17 janvier 2024 | International, Naval

US Marines rush to field two air defense systems amid global threats

Missile and drone attacks in the Red Sea as well as ashore in the Middle East mean the Corps quickly needs these air defense systems, a general says.

https://www.defensenews.com/land/2024/01/17/us-marines-rush-to-field-two-air-defense-systems-amid-global-threats/

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    27 avril 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Défense : les industriels veulent une relance

    Tous alignés pour mener la charge. Les présidents des organisations patronales de l'aéronautique, du naval militaire et de l'armement terrestre plaident d'une seule voix afin que l'industrie de défense fasse partie des plans de relance en France, mais aussi en Europe. « C'est absolument fondamental », ont-ils affirmé, lors d'une audition devant la commission de la défense de l'Assemblée nationale. L'objectif est de préserver la Base industrielle et technologique de défense (BITD) avec ses dizaines de milliers d'emplois hautement qualifiés, répartis sur tout le territoire et le long du littoral. À elles seules, les 400 entreprises aéronautiques membres du Groupement des industries françaises aéronautique et spatiale (Gifas) emploient 200 000 personnes. La filière navale fait travailler 40 000 personnes et les acteurs du terrestre, 20 000. Sans oublier les salariés des milliers de PME et TPE, dont beaucoup de pépites technologiques. Il s'agit aussi d'assurer aux armées, sursollicitées à l'intérieur et à l'extérieur des frontières nationales, le meilleur niveau d'équipements. Cela, en restant compétitifs face à la concurrence internationale et en pérennisant l'indépendance stratégique militaire du pays. Face à la crise du Covid-19 qui affecte les industriels de l'armement, « nous proposons un plan de relance pour soutenir la défense, sur le modèle de celui mis en place après la crise financière de 2008 », déclare Stéphane Meyer, président du Gicat (armement terrestre) et PDG du constructeur de blindés Nexter. Le volet défense du plan de relance de 2008 représentait 2,4 milliards d'euros sur un total de 34 milliards. Compte tenu de la profondeur inédite de la crise économique attendue, il faut aller plus loin. « Il est nécessaire d'augmenter les crédits afin d'amplifier la relance de l'industrie de défense, ce qui passe par la hausse de son budget dans la loi de finance 2021 et une révision de la loi de programmation militaire 2019-2025 avec prise en compte des montants absolus et pas du pourcentage du PIB, qui s'est contracté. Cela en affermissant des commandes qui sont encore optionnelles », précise-t-il. « La commande publique est le meilleur outil pour relancer l'économie », insiste Hervé Guillou, président du Groupement des industries navales (Gican). « Avant de parler de relocalisations, rappelons que l'industrie de défense est déjà localisée en France, et qu'un euro dans le budget français va directement dans l'emploi en France », relève Éric Trappier, président du Gifas et PDG de Dassault Aviation *, constructeur de l'avion de combat Rafale. À court terme, les entreprises qui tournent avec 20 % à 30 % en moyenne des effectifs ont pour « priorité absolue » la maintenance des matériels, la dissuasion et la défense aérienne. Les grands industriels ont aussi, en liaison avec le ministère des Armées, organisé la solidarité interfilière, afin de repérer les PME les plus en difficultés, dont la défaillance « peut affecter toute l'industrie ». L'autre combat se déroule sur le front européen. Les États-Unis ont placé l'aéronautique et la défense au premier rang des industries stratégiques dans leur plan de relance. « Est-ce que l'Europe a un plan pour ces industries stratégiques ? Nous discutons avec Thierry Breton (commissaire au Marché intérieur, notamment en charge de la défense, NDLR) afin que le budget de 13 milliards destiné au fonds européen de défense ne soit pas réduit dans le prochain budget de la Commission », souligne Éric Trappier. Le président du Gifas appelle aussi à la reprise et à la réussite des coopérations européennes et à l'instauration - enfin - d'une préférence européenne en matière d'achat de matériels militaires. « Ce n'est pas le moment de baisser la garde en Europe », martèle Hervé Guillou. « Il faut espérer que la situation fera réfléchir la Direction de la concurrence sur la consolidation européenne, qui est un moyen de créer des champions capables de se défendre contre leurs concurrents étrangers et de se protéger des OPA hostiles », conclut le président du Gican. Véronique GUILLERMARD Le Figaro https://www.asafrance.fr/item/defense-les-industriels-veulent-une-relance.html

  • Is this the first step to military passenger drones?

