28 juillet 2024 | International, Terrestre

With 11th trip, Austin works to cement legacy in Indo-Pacific

Defense Secretary Lloyd Austin has made the second-most trips to the Indo-Pacific region of any secretary this century.

https://www.defensenews.com/pentagon/2024/07/26/with-11th-trip-austin-works-to-cement-legacy-in-indo-pacific/

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  • A key milestone of the Air Force One replacement program was conducted using virtual tools. It won’t be the last.

    17 avril 2020 | International, Aérospatial

    A key milestone of the Air Force One replacement program was conducted using virtual tools. It won’t be the last.

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — The Air Force One replacement program has hit a major development milestone, and it did so without the in-person meetings that have become more risky in the age of the novel coronavirus, the U.S. Air Force's top acquisition official said on Thursday. The Air Force recently completed the critical design review for the Presidential Aircraft Replacement program, which will replace the legacy VC-25A Air Force One planes with a new variant of the Boeing 747-8 known as the VC-25B. Although the classified portions of the review still must be done via face-to-face meetings in secure spaces, much of it was accomplished using virtual tools and applications, said Will Roper, assistant secretary of the Air Force for acquisition, technology and logistics. “I was really excited that the team was able to shift their CDR [critical design review] and go virtual,” he told reporters in an April 16 teleconference, adding that more programs will shift toward using virtual meetings to conduct key reviews and milestones even after the COVID-19 pandemic subsides. “I don't know if it makes any sense to do CDRs, at least at an unclassified level, outside of tools like this. And we're working really hard to provide the same capabilities at the secret level,” he said. While Roper did not detail which communication tools were used by the program office to conduct the CDR, he described it as being very similar to widely used applications like Zoom, where the briefer can share PowerPoint slides and participants can share thoughts and questions via a written chat function. “It allows a greater level of productivity than a meeting itself,” he said. “In meetings, you have someone speaking and you want to get a question in, but you've got to wait for them to stop, and then everyone else wants to ask a question. It's hugely inefficient. It's just such an antiquated way of sharing information that is ingrained in us.” The Air Force One replacement drew considerable attention in 2016 after then-President-elect Donald Trump tweeted that the program was too expensive at more than $4 billion and should be canceled. After Trump held numerous meetings with Dennis Muilenburg, who led Boeing at the time, the Air Force awarded Boeing a $3.9 billion contract to modify two 747s into VC-25B jets. However, once all costs are included — such as buying a new hangar for the aircraft and the base cost of the 747s themselves — the Air Force will pay $5.3 billion, according to Defense One. That expense includes an $84 million contract awarded to Boeing on Wednesday to modify Boeing 747 technical specifications and manuals to the VC-25B configuration. Roper doesn't project any schedule delays to the program as a result of COVID-19, which has pummeled prime contractor Boeing's commercial business and caused a temporary pause to certain defense production lines. In February, Boeing began modifying the two 747s slated to become VC-25Bs at its facility in San Antonio, Texas. During the first part of the process, Boeing will cut out large pieces of the aircraft's skin and structure and replace that with two specially designed “superpanels,” according to an Air Force release. The VC-25Bs will also receive upgrades including enhanced electrical power, specialized communication systems, a medical facility, a customized executive interior and autonomous ground operations capabilities. The new Air Force Ones are expected to be operational in 2024. https://www.defensenews.com/air/2020/04/16/a-key-milestone-of-the-air-force-one-replacement-program-was-conducted-using-virtual-tools-it-wont-be-the-last/

  • AIR2030: A la rencontre de Boeing et du F/A 18 Super Hornet (4/5)

    25 octobre 2018 | International, Aérospatial

    AIR2030: A la rencontre de Boeing et du F/A 18 Super Hornet (4/5)

