16 décembre 2019 | Local, Aérospatial

Trudeau directs ministers to cement fighter deal

by Ken Pole

The long-overdue replacement of the Royal Canadian Air Force's fleet of Boeing CF-188 Hornets was highlighted Dec. 13 in Prime Minister Justin Trudeau's mandate letters to his new cabinet.

Defence Minister Harjit Sajjan, who had the fighter program in his sights throughout his first four years in the portfolio, and Public Services and Procurement Minister Anita Anand, a newcomer to Parliament, have been directed to co-operate on finally getting a contract.

There are three remaining contenders: Lockheed Martin's F-35A Lightning II, Boeing's F/A-18 E/F Super Hornet, and the Saab Gripen E/F.

Trudeau's letter to Sajjan makes it clear that new fighters would be part of a renewed commitment not only to national defence, but also to the continental umbrella afforded by the North American Aerospace Defense Command (NORAD) as well as meeting international commitments through the United Nations and the North Atlantic Treaty Organization (NATO).

While cabinet veteran Navdeep Bains, minister of Innovation, Science & Industry, is not mentioned in Sajjan's letter, he is referred to in Anand's letter, mainly due to his ministry's oversight of industrial spinoffs from the fighter contract.

https://www.skiesmag.com/news/trudeau-directs-ministers-to-cement-fighter-deal

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  • Salon de Farnborough : Héroux-Devtek signe un contrat avec Boeing

    18 juillet 2018 | Local, Aérospatial

    Salon de Farnborough : Héroux-Devtek signe un contrat avec Boeing

    Au deuxième jour du Salon international de l'aéronautique de Farnborough au Royaume-Uni, mardi, l'industrie québécoise a été plus active, notamment gr'ce à Héroux-Devtek, qui a décroché un contrat militaire auprès de Boeing. Présente au plus important rendez-vous du secteur cette année, l'entreprise de Longueuil a indiqué mardi avoir été retenue par le géant américain pour la fabrication du train d'atterrissage principal des avions de chasse Super Hornet F18 et du EA-18G Growler. La valeur de l'entente n'a pas été précisée, mais Héroux-Devtek sera également responsable de la fabrication de pièces de rechange destinées aux nouveaux appareils ainsi qu'aux quelque 700 avions F18 de la flotte de l'armée américaine. « Nous sommes ravis d'avoir été choisis, a indiqué le président et chef de la direction de la société québécoise, Gilles Labbé. Ceci confirme nos liens de plus en plus étroits avec Boeing et représente une avancée importante pour nos activités du secteur de la défense. » Les premières livraisons doivent débuter à compter du troisième trimestre de 2020. Héroux-Devtek fait déjà affaire avec Boeing dans le cadre d'un important contrat pour la fabrication des trains d'atterrissage des avions de ligne 777 et 777X – en plus d'être responsable de la fabrication de pièces de rechange – ainsi que ceux de l'hélicoptère militaire Chinook. L'analyste Benoît Poirier, de Desjardins Marchés des capitaux, a souligné que cette nouvelle entente démontrait que Héroux-Devtek était capable d'élargir ses liens d'affaires avec le géant américain. « L'annonce confirme également, selon nous, que Boeing demeure engagée à l'égard du Canada en dépit de la récente dispute commerciale entre l'entreprise et Bombardier [à propos de la C Series] », a-t-il écrit dans une note. Derek Spronck, de RBC Marchés des capitaux, a pour sa part estimé que ce nouveau contrat venait ouvrir la porte à une croissance significative des revenus de la société d'ici 2020. À la Bourse de Toronto, le titre de Héroux-Devtek a bondi en début de séance, se rapprochant temporairement de son sommet annuel de 16,75 $. Le titre a finalement terminé la séance à 15,40 $, en hausse de 10 cents, ou 0,65 %, par rapport à son cours de clôture de lundi. D'autres annonces effectuées par la délégation québécoise présente à Farnborough : La société française spécialisée dans les services techniques et industriels Groupe NSE et Drakkar, un fournisseur canadien de services d'impartition, vont créer plus de 100 emplois à Montréal sur 3 ans dans le cadre de la mise sur pied d'une entreprise de services techniques et logistiques. Le gouvernement Couillard prêtera 11,5 millions de dollars sans intérêt à Esterline CMC Électronique, qui modernisera son usine montréalaise au coût de 24,4 millions de dollars, notamment afin de consolider 93 emplois. Safran Systèmes d'atterrissage Canada, qui fait partie du groupe industriel français Safran, reçoit une aide de deux millions de dollars de Québec afin de moderniser son usine de Mirabel. Ce projet est évalué à 11,8 millions de dollars. Aéro Montréal et Aerospace Wales Forum, la grappe aérospatiale du Pays de Galles, ont convenu d'un rapprochement afin de simplifier l'accès aux entreprises québécoises et galloises aux maîtres d'œuvre et à leurs chaînes d'approvisionnement. Le Consortium de recherche et d'innovation en aérospatiale au Québec, le Consortium en aérospatiale pour la recherche et l'innovation au Canada et le Hamburg's Center of Applied Aeronautical Research ont signé une entente de coopération entourant la recherche collaborative. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1113261/boeing-avions-chasse-hornet-f18-train-atterissage-industrie-quebec-royaume-uni

