14 septembre 2024 | International, Aérospatial

Taiwan hopes delayed F-16s start arriving by end of this year

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  • DARPA Invites Proposals For Active-Flow-Control X-Plane

    15 août 2019 | International, Aérospatial

    DARPA Invites Proposals For Active-Flow-Control X-Plane

    By Graham Warwick DARPA has formally launched a program to build and fly an X-plane designed around active flow control (AFC), potentially eliminating the need for moving control surfaces. Designing from the ground up around AFC, rather than modifying an existing aircraft, is expected to yield performance and operational benefits. A broad agency announcement (BAA) was released on Aug. 12 for the first two of four planned phases of the Control of Revolutionary Aircraft with Novel Effectors (Crane) program. A proposers' day is scheduled for Aug. 26 and proposals are due to be submitted by Nov. 8. A budget of $21 million is available for multiple awards under the 12-month Phase 0, which will focus on the aircraft design process and understanding the trade space. DARPA expects performers to enter this phase with multiple candidate configurations and flow-control approaches. Each Phase 0 contract will end with a conceptual design review for one or more configurations. Phase 1 will continue to mature up to two concepts and is expected to involve component-level testing and demonstrations to inform a system requirements review. This nine-month phase is planned to culminate in a preliminary design review for the proposed X-plane. DARPA plans to downselect to one performer at the end of Phase 1 in second-quarter fiscal 2022 and award a contract for Phase 2 detailed design. This is planned to conclude in a critical design review and lead to a go/no-go decision in the second quarter fiscal of 2023 for Phase 3 building and flying of the X-plane. First flight is planned for the third quarter of fiscal 2024. DARPA wants a “tactically relevant scale aircraft,” the BAA says. This may include a “clean-sheet design or modification of an existing aircraft.” The agency expects substantial use of off-the-shelf components for the flight demonstrator so that program resources can be focused on AFC development and testing. AFC modifies the flow field around the aircraft using mechanical or fluidic actuators. The BAA specifically excludes using large external moving surfaces, mechanical vectoring of engine exhaust or other traditional moving aerodynamic control surfaces. AFC applications identified in the BAA include eliminating moving control surfaces for stability and control and improving takeoff and landing performance, high-lift flight, thick-airfoil efficiency and high-altitude flight. Proposers may identify additional applications and benefits. A NATO technical study involving Lockheed Martin, BAE Systems and academic institutes in the U.S. and UK identified that an unmanned combat aircraft with AFC could have stealth and other potential performance benefits during the ingress and egress phases of a strike mission. https://aviationweek.com/defense/darpa-invites-proposals-active-flow-control-x-plane

  • Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    18 février 2019 | International, Sécurité