    Alexis Pfefferlé Mardi 23 octobre 2018, 0800, Lausanne, entrée en lice des avionneurs américains. Pour rappel, deux avions américains sont en compétition dans le cadre du programme AIR2030, le F/A 18 Super Hornet de Boeing et le F35 de Lockheed Martin. Au menu de cette matinée, le F/A 18 Super Hornet de Boeing. L'avion proposé n'est pas inconnu puisqu'il avait été naturellement envisagé lors de la précédente campagne de renouvellement de la flotte avant que Boeing ne renonce à faire une offre à la Suisse. Boeing avait expliqué à l'époque que « le nouveau Super Hornet est peut-être un avion trop poussé par rapport aux besoins de la Suisse. ». Huit ans plus tard, les besoins exprimés par la Suisse pour son nouvel avion de combat ont évolué et le Super Hornet fait à nouveau office de candidat sérieux. En effet, les F/A 18 Hornet dans leur version C et D sont en service dans les forces aériennes suisses depuis maintenant vingt ans et l'avion est bien connu de nos pilotes et militaires. Quelles différences par rapport au modèle actuel ? Le F/A 18 Super Hornet n'est pas un nouvel avion mais bien une évolution du Hornet que nous connaissons. Il s'agit cependant d'une évolution en profondeur avec une refonte du design, de la signature radar, une mise à jour des systèmes d'armes et de l'électronique embarquée ou encore une augmentation importante de l'autonomie. Aujourd'hui, le F/A 18 Super Hornet E/F est un biréacteur de 4ème génération + disponible en monoplace et biplace comme les variantes C et D de son prédécesseur. Boeing va droit au but La présentation du jour de Boeing est, comme disent les américains, « straight to the point ». Communication à l'américaine oblige, on débute avec un clip vidéo figurant un compte à rebours égrené par une voix féminine à l'issue duquel divers types d'engins fabriqués par Boeing s'élancent dans le ciel dans un panache de fumée incandescent. Sans autre intermède, le représentant de Boeing, Monsieur CRUTCHFIELD, développe directement sur la facilité de transition entre le modèle actuel de l'armée suisse et le Super Hornet, un mois d'entraînement au maximum étant selon lui nécessaire aux pilotes aguerris sur F/A 18 Hornet pour se familiariser avec cette nouvelle version. Quant au matériel d'entretien et à l'armement, il est en partie compatible entre les deux versions. Compte tenu de l'avenir bien incertain des F/A 18 suisses actuels dans le contexte politique tendu des exportations d'armes, le recyclage partiel est un point pour le moins pertinent. Pour Boeing, le Super Hornet est la transition la plus simple et la moins onéreuse pour la Suisse. C'est au tour de Madame Nell BRECKENRIDGE, première femme à s'exprimer pour un constructeur, de prendre le relais. Elle partage premièrement quelques chiffres : Boeing est un géant de l'industrie, qui a l'habitude de l'offset et de travailler avec des partenaires dans le monde entier. Historiquement, l'offset Boeing c'est près de 50 milliards USD dans environ 40 pays depuis 35 ans. Actuellement, c'est 65 collaborations pour un montant de 20 milliards USD dans 20 pays. Efficacité et engagement Viennent ensuite les arguments phares de Boeing pour la Suisse. Premièrement, le géant américain, en tant que constructeur du F/A 18 Hornet, le dernier avion acquis par l'armée suisse, peut s'appuyer sur sa propre expérience dans le cadre du programme offset d'USD 1,3 milliards réalisé en Suisse dans le cadre de l'achat de cet avion en 1997. Détail piquant au pays de la ponctualité, le programme d'offset de l'époque a été complété 3 ans avant le délai prévu. Dans la même veine, un nouveau programme d'offset a été signé par Boeing avec la Suisse en 2009 pour la mise à jour des F/A 18 Hornet, lequel a également été complété, selon Boeing, en avance du calendrier prévu. Au total, toujours selon Boeing, ce sont plus de 600 sociétés suisses qui font ou ont fait affaire avec l'avionneur au cours des vingt dernières années. Sur leur dernier slide de présentation, Boeing déclare : Promises made, promises kept. (Promesses faites, promesses tenues) Tout un programme. https://blogs.letemps.ch/alexis-pfefferle/2018/10/25/air2030-a-la-rencontre-de-boeing-et-du-f-a-18-super-hornet-4-5/

  • La Défense, une des clefs de la relance ?