  • Le Canada va acquérir une nouvelle flotte de 88 avions de chasse F-35

    9 janvier 2023 | Local, Aérospatial

    Le Canada va acquérir une nouvelle flotte de 88 avions de chasse F-35

    Discours Bonjour à tous. Good morning. Je me joins à vous depuis le territoire traditionnel de la Première Nation des Mississaugas of the Credit, des Hurons-Wendat et des Haudenosaunees.  En deux-mille-dix-sept, nous avons lancé une compétition ouverte, équitable et transparente pour le remplacement permanent de la flotte d’avions de chasse du Canada.  Nous l’avons fait parce que nous sommes déterminés à fournir à nos aviateurs l’équipement le plus avancé, le meilleur sur le marché, et donc obtenir le bon avion au bon prix pour les Canadiens. Dans un monde de plus en plus inquiétant, avec la guerre illégale et injustifiée menée par la Russie en Ukraine et le comportement de plus en plus assuré de la Chine dans la région indo-pacifique, ce projet est devenu encore plus important – surtout compte tenu de l’importance de l’interopérabilité avec nos alliés. Services publics et Approvisionnement Canada est arrivé au point culminant de son processus robuste en sept étapes visant à faire l’acquisition d’une flotte d’avions-chasseurs pour le Canada.  Je suis ici pour annoncer que le Canada va acquérir une nouvelle flotte de quatre-vingt-huit avions de chasse F-trente-cinq, grâce à un accord que nous avons conclu avec le gouvernement des États-Unis et Lockheed Martin avec Pratt and Whitney.  Cet investissement est estimé à dix-neuf milliards de dollars - ce qui en fait le plus important investissement dans notre Aviation royale canadienne depuis trente ans. Cette acquisition se fera grâce au financement prévu dans notre politique de défense Protection, Sécurité, Engagement, publiée en 2017, et s’inscrit dans notre engagement de veiller à ce que notre Force aérienne dispose de l’équipement nécessaire pour protéger la population canadienne. Le F-35 (F-trente-cinq) est un avion de chasse moderne, fiable et agile utilisé par nos plus proches alliés en mission dans le monde entier. Il s’agit de l’avion de combat le plus évolué sur le marché, et c’est l’avion de choix pour le Canada. Le F-35 (F-trente-cinq) permet de renforcer les capacités de renseignement, de surveillance et de reconnaissance des pilotes, améliorant ainsi leur connaissance de la situation et leur capacité de survie dans l’environnement opérationnel actuel très dangereux.  Le Canada se procure la nouvelle flotte de quatre-vingt huit chasseurs par tranches, en commençant par une première tranche de seize appareils.  Il est prévu que : les quatre premiers appareils soient livrés en 2026,  les six suivants en 2027,  et les six derniers en 2028.  Et que la flotte complète soit arrivée à temps pour permettre le retrait progressif des chasseurs CF-18 (CF-dix-huit) d’ici la fin de 2032.  Alors que nous tâchons d’établir une nouvelle flotte, nous veillons aussi à ce que notre Force aérienne dispose de l’aéronef dont elle a besoin pour protéger le Canada dans l’intérim. Nous nous sommes procuré des F 18 de l’Australie pour accroître notre flotte existante d’aéronefs CF-18, qui fait également l’objet d’une mise à niveau dans le cadre du projet de prolongation du cycle de vie des chasseurs Hornet. Ces deux initiatives contribueront à prolonger le cycle de vie de notre flotte de CF-18 jusqu’en 2032 et nous permettront d’effectuer une transition progressive du CF-18 au F-35 – tout en garantissant que l’ARC soit bien équipée pour soutenir d’importantes missions de défense en Amérique du Nord, de même qu’à l’échelle internationale. En faisant l’acquisition de cette flotte, nous améliorons les capacités du Canada dans notre espace aérien et nous permettons une coordination plus étroite et plus fluide avec nos alliés. Cette nouvelle flotte de chasseurs assurera la capacité du Canada à remplir ses obligations militaires chez nous, et lui permettra de