    14 août 2019 | International, Aérospatial

    Is this the first step to military passenger drones?

    By: Kelsey D. Atherton The “passenger drone” is a flying contradiction. It is an autonomous vehicle, with a human inside. Current language has yet to capture this disparity — the weird balance between terms indicating that no human, not even a pilot, is onboard, and the fact that this is a robot people step inside and which then transports them. Regardless of the terminology, the whole category of machine is fascinating: what could people do with autonomous robots they can ride? On Aug. 4, 2019, Japan's NEC Corp demonstrated its autonomous flying passenger vehicle. With three wheels and four rotors, the craft is informally dubbed a flying car, though like most autonomous flying passenger vehicles it most closely resembles an oversized quadcopter. Long promised by science fiction and technologists alike, flying cars have yet to become a part of daily life. Yet there's something compelling about the drive, and modern attempts can inform what this new avenue for mobility might actually look like. While the vehicles are primarily designed for urban and commercial markets, any advance in vertical mobility in that space is worth watching for military planners. Taking advantage of commercially driven developments could subsidize new military machines, and it's not inconceivable that, if the technology becomes as prevalent as its designers hope, we could see versions modified like Hi-Luxes to become improvised weapons of future urban warfare. The most significant development in modern car-sized flying autonomous vehicles is the use of rotors or ducted fans for vertical takeoff and landing. Winged cars, a few of which have been developed, are clunky beasts, awkward on roads and in the air alike. VTOL, though, allows a vehicle like this to operate from helipads or even smaller areas, and to land where people might actually want to go. Freed from the runways and hassles of an airport, VTOL taxis could, for a certain set of extraordinarily well-off commuter, bypass rush-hour traffic. It's a promise that has attracted investment and development from companies like Uber and Bell, as well as multiple others. While the promise of carrying a person remains the distant dream of such machines, the easier-to-realize more immediate reality will be cargo and logistics, with the possibility of maybe evacuating a human in a pinch. The chief advantage offered by the car-sized vehicles over jetpacks, hoverbikes, jet bikes and flying boards is the stability and interior offered by the larger size. The technologies that enable vehicles like this are largely the same ones that enable drones at smaller and larger scales. Remote direction, autonomous stabilization, powerful batteries, the ability to maneuver in vertical space and potentially operate in cities, all of this could create a vehicle that provides a capability the commanders of the 2030s, who grew up with drones, might want in a machine. There is still much work to be done to transform the prototypes from experiments to useful machines. That there are multiple companies on multiple continents pursuing it should be a promising sign for the industry as a whole, and for any military designers looking to piggyback on a drone-like flying car into a new urban battle machine. https://www.c4isrnet.com/unmanned/2019/08/08/this-flying-taxi-drone-could-inspire-new-technicals/

  • DISA awards $199 million contract for cloud security

    24 août 2020 | International, C4ISR

    DISA awards $199 million contract for cloud security

    Andrew Eversden WASHINGTON — The U.S. Defense Information Systems Agency awarded its first production other transaction authority contract on Aug. 20, the agency announced. The production OTA contract, with a ceiling of about $199 million, was awarded to By Light Professional IT Services to support the Defense Department's Cloud Based Internet Isolation program. The contract has a one-year base with four one-year options. The Cloud Based Internet Isolation program falls under the purview of DISA. It's meant to reduce the risks involved with non-mission-essential internet browsing by isolating the browser in the cloud instead of on the user end point. Isolation in the cloud is meant to prevent malicious code or content from accessing Pentagon networks. “By partnering with industry, DISA's CBII team determined a means to transform how [the Department of Defense] defends against internet web browser-based threats,” the DISA news release read. “This partnership will provide direct support to our nation's warfighters by providing cybersecurity within the cloud while protecting the warfighter's electronic devices from exposure to direct threats.” https://www.c4isrnet.com/disa/2020/08/21/disa-awards-199-million-contract-for-cloud-security

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