    26 mai 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    La Défense, une des clefs de la relance ?

    Les présidents du Gifas et du BDLI appellent à une accélération de l'engagement de la France et de l'Allemagne sur les programmes de défense pour contre-balancer les effets de la crise sur la filière aéronautique civile. Une supply chain duale Face à une filière aéronautique civile confrontée à la première crise systémique de sa jeune histoire, Eric Trappier et Dirk Hoke, respectivement président du Gifas et président du BDLI, appellent « d'une même voix et d'une façon urgente à un plan de relance européen ambitieux en faveur de l'aéronautique civile pour préserver l'avenir ». Et cela passe notamment par « un soutien fort au niveau européen aux domaines de la défense et de l'espace, au moment où les enjeux budgétaires et de souveraineté sont cruciaux ». En clair, une accélération et un engagement plus fort des gouvernements français et allemands dans les programmes de défense mais aussi spatiaux peuvent venir « contre-balancer utilement la baisse d'activité de la filière aéronautique civile et dont les conséquences sur la chaîne des fournisseurs mettent en danger un certain nombre d'ETI et PME», souligne Eric Trappier qui est aussi président de Dassault Aviation. « D'autant que nombre de ces entreprises ont une activité duale. Elles sont présentes à la fois dans le civil et le militaire », poursuit-il. Accélérer sur le SCAF « Ces ETI et PME sont également vitales par le caractère unique de leurs savoir-faire. Si elles ne survivent pas à la crise, nous souffrirons tous », surenchérit Dirk Hoke qui ajoute : « il faut donc accélérer sur le volet défense pour également préserver nos capacités qui sont cruciales pour réaliser l'autonomie stratégique et la souveraineté de l'Europe ». Une claire allusion au programme SCAF qui ne s'appuie pour l'instant que sur une enveloppe de 150 M€ pour une durée de dix-huit mois. Ce contrat-cadre appelé Phase 1A doit déboucher sur des financements plus substantiels avec 4 Md€ prévus d'ici à 2025. Raison de plus pour débloquer de nouveaux fonds et plus vite dans le contexte actuel. Financer la R&T sur l'avion durable Pour les présidents du Gifas et du BDLI, le deuxième volet de ce plan relance européen européen ambitieux en faveur de l'aéronautique civile est le soutien aux efforts conjoints « de la profession en faveur de l'innovation et d'une aviation responsable, intégrant les enjeux liés à l'environnement ». Pour Dirk Hoke, qui est aussi président d'Airbus Defence and Space, l'abandon du projet E-Fan X, un démonstrateur dédié aux essais de propulsion électrique, ne signifie nullement que le constructeur européen a renoncé à ses travaux de recherche sur la décarbonisation de l'aviation. Si Airbus a suspendu le programme E-Fan X, le constructeur, en collaboration avec Siemens et le DLR, l'équivalent de l'Onera en Allemagne, a également réalisé des travaux sur la propulsion à hydrogène sur un démonstrateur baptisé HY4 qui a d'ailleurs réalisé un premier vol dès 2016. Au décollage, une batterie lithium-ion fournit l'électricité, mais en vol, une pile à combustible puise de l'hydrogène dans un réservoir maintenu à basse température pour produire un courant électrique par réaction avec l'oxygène de l'air, puis rejette de la vapeur d'eau. De son côté, Dassault Aviation a identifié plusieurs applications possibles avec des piles pouvant alimenter des fonctions de base « telles que les charges de cabines avions, les sources d'énergie pour les équipements, les galleys ou cuisines », voire même « des fonctions intégrées comme l'alimentation de secours ou le remplacement de l'unité auxiliaire de puissance ». Plus dans notre prochain numéro 2689 du 22 mai. https://www.air-cosmos.com/article/la-dfense-une-des-clefs-de-la-relance-23110

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