    Mettre en place un Conseil de sécurité européen ? Une idée à travailler

    (B2) Berlin insiste régulièrement sur un point souvent oublié dans la rhétorique sur l'armée européenne : la mise en place d'un « Conseil de sécurité de l'UE ». Un point qui mérite un peu d'attention Avec mes amis de ‘La faute à l'Europe‘ (J. Quatremer, Y. A. Noguès, K. Landaburu, H. Beaudoin), qui reçoivent ce week-end Michèle Alliot Marie, alias MAM, l'ancienne ministre de la Défense (sous Jacques Chirac) et ministre des Affaires étrangères (sous Nicolas Sarkozy), nous parlons ‘défense', ‘Europe puissance' et notamment de ce Conseil de sécurité européen (video). @bruxelles2 pèse le pour et le contre d'un Conseil de sécurité européen à l'image de @ONU_fr pic.twitter.com/JfbkGh4Kot Une proposition franco-allemande Cette proposition ne nait pas de nulle part. Elle figurait en dernier lieu dans la déclaration de Meseberg adoptée par les deux dirigeants Emmanuel Macron et Angela Merkel en juin 2018. L'objectif est d'avoir un « débat européen dans de nouveaux formats » et « d'accroitre la rapidité et l'efficacité de la prise de décision de l'Union européenne [en matière] de politique étrangère » (lire : Défense, Sécurité, Migrations, Développement, l'accord franco-allemand de Meseberg). Une explication merkelienne Au Parlement européen, en novembre 2018, la chancelière Angela Merkel souligne l'importance d'« une enceinte au sein de laquelle des décisions importantes pourront êtres prises », avec une « présidence tournante » (lire : « Une armée (européenne) montrerait au monde qu'entre (nous) il n'y aurait plus de guerre » (Angela Merkel). Le format serait limité précise-t-on du côté allemand : « un petit cercle d'États se relayant et représentant l'ensemble de l'UE [pour] travailler plus promptement et intensément au règlement des crises en cours. » (1) Une certaine réserve française Du côté français, on ne peut pas dire que le projet suscite une grande mobilisation. A l'Élysée, la prudence est de règle : « C'est une idée [de] la Chancelière. Ce pourrait être une proposition commune, mais cela mérite encore [d'être travaillé] » l'che en ‘off' un Élyséen, à quelques journalistes (dont B2) en novembre 2018. Et d'ajouter : « Nous n'avons pas de détails proposés par le gouvernement allemand : est-ce un forum pour discuter ou pour décider des questions de politique étrangère ? Ce n'est pas encore une position qui est mûrie. » (3) Une idée mal perçue dans les milieux européens Dans les couloirs européens, cette idée est à peine commentée. « Je suis un peu sceptique sur la création d'une nouvelle structure. Est-elle vraiment nécessaire. N'a-t-on pas déjà pas assez de structures » s'interroge un bon connaisseur des questions sécuritaires interrogé par B2, résumant assez bien le sentiment à Bruxelles, perplexe et qui a, à peine, réfléchi sur l'idée. Un vide béant de réflexion stratégique Cette proposition répond pourtant à un réel besoin. L'Union européenne souffre aujourd'hui d'un vide béant d'absence de direction politique au plus haut niveau, d'anticipation stratégique et de réactivité en cas de crise majeure. Parler d'autonomie stratégique ou de réflexion sans avoir une instance capable de décider est un leurre. Des leaders européens absents collectivement Certes, en théorie, le Conseil européen doit se pencher une fois par an au minimum sur les grandes questions de sécurité. Mais cette disposition du Traité de Lisbonne est restée plutôt lettre morte. Force est de constater que ces dernières années, sur toutes les crises majeures — Libye, Syrie, Irak, Ukraine, crise migratoire, coup d'état en Turquie, etc. — les Chefs d'État et de gouvernement européens, collectivement, ont été ‘à la ramasse'. Un manque d'anticipation certain Pour en attester, il suffit de reprendre la liste des crises récentes. Les 28 ont-ils à la veille de signer l'accord d'association avec l'Ukraine clairement évalué les conséquences de cet acte sur les relations avec la Russie, donné leur accord en bonne et due forme ? Ont-ils planifié un dispositif de gestion de crise soit diplomatique, soit militaire en cas d'intervention russe (largement prévisible) ? Lors de la déroute du printemps arabe en Syrie, ont-ils anticipé la crise des réfugiés et des migrants à venir ? Après l'intervention franco-britannique en Libye, qui laisse un pays déchiré et un État failli, ont-ils envisagé et débattu de la solution à apporter à la crise, en commençant par résoudre leurs différends ? Lors du coup d'Etat en Turquie, y-t-a-il eu une réunion de crise par rapport à un pays le plus proche ? Non, non ! Des questions posées trop vite abordées Au mieux, les ‘Leaders' ont discuté une ou deux heures pour s'accorder sur les traitements collatéraux de la crise (rupture des liens diplomatiques, aide humanitaire, sanctions...). La plus longue discussion au cours de ces dernières années a été consacrée à définir l'intensité des sanctions mises en place sur la Russie. Mais rarement pour tenter de résoudre leurs différends, trouver des solutions ou b'tir des feuilles de route. Au pire, ils ont préféré ne pas trop se pencher sur la question. Une réforme facile à mettre en place Si l'on met de côté certains aspects proposés par A. Merkel, avoir un Conseil de sécurité de l'Union européenne est possible dans le cadre existant. Pas de modification de traité Ce projet ne nécessite pas de modification des traités constitutifs. Il suffit juste de changer les usages. On peut décider (par exemple) de consacrer une demi-journée lors de chaque Conseil européen aux grandes questions internationales ou (autre exemple) dédier une de ses quatre réunions annuelles aux questions internationales. Il serait même possible de tenir une ou deux fois par an un Conseil européen informel dans un pays tournant (permettant à un chef de gouvernement de coprésider la réunion). Juste changer les usages Rien n'empêche d'ailleurs quelques pays plus proches en matière d'approche sécuritaire — France, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie — de tenir régulièrement des conciliabules préparatoires à l'image des réunions G6 des ministres de l'Intérieur (un petit cercle conjoint). Rien n'empêche aussi de joindre à ces réunions des Chefs, une réunion parallèle des ministres de la Défense ou des Affaires étrangères, voire des ambassadeurs, pour mettre en musique immédiatement les mesures décidées par les Chefs. Toutes ces dispositions, tout à fait possibles dans les traités existants, permettraient de se rapprocher du modèle prôné par A. Merkel. Un dispositif diplomatique et technique prêt à répondre Au-dessous du niveau politique, le dispositif européen en cas de crise est plutôt complet et prêt à travailler. On a ainsi des ambassadeurs des 28 (le Comité politique et de sécurité), qui siègent en permanence à Bruxelles, avec au minimum deux réunions par semaine (sans compter les petits déjeuners, goûters et autres dîners informels) permettant d'échanger et affiner des positions communes. En cas d'urgence, une réunion du COPS peut être improvisée. Ces diplomates, discrets mais parfaits connaisseurs de leurs sujets, sont tenus d'être là, 24h/24 sur le pont. J'en ai été témoin à plusieurs reprises. Des réunions ont eu lieu le dimanche, au mois d'août, à 6 heures du matin ou à 22 heures le soir. Un dispositif de veille et d'analyse On a aussi un dispositif de veille du renseignement (l'IntCen) (dirigé aujourd'hui par un Allemand ancien des services de renseignement) qui produit régulièrement des notes d'analyses. Ces notes — environ 1400 par an — sont plutôt bien appréciées de leurs destinataires, selon mes informations. On peut ajouter à cela des dispositifs de réaction de crise — cellule de protection civile à la Commission européenne, état-major militaire de l'UE (EUMS), commandement des missions civiles (CPCC) etc. — qui existent et ne demandent qu'à produire des résultats. Tous ces dispositifs peuvent au besoin être renforcés et rendus plus performants. (Nicolas Gros-Verheyde) https://www.bruxelles2.eu/2019/02/16/mettre-en-place-un-conseil-de-securite-europeen-une-idee-du-futur/

