qu'il faut repositionner l'appareil, accélérer la cadence de production et entrer dans une zone de rentabilité. Selon la direction de l'avionneur, tous les appareils en début de production doivent relever ce genre de défi. Airbus se donne trois ans pour terminer le processus entamé il y a une quinzaine de mois et parvenir à une réduction des coûts de 20 %. La démarche ne s'arrêtera pas là, préviennent les dirigeants, car les baisses des coûts devront également s'inscrire dans le temps. À la fin de mai dernier, le carnet de commandes d'Airbus comptait 536 appareils A220. Au salon aéronautique du Bourget, en juin, l'entreprise a annoncé de 70 appareils A220. Dossier des avions de chasse Dans le dossier des avions de chasse, la direction d'Airbus a dit s'être retirée avec beaucoup de regret de l'appel d'offres du gouvernement canadien. Elle croit que sa présence au Canada gr'ce à l'A220 permettra d'accroître sa visibilité et de saisir les occasions futures qui se présenteront. Différend commercial entre l'Europe et les États-Unis Par ailleurs, la direction d'Airbus a réagi à la décision de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) d'autoriser les États-Unis à imposer des droits de douane annuels de 7,5 milliards de dollars sur les produits européens dans le cadre du conflit sur les subventions dans le domaine de la construction aéronautique. Il s'agit d'un différend de 15 ans entre Boeing et Airbus, donc entre les États-Unis et l'Europe, qui s'accusent mutuellement de consentir des aides illégales à leurs avionneurs. Nous croyons que tout le monde sort perdant d'une guerre commerciale, a déclaré Guillaume Faury. Si des droits sont imposés par les deux parties, cela entraînera une hausse des coûts de déplacement et nous rendra moins concurrentiels. Nous croyons que les parties finiront par s'entendre et que la voix de la sagesse sera la plus forte. Nous continuons à militer en faveur d'une entente, nous croyons qu'il est possible d'y parvenir. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1319890/a220-avion-reduction-couts-programme-airbus

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