27 mars 2020 | International, Terrestre

U.S. Army awards $339 million contract for M109A7 Self-Propelled Howitzers and M992A3 carrier, ammunition, tracked vehicles

March 24, 2020 The U.S. Army has awarded BAE Systems a $339 million contract modification for the production of 48 vehicle sets of M109A7 Self-propelled Howitzer (SPH) and its companion, the M992A3 Carrier, Ammunition, Tracked (CAT) vehicle, and includes post-delivery support and spare parts.

The M109A7 SPH and M992A3 CAT vehicle set is a vital program enhancement for increased combat capability and sustainment of the Army's Armored Brigade Combat Teams (ABCTs). The program offers enhanced indirect-fire artillery capabilities to the ABCTs with new technologies for power generation and survivability.

The new M109A7 addresses long-term readiness and modernization needs of the M109 self-propelled howitzer family through a critical redesign and production plan that leverages today's most advanced technology. Its state-of-the-art “digital backbone” and power generation capability provides a more robust, survivable, and responsive indirect fire support capability for ABCT Soldiers. The M109A7 is a significant upgrade over the M109A6 as it enhances reliability, maintainability, performance, responsiveness, lethality, and crew survivability.

The initial contract was awarded in 2017 for low-rate production. This most recent order brings the total number of M109A7 and M992A3 vehicle sets to 204, with a total contract value of $1.5 billion. The award follows the Army's decision, announced in February, to commence full-rate production of the vehicle.

View source version on BAE Systems: https://www.baesystems.com/en/article/u-s--army-awards--339-million-contract-for-m109a7-self-propelled-howitzers-and-m992a3-carrier--ammunition--tracked-vehicles

Sur le même sujet

  • RTX awarded $400 million to deliver StormBreaker smart weapons to the U.S. Air Force

    6 janvier 2024 | International, Terrestre

    RTX awarded $400 million to deliver StormBreaker smart weapons to the U.S. Air Force

    StormBreaker is fielded on the F-15E Strike Eagle and F/A-18E/F SuperHornet with testing underway on all variants of the F-35