respecter ses engagements dans le cadre du NORAD et l’OTAN. Cet investissement de dix-neuf milliards de dollars comprend non seulement les avions, mais aussi l’équipement connexe, les installations et les services de soutien, ainsi que la construction d’installations modernes pour les escadrons de chasseurs à Bagotville, au Québec, et à Cold Lake, en Alberta. Ces installations accueilleront à la fois les escadrons opérationnels et d’instruction et elles comprendront des espaces destinés aux opérations quotidiennes, à l’entretien, à l’administration, à la planification des missions et à l’entraînement sur simulateur à l’appui de la flotte dans son ensemble. Parallèlement, au moyen d’un financement distinct annoncé précédemment, nous allons de l’avant avec des investissements qui s’inscrivent dans notre plan de modernisation du NORAD, y compris une gamme de mises à niveau de l’infrastructure à l’échelle du Canada pour appuyer les opérations du NORAD et des aéronefs F-35. Ensemble, ces projets affineront notre avance militaire, nous permettant ainsi d’assurer la sécurité des Canadiens – et ils créeront des possibilités économiques pour notre pays. L’achat et l’entretien initial des chasseurs F-35 pourraient contribuer annuellement pour plus de 425 (quatre-cent-vingt-cinq) millions de dollars à l’économie canadienne et créer près de 3 300 (trois-mille-trois-cents) emplois par année au sein de l’industrie canadienne sur une période de 25 (vingt-cinq) ans. En fait, la participation du Canada au programme d’Avion de combat interarmées ces dernières années a déjà permis à des entreprises canadiennes de décrocher des contrats d’une valeur totalisant près de trois milliards de dollars américains, et ce nombre ne fera qu’augmenter. En somme, ce sont environ trois milles F-35 qui devraient être construits pour des partenaires et alliés partout dans le monde – et chacun de ces avions à réaction comprendra aussi des composantes canadiennes, notamment des pièces de train d’atterrissage, des pièces de moteur et des logiciels – ce qui fera du F-35 un fier exemple du calibre mondial des industries canadiennes de l’aérospatiale et de la défense. Nos industries seront aussi bien placées pour participer aux importantes possibilités d’entretien des flottes tant canadiennes que mondiales. À l’avenir, nous continuerons à travailler étroitement avec nos partenaires de l’industrie pour fournir les informations les plus récentes sur les possibilités dont nos travailleurs et nos entreprises peuvent bénéficier. Cela inclut notamment les entreprises autochtones, et celles du Nord. Alors que les tensions augmentent à l’échelle mondiale, notre engagement à assurer la protection des Canadiens et des Canadiennes demeure inébranlable. Nous sommes déterminés à faire les investissements nécessaires pour protéger le Canada – et notre annonce d’aujourd’hui est une preuve de cette détermination. Cette flotte d’avions de chasse F-35 de conception avancée permettra à nos aviateurs et aviatrices d’avoir la capacité à long terme de défendre le deuxième plus grand espace aérien au monde. Elle nous aidera aussi à respecter nos engagements envers le NORAD et l’OTAN, et elle apportera des avantages économiques concrets au Canada. À nos aviateurs et aviatrices de l’Aviation royale canadienne, ainsi qu’à toutes les Forces armées canadiennes : merci pour votre service et votre dévouement envers le Canada. Vous risquez votre vie pour notre pays, et nous veillerons à ce que vous disposiez de l’équipement haut de gamme dont vous avez besoin pour assurer la sécurité du Canada. Aujourd’hui, je confirme que le Canada se procure  le meilleur avion de chasse sur le marché au meilleur prix pour les Canadiens. Et je remercie tous ceux et celles qui ont joué un rôle dans la réalisation de cet achat. Thank you, merci, miigwetch. https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2023/01/annonce-concernant-lacquisition-des-f-35.html

