10 février 2024 | International, Terrestre
4 septembre 2024 | International, Terrestre
Saab’s new addition to the battle-tested AT4 family combines the capability of multiple existing shoulder-launched munitions while reducing soldier load, training complexity and logistics burden.
10 février 2024 | International, Terrestre
17 avril 2020 | International, Aérospatial
"[T]he way that the Air Force and now Space Force put their budget submissions into Congress, it puts all of the programs into individual program elements," Roper said, "and that's like locking [each] program into a little financial prison." By THERESA HITCHENSon April 16, 2020 at 4:28 PM WASHINGTON: The Air Force wants Congress to approve new powers allowing the service to fund space acquisition in ‘blocks' that would allow it more freedom to shift funds from one specific program to another, says service acquisition head Will Roper. The idea, he told reporters today, is to give the Space Force acquisition authorities that mimic those used by fast-moving and highly capable organizations such as the Special Capabilities Office and the NRO. The mechanism: putting multiple programs into one budgetary program element (PE) number so priorities can be juggled or monies shifted to ailing programs to help them cope with cost or schedule overruns. “One of the things that we are very passionate about for space acquisition is trying to consolidate the space portfolio into a few number of program elements,” Roper said, noting that when he headed the SCO “we funded almost all of our programs out of one program element. That's really important because it let me optimize the portfolio of programs, not just do individual programs,” he explained. “Well, the way that the Air Force and now Space Force put their budget submissions into Congress, it puts all of the programs into individual program elements, and that's like locking [each] program into a little financial prison.” Although it is true that other organizations with acquisition powers — including SCO, NRO and the Missile Defense Agency — have such flexibility, it is unclear whether Congress will acquiesce to the same for the Space Force. The 2016 NDAA created a new “major force program” — MFP 12 — for DoD reporting on the national security space budget precisely to overcome: a) the lack of transparency in DoD budgeting for space programs, and b) the long-standing Air Force practice to shift space funds to air power programs that were suffering setbacks. However, an MFP does not allow the Air Force or other space services to move money around without congressional assent. As late as the 2020 budget request, DoD admitted that it still had not sorted out how exactly to meet the MFP-12 requirement as it was still developing standard practices for determining what should be included or not. Joshua Huminski, director of the National Security Space Program at the Center for the Study of the Presidency and Congress (CSPC), said wryly that the Air Force request is likely to “require very artful selling to Congress.” He explained in a phone conversation today that congressional leaders already are keeping the Air Force on a short leash regarding space acquisition. Roper said the request for such new authorities will be included in the space acquisition report Air Force Secretary Barbara Barrett is required to send to Congress under language in the 2020 National Defense Authorization Act (NDAA). That report was due March 31 but has yet to be transmitted. Roper said the report is finished but is being reviewed by Defense Secretary Mark Esper. As I've reported, Barrett's report will punt on the question of whether the NDAA-required Space Force acquisition executive will be a fully separate office or will be organized in some fashion as a subunit of Roper's current shop. It's no secret that Roper has strenuously opposed a fully bifurcated space acquisition office. Roper confirmed today that the pending report is concentrating on how the service hopes to use its current, and newly proposed, acquisition authorities to speed the often decades-long process of moving new space capabilities from design to procurement. He explained that the Air Force will wait until after Congress decides on its proposal for future space acquisition authorities before circling back to the organizational question — in effect, meaning that the service will not address the issue until after the 2021 NDAA is passed. “And then once we determine what will be given to us or not, then for round two, we'll look at what's the right way to organize with these new authorities, and at that point we'll take on the question of whether there should be one or two service acquisition executives,” he elaborated. The service has until October 2020 to establish the controversial new space acquisition post. https://breakingdefense.com/2020/04/af-seeks-freedom-to-shift-between-space-programs
1 octobre 2018 | International, Aérospatial
La Royal Air Force prépare activement la mise à jour de sa flotte d'avions de combat Eurofighter « Typhoon II » en vue du remplacement du Panavia Tornado GR4. En effet, les dernières unités de « Tornado » devraient être retirées au début de l'année 2019. Project Centurion : Le programme « Poject Centurion » doit permettre à l'avion européen d'égaler la capacité d'attaque au sol du « Tornado » et de la dépasser à terme. Pour remplacer complètement le « Tornado » au sein de la RAF, les « Typhoon II » devront porter les mêmes armes, avec la phase 2 et phase 3 d'amélioration (P2EA et P3EA) qui, à leur tour, constituent la première phase et la deuxième phase du programme « Centurion ». Ils ont été précédés d'un Phase Zero (P1EB ou Phase 1 Enhancement Further Work). La phase zéro a été livrée en décembre 2017, officiellement entrée en service en janvier 2018 et est désormais opérationnelle dans le cadre de l'opération «Shader». La configuration du projet « Centurion » est destinée à combiner la bombe guidée de précision Raytheon Paveway IV déjà livrée avec les missiles « Storm Shadow », « Meteor » et « Brimstone » sur le Typhoon FGR4. L'avion devra prochainement venir remplacer le Panavia Tornado GR4 au début de l'année 2019. Les avions de première phase qui sont livrés ont été équipés de la mise à niveau « Typhoon » Phase 2 Enhancement (P2E) qui comprend le « Meteor » et le « Storm Shadow ». La phase 2 du projet Centurion couvre la mise à niveau de la phase 3 du Typhoon Enhancement (P3E) avec l'arrivée du « Brimstone ». Les essais sont maintenant en cours, la configuration finale du projet « Centurion » devrait être prête pour la fin de 2018. Les appareils concernés font partie de la Tranche 1 (51), la Tranche 2 (67) et environ 10 appareils de la Tranche 3. A noter que 24 Eurofighter de la tranche 1 qui doivent être retenus serviront uniquement à la défense aérienne et ne recevront pas la mise à niveau du projet Centurion. Environ 65 à 75 sorties devraient être enregistrées avant qu'une phase d'évaluation opérationnelle ne commence à au sein de la base aérienne de la RAF de Coningsby dans le Lincolnshire le 10 août prochain. Cela comprendra également des essais de tir complets avec l'arme de précision. D'autres améliorations incluent des mises à jour de l'interface homme / machine du "Typhoon", avec notamment le système de visée monté sur un casque Striker fourni par BAE. Le Storm Shadow : Le SCALP (acronyme de « Système de croisière conventionnel autonome à longue portée »), anciennement « Arme de précision tirée à grande distance », est un missile développé fin 1994 MBDA. La version britannique est baptisée «Storm Shadow». Cette arme est conçue pour frapper l'ennemi dans son territoire profond, quelle que soit la défense aérienne gr'ce à sa furtivité qui le rend indétectable, y compris par les avions radars. Le MBDA Brimstone : Le missile Brimstone air-sol britannique fabriqué par MBDA sur commande de la Royal Air Force. Il est équipé d'un guidage laser et d'un radar millimétrique, ceci afin de le rendre plus efficace contre des cibles mobiles. Le missile Meteor : Le Meteor est prioritairement réservé aux missions d'interception à grande distance, au-delà de la portée optique (BVR) de tout type d'aéronefs. Son utilisation est privilégiée pour les cibles de haute valeur telles que l'attaque à plus de 100 km d'avions radar ou de ravitailleurs. Ce missile va permettre d'assurer une efficacité de destruction à des distances aujourd'hui encore importantes, de l'ordre de 50 Nm (entre la cible et l'avion tireur au moment de l'impact). A cette fin, le système d'arme comporte : Un radar de bord qui fournit des informations précises sur la cible avant le départ du missile, et une liaison de données de type Link16 assurant les mêmes fonctions en retransmettant vers l'avion tireur les informations d'un capteur porté par un autre aéronef. Des systèmes d'identification des cibles à des distances compatibles avec la portée du missile. Une manœuvrabilité suffisante du missile dans toutes les phases de vol, pour toutes les distances de tir, qui doit lui assurer une grande probabilité de destruction des cibles. La propulsion de ce missile est également un défi technologique du fait du concept retenu : celui d'un statoréacteur. Ce statoréacteur à propergol solide et à poussée régulée (Throttleable Ducted Rocket ou TDR) dans sa phase de croisière comporte un accélérateur à poudre intégré dans la chambre de combustion, ce qui permet de donner une impulsion initiale suffisante pour atteindre une vitesse compatible avec le fonctionnement du statoréacteur. http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/09/30/raf-l-eurofighter-en-successeur-du-tornado-866306.html