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  29 juillet 2019 | International, Naval

  CSCSU Great Lakes Opens New VMS Lab

  By Brian Walsh, Training Support Center Public Affairs GREAT LAKES, Ill. (NNS) -- Center for Surface Combat Systems Unit (CSCSU) Great Lakes held a ribbon cutting ceremony unveiling a new Voyage Management System (VMS) lab for operations specialist (OS) A School July 26. CSCSU staff overhauled a space that was previously used for chart plotting and converted it into the new VMS lab. Eight instructors were dedicated to the process working a total 320 man-hours creating the lab that will be used in the training of students to meet fleet VMS requirements. “The dedication of the staff was highly important in this process,” said Chief Operations Specialist James Rodney, leading chief petty officer of CSCSU Great Lakes' operations specialist A School. “Without their hard work and determination to finish the lab, it would not have been ready for the implementation of OS Ready Relevant Learning (RRL).” The benefits of opening the new VMS lab allows us to alleviate lab bottleneck concerns, which can result in lost training time when another class is already in the lab. CSCSU can also raise their annual throughput of students because of the additional VMS lab. VMS is a computer-based system for navigation planning and monitoring. Its primary purpose is to contribute to safe navigation. The system is designed to increase the situational awareness of watch standers on the bridge and at other shipboard locations where the system is made available. The VMS user interface consists of one or more computer workstations that are linked via the ship's network or a Local Area Network (LAN). Multiple workstations and/or remote monitors may be provided, to place a VMS display at any required shipboard location. The lab is critical to OS “A” students because they are learning about safety of navigation. The addition of 80 hours of classroom and lab time will ensure VMS certified operations specialist report to their follow on commands better prepared to assist the bridge and combat information center watch teams with safe navigation soon after reporting onboard. “This lab is a benefit to students because they are provided access to the most up to date VMS lab Great Lakes has to offer with the most current version of VMS,” Rodney said. “It benefits CSCSU because it a tool the instructors can use to better provide training to the students and it alleviates potential bottle necks with classes. It benefits the Navy because every OS “A” student is leaving the schoolhouse with a VMS certification and this helps take pressure off the ships because it will lower the number of personnel they will need to send to VMS school in the Fleet.” On hand to praise the staff was CSCSU Commanding Officer Cmdr. Richie Enriquez. “Today's ribbon-cutting is a significant accomplishment to better prepare our students and support the fleet," Enriquez said. "The new VMS lab allows us to have a dedicated space for the training of our operations specialist and it is vital to implementing OS RRL curriculum. The time put in to ensure our students receive the highest caliber of training shows the professionalism, excellence and pride CSCSU takes in supporting our mission to develop and deliver surface ship combat systems training to achieve surface warfare superiority.” https://www.navy.mil/submit/display.asp?story_id=110365

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  29 octobre 2018 | International, Terrestre