  • Feds to move military aircraft testing from Alberta to Ottawa, but Cold Lake politicians say they're in the dark

    7 décembre 2018 | Local, Aérospatial

    Feds to move military aircraft testing from Alberta to Ottawa, but Cold Lake politicians say they're in the dark

    David Pugliese, Ottawa Citizen and Tyler Dawson DND officials said there had been consultation about the move with local politicians. 'It's totally not true,' said local MP David Yurdiga The federal government will create a new centre of excellence in Ottawa to support aircraft testing, but it will come at the cost of relocating staff and shutting down existing military facilities in Alberta. The move affects the Canadian military's Aerospace Engineering Test Establishment, or AETE, which has been at Cold Lake, Alta. since 1971. Under the new plan AETE would be relocated to the international airport in Ottawa and partnered with the National Research Council Flight Research Laboratory and Transport Canada Aircraft Services Directorate to create a centre of excellence for flight testing and evaluation. The move would affect almost one-third of the unit, which employs 166 military personnel and 22 public servants. The remaining two-thirds would be reassigned to other air force functions, said Department of National Defence spokesman Dan Le Bouthillier. Moving AETE will save $14 million a year and free up space for the arrival of more fighter jets at Cold Lake. Canada is in the process of purchasing used fighter aircraft from Australia and the federal government has committed to buying 88 new jets to replace the existing fleet of CF-18s. “This partnership will streamline our flight testing and evaluation capability, while ensuring sufficient space is available for the arrival of additional fighter aircraft in Cold Lake,” Le Bouthillier said. The move, however, is not sitting well with local politicians. David Yurdiga, the Conservative MP for the area, said he'd heard about the move on Monday when it was raised at the House Commons Standing Committee on Public Accounts. DND officials briefing the committee said there had been consultation about the move with local politicians. “It's totally not true,” said Yurdiga. Craig Copeland, the mayor of Cold Lake, said the city hasn't yet received a briefing from officials in Ottawa. “It's been sort of verbally mentioned over the years that there would be a re-org,” he explained. “We're hoping to get somebody to brief us.” Details about the exact number of jobs that will be moved from Alberta are still not clear. It is not known how many of the air force personnel who will be reassigned to new jobs would continue to operate from Cold Lake. Yurdiga said the loss of jobs would hit the community hard but he added that defence minister Harjit Sajjan had assured him there would be a “net benefit” to the community. “Cold Lake can't afford to lose even one position,” Yurdiga said. “There are so many unanswered questions and uncertainty is what the community is facing,” he added. Copeland said he had heard an estimate of 50 jobs being lost. That would be a real blow to the area, already suffering from depressed oil prices, and with a home foreclosure rate, he said, of around 10 per cent. “That is concerning to me,” Copeland said. “On the one hand it's tough to see people leave our community but on the other hands, we are hopeful — and expecting — that the Canadian military's going to be investing (locally) for the new fighter jet program.” AETE currently occupies the second-largest and newest hangar at Cold Lake, which will be repurposed for other air force needs, including the new fighter program. The final details of the move are still being worked on, including costs, Le Bouthillier said. DND is in ongoing discussions with the Ottawa International Airport Authority regarding the location of the new centre, he added. The costs for relocating AETE are included in the $470 million the Liberal government has set aside for buying the used Australian F-18 fighter jets, and would not take place before summer 2021. The Cold Lake location was primarily selected for AETE because of the large evaluation range nearby and its favourable climate for flight testing. AETE employs test pilots, flight test engineers, qualified systems evaluators, specialist engineers, and technologists. Postmedia first revealed the proposal to move AETE in April 2016. The plan first started under the Conservative government but the Liberals continued with the relocation initiative. At the time the Canadian Forces said it would still use the bombing ranges associated with the Cold Lake installation but other test work could be moved. At the time, the military told defence industry representatives the remote Cold Lake location made it challenging to attract or retain people and that relocating could save money. https://nationalpost.com/news/so-many-unanswered-questions-feds-to-move-military-aircraft-testing-from-alberta-to-ottawa-but-locals-say-theyre-in-the-dark

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