  • FUTUR AVION DE CHASSE EUROPÉEN : LA FRANCE RETROUVE SON LEADERSHIP AÉRONAUTIQUE

    13 janvier 2020 | International, Aérospatial

    FUTUR AVION DE CHASSE EUROPÉEN : LA FRANCE RETROUVE SON LEADERSHIP AÉRONAUTIQUE

    13 janvier, par Nicolas Lefebvre D'ici 2040, le Rafale français, l'Eurofighter allemand et le F-18 Hornet espagnol laisseront la place aux chasseurs de 5e génération du programme européen SCAF. Si les partenaires français de ce consortium tirent leur épingle du jeu, reste à mettre en place une gouvernance à long terme dans ce programme. Juin 2019, salon aéronautique du Bourget. Le patron de Dassault Aviation, Éric Trappier, ne cache pas sa fierté au moment de poser pour les photographes devant la maquette grandeur nature de la future fierté européenne en matière d'avions de chasse. Le SCAF (Système de Combat Aérien Futur, également baptisé Next Generation Fighter, noms provisoires) est certes sur les rails, mais il n'y a pas une minute à perdre. Le patron de Dassault est un homme pressé, et veut se donner les moyens de tenir les délais. « Ce n'est pas de l'impatience, c'est indispensable », a-t-il lancé au Bourget, avec le planning en tête : première démo en 2026, produit fini en 2040. Cela semble loin ; en réalité, c'est demain pour l'Europe de la défense. Tenir ce planning passera forcément par une bonne entente avec ses différents partenaires français, allemands et espagnols, les trois pays scellant leur avenir commun le 17 juin dernier. Genèse d'un projet pan-européen L'histoire mérite un petit retour en arrière. Initialement, Dassault devait convoler en justes noces avec les Britanniques de BAE Systems, l'un des géants européens de l'industrie de la Défense. En 2010, Paris et Londres – gr'ce au tandem Sarkozy-Cameron – sont sur la même longueur d'ondes, les premiers budgets de développement sont débloqués, le futur avion de chasse mobilise les équipes de part et d'autre de la Manche. En 2014, Dassault Aviation, BAE Systems, Thales, Rolls-Royce et Safran, auxquels se sont joints les Italiens de Leonardo, travaillent de concert. Jusqu'en 2016. Les dents grincent dans de nombreuses entreprises, Safran (ex-Snecma) a par exemple peur de disparaître, écrasé par Rolls-Royce. La coopération s'arrête, le divorce est consommé ; les Français cherchent d'autres partenaires et se rapprochent des Allemands. En juillet 2017, le tandem Merkel-Macron lance le programme SCAF, sous l'impulsion commune du Français Dassault Aviation et de l'Allemand Airbus Defence And Space, basé à Munich. La planification stratégique pour les 25 prochaines années se fera donc en haut lieu, suivant la vision de ces deux intégrateurs systémiques, piliers du projet. Ont par la suite rejoint l'aventure le motoriste allemand MTU Aero Engines et son homologue français Safran, l'électronicien français Thales et leurs homologues allemands Rohde & Schwarz et Hensoldt, ou encore le consortium européen MBDA et le fabricant allemand Diehl pour l'armement. Depuis, les Britanniques ont choisi de s'allier avec les Italiens de Aeronautica Militare et les Suédois de Saab pour développer le chasseur furtif Tempest. Mission nº1 : d'abord régler le différend avec les Allemands Retour à l'actualité. Les plus belles histoires connaissent elles aussi des couacs. Tout allait bien jusqu'en juin 2019, les Allemands sortant alors le carnet de chèque pour compléter un premier budget de 65 millions d'euros pour les 24 prochains mois, sachant que la recherche et développement s'élèvera à terme à 200, voire 300 millions d'euros. Mais Paris et Berlin sont tombés sur un os : les deux pays ne suivent pas la même politique diplomatique à l'export. Au printemps dernier, l'affaire des livraisons d'armes françaises à l'Arabie saoudite, dans le cadre de la guerre au Yémen, passe mal outre-Rhin. Le Bundestag – le Parlement allemand – est en effet très réticent à l'idée d'exporter des armes servant dans cette guerre en particulier. Une position d'autant plus paradoxale que l'Allemagne est beaucoup plus indulgente vis-à-vis des entreprises qui exportent par exemple des armes vers la Turquie, embourbée dans sa guerre contre les Kurdes. Un avion commun comportant des éléments français et allemands devra néanmoins nécessairement respecter les contraintes les plus fortes. En l'occurrence celles venues de Berlin. En septembre, le patron français de Dassault a demandé aux gouvernements français et allemand de régler cette brouille diplomatique pour ne pas entraver la bonne marche du programme commun. Mission nº2 : ensuite assurer le leadership systémique du projet Côté français, le programme SCAF réunit aujourd'hui les compétences et savoir-faire de fleurons de l'industrie de la Défense : l'avionneur Dassault Aviation, le motoriste Safran, ainsi que Thales pour la partie électronique. Trois grandes entreprises du secteur régalien de la Défense. Thales – dirigé par Patrice Caine – et Safran – dirigé par Philippe Petitcolin –ont en commun d'avoir l'Etat français à leur capital, respectivement à hauteur de 25,7% et de 11%. L'Etat français est également présent indirectement chez Dassault via la participation d'Airbus (9% environ, sachant que l'l'Etat détient 11% d'Airbus). A noter que Dassault Aviation, aux mains de la famille Dassault – détient également 24,3% de Thales. Chez Dassault, la priorité est désormais de garder la main sur le projet, et de rendre pérenne la coopération franco-allemande. Une position de nº1 qui fait d'ailleurs des envieux, notamment du côté de Thales. Entre les patrons de Dassault et de Thales, il y a d'ailleurs un petit air de Je t'aime, moi non plus, les deux entreprises se connaissant par cœur puisqu'elles collaborent sur de nombreux projets et en premier lieu sur le fleuron militaire de Dassault, le Rafale. En réalité, Patrice Caine a très mal pris de ne pas être intégré au projet SCAF, dès le début. De plus, si Dassault considère que le fuselage reste la pierre angulaire d'un avion furtif, Thales pense que l'électronique et l'intelligence artificielle ont déjà pris le pas sur plateformes. En clair, Thales ne veut plus de l'étiquette de simple « équipementier » et se rêve désormais en maître d'œuvre des grands programmes d'armements. Sachant que du terrestre au naval, en passant par l'aérien, Thales est présent absolument partout, l'argument n'est pas complètement dénué de sens. De plus, les systèmes d'armes actuels sont effectivement centrés sur la communication entre systèmes de capteurs et systèmes d'armes, cœur de métier de Thales version défense. Pour autant, Thales manque cruellement de l'expérience nécessaire à la conduite des grands programmes. Il est possible que l'adoubement de Caine par Emmanuel Macron, après le rejet de la candidature d'Henri Proglio en 2015, ait donné des ailes au patron de Thales dont l'ambition dévorante dérange, en interne comme en externe. Le groupe n'hésite pas en effet à croiser le fer avec ses condisciples industriels de défense et Patrice Caine est coutumier des joutes franco-françaises : pour marquer son territoire il n'hésite pas, par exemple, à présenter Thales face à des partenaires français comme cela a pu être le cas face au constructeur maritime Naval Group début 2019 lors d'un important appel d'offre belgo-néerlandais qu'il a finalement perdu. L'histoire ne manque pas de sel quand on sait que la société détient 35% de Naval Group. Thales ne manque pas pourtant de sujets internes de préoccupation voire d'inquiétude, parmi lesquels l'intégration de Gemalto, spécialiste de la cybersécurité récemment racheté pour 5,6 milliards d'euros. Pour revenir sur le futur avion de chasse européen, Éric Trappier garde la main. Et à travers lui, l'aéronautique français dans son ensemble. La France n'est pas la seule bénéficiaire de ce programme ; se joue aussi à long terme la souveraineté industrielle de l'Europe sur les questions de défense. https://www.taurillon.org/futur-avion-de-chasse-europeen-la-france-retrouve-son-leadership