  • European States Plan For Hypersonic Defense

    15 janvier 2020 | International, Aérospatial

    European States Plan For Hypersonic Defense

    Tony Osborne The complex nature of intercepting hypersonic weapons may predicate air-breathing propulsion technologies to provide additional range, speed and energy. European countries have linked arms to develop a counter to the emerging threat of hypersonic weapons and enhance their ballistic missile defense (BMD) capabilities. The Timely Warning and Interception with Space-based TheatER surveillance (Twister) project, led by France and supported by Finland, Italy, the Netherlands and Spain, is one of 13 new multinational programs that were given the backing of the EU's Permanent Structured Cooperation (PESCO) initiative in November. It says it aims to develop a European system that can “detect, track and counter” more complex missile threats and give member nations a “self-standing ability to contribute to NATO's ballistic missile defense.” Currently, only a handful of European nations can counter ballistic missiles, including European users of the Raytheon Patriot (Germany, Greece, the Netherlands and Spain), as well as France and Italy with the Eurosam SAMP/T. But none of those systems is ready to deal with the new generation of threats emerging from Russia and China, including hypersonic gliders, hypersonic and high-supersonic cruise missiles, and maneuverable next-generation combat aircraft. The U.S. has also begun examining technologies through its Regional Glide-Phase Weapon System (RGPWS), disclosed by Aviation Week in December, and the Hypersonic Defense Weapon System. “We have seen the hypersonic threat coming,” says Rainer Stockhammer, team leader for Twister at European missile manufacturer MBDA. “Over the last five years we have performed studies into these new threats, which are new in terms of both novelty and maneuverability, and now we are in a position to answer this PESCO call.” MBDA is now positioning itself for a role in developing the endoatmospheric interceptor that could be the backbone of the wider Twister system in the 2030s, describing the future system as “disruptive” and “technologically demanding.” The company will not discuss what architecture it is studying for the future interceptor, but Stockhammer says MBDA's experience with the Aster family of vertically launched surface-to-air missiles and the Meteor air-breathing, beyond-visual-range air-to-air missile has given it a “good position . . . to be able to develop a solution.” The company's artist's impression depicts a missile clearly equipped with air intakes, which would suggest the use of a ramjet like on the Meteor. Use of a ramjet would provide not only more range and speed, but also more energy in the final stages of an engagement to maneuver against hypersonic gliders and other maneuverable reentry vehicles. “We know what kind of accuracy and range we need from the sensing part,” says Stockhammer. “Now we will look at a way to manage the unpredictability and look at engagement planning. . . . This is where we are investing.” MBDA has also been looking at the command-and-control mechanisms required for such a system and how it would interface with existing and future sensors. Individual governments will ultimately decide how they will equip with the future interceptor, but MBDA expects it to arm ships and a ground-based air defense system, with the expectation the system may have to squeeze into existing launch boxes and vertical launch tubes on surface ships. Securing the nod from PESCO is a major step forward for the program. The next step will be for the five nations to begin hammering out a concept and a high-level requirement. MBDA officials say they are working toward a timeline of the 2030s to produce an operational system. By working through PESCO, the five nations are hoping this will enable them to secure development funding from the European Defense Fund (EDF), which is expected to provide €13