  La Belgique renonce aux Rafale, mais achète des blindés à la France

  [ACTUALISE] Si Dassault et son Rafale n'ont pas su séduire le gouvernement belge, au grand dam d'Emmanuel Macron, la Belgique a annoncé concrétiser l'achat de 442 véhicules blindés auprès d'un consortium français composé de Nexter, Thales et Arquus, pour un montant de 1,5 milliard d'euros. Malgré un niveau de commandes plus faible que prévu. Un pas en avant, un pas en arrière. Si le gouvernement belge a suscité bien de la déception dans l'Hexagone en annonçant le 25 octobre ne pas opter pour le Rafale pour remplacer ses avions de chasse F-16 - Emmanuel Macron regrettant vendredi 26 octobre cette décision, estimant qu'elle va "stratégiquement à contrario des intérêts européens" -, il a malgré tout voulu rassurer en confirmant l'achat de véhicules blindés à un consortium français. Ce contrat avec les industriels français Nexter Systems, Arquus et Thales, avait été annoncé en juin 2017 par le ministre de la Défense belge Steven Vandeput. Il a pourtant vu sa voilure légèrement réduite : au lieu de l'achat de "60 nouveaux véhicules de combat médians du type Jaguar et 417 véhicules de combat légers du type Griffon" promis alors, l'armée de terre belge ne s'arrogerait plus que 60 Jaguar et 382 Griffon, qu'elle devrait mettre en service pour 2025-2030. "Ce partenariat inédit comporte également un volet opérationnel incluant des entraînements, de la formation et le maintien en condition opérationnelle des matériels concernés", annonce le ministère français des armées dans un communiqué du 26 octobre, précisant le montant du contrat: 1,5 milliard d'euros. 382 Griffon et 60 Jaguar Ces blindés ont été développés dans l'Hexagone dans le cadre du programme Scorpion de renouvellement des capacités de combat de l'armée de Terre française, auquel participent notamment Nexter Systems, Thales, Renault Trucks Defense ou encore Safran pour l'optronique. Le Griffon est un véhicule blindé multi-rôle (VBMR) disposant de six roues et pesant environ 25 tonnes. Il va remplacer les véhicules de l'avant blindé (VAB) que ce soit pour des missions de transport de troupes, poste de commandement, observation pour l'artillerie et évacuation sanitaire. Le Jaguar est, quant à lui, un engin blindé de reconnaissance de combat (EBRC). Lui aussi dispose de six roues et pèse près de 25 tonnes, mais il va remplacer les chars légers AMX10RC et Sagaie ainsi que les VAB équipés des missiles Hot. Canon de 40 mm télescopé, missile moyenne portée MMP, ou encore tourelleau téléopéré, vont composer son système d'armement. Du budget restant pour la future Europe de la défense Par ailleurs, en choisissant le F-35 américain de Lockheed Martin pour remplacer ses avions de chasse F-16 après 2023, au détriment du Typhoon d'Eurofighter et du Rafale de Dassault, la Belgique devrait économiser 600 millions d'euros par rapport à ce qui était budgété, a annoncé le Premier ministre Charles Michel le 25 octobre. Ils "pourront être en partie utilisés pour des pré-financements afin de sécuriser les retours sociétaux pour notre pays" alors qu'une autre partie est réservée pour d'éventuels projets futurs en matière de défense européenne, comme le futur système de combat aérien, précise le média belge La Libre Belgique. "L'offre française est arrivé après la clôture", a réagi pour sa part le 26 octobre Emmanuel Macron sur ce dossier. "Je regrette le choix fait. Il n'y avait pas que l'offre du Rafale, il y avait aussi l'Eurofighter, un vraie offre européenne. La décision est liée à une procédure belge, à des contraintes politiques du pays mais stratégiquement va a contrario des intérêt européens". "Je ferai tout pour que dans les appels d'offres à venir, des offres européennes soient promues", a promis le Président de la République, qui doit justement rendre le mois prochain une visite d'Etat à la Belgique, et discuter notamment de l'Europe de la Défense. https://www.usinenouvelle.com/article/la-belgique-renonce-aux-rafale-mais-achete-des-blindes-a-la-france.N761104

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  17 septembre 2018 | International, Naval

  Marines want to use artificial intelligence to help find and neutralize sea mines

  By: Todd South The Marines are looking for ways to leverage artificial intelligence and autonomy to find sea mines as they improve their ability to conduct littoral combat operations. A recent posting on the government website fbo.gov shows that the Marine Corps Rapid Capability Office is seeking such technology as early as fiscal year 2019 to “detect, analyze and neutralize” explosive ordnance in very shallow water and the surf zone. Chinese maritime doctrine and equipment development in recent years has included strategies to deploy scores of sea mines in key ocean chokepoints. Full article: https://www.marinecorpstimes.com/news/your-marine-corps/2018/09/14/marines-want-to-use-artificial-intelligence-to-help-find-and-neutralize-sea-mines