  • The US Army is building zombies. (No, not the brain-eating kind.)

    18 août 2020 | International, Aérospatial

    The US Army is building zombies. (No, not the brain-eating kind.)

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army is recycling demilitarized rocket motors and repurposing the materials to make test missiles and it's saving the service money, according to Thomas Webber, director of the Army's Space and Missile Defense Command Technical Center. These test missiles are called “zombies” and save the Army from having to destroy old boosters, giving them a new life, Webber said during the Defense News Space and Missile Defense Symposium Debrief event Aug. 5. The effort started several years ago when the Army's Program Executive Office for Missiles and Space and the Patriot air and missile defense lower-tier product office began running out of targets for tests and spending “a lot” of money to buy more targets, Webber said. The tech center proposed a “significantly cheaper” solution of using recycled motors reaching the end of operational life that would be appropriate for both developmental and operational missile tests, which are accurately representative of ballistic missile threats, he said. Following a demonstration at the end of 2016, the zombies have taken off. “We've been very successful,” Webber said. Since then, the program has expanded, providing targets not only for Patriot testing, but also the Missile Defense Agency and foreign military sales test events. The Army has built seven targets to date. There are three variants: Pathfinder Zombie; the Black Dagger Zombie that adds an additional booster — the Terrier MK70 — for longer ranges; and Sabre, a shorter-range version. A zombie was the target used in a recent critical test showing the Patriot system could be interoperable with the Army's Terminal High Altitude Area Defense system, Webber said. Another target was successfully deployed in a June 25 test at White Sands Missile Range, New Mexico, for a foreign military sales customer. The targets will be used in some of the upcoming tests that will help officials make decisions on the Lower-Tier Air-Defense Sensor, the future radar for the Army's Integrated Air-and-Missile Defense System to replace Patriot, Webber noted. Specifically, a Black Dagger will be used during the IAMD Battle Command System limited-user test coming up next month. “It has been a tremendous boon for us to be able to provide a more affordable, effective target,” Webber said. He added that the Army is saving roughly 50 percent of what it would cost to replace targets simply by buying more. “We can turn these around pretty quickly and support those operational test events,” he said. And it has provided “the capability needed to be able to make sure that we're validating and testing those operational weapon systems with regular and recurring test events,” Webber said. https://www.defensenews.com/land/2020/08/16/the-us-army-is-building-zombies-no-not-the-brain-eating-kind/

Toutes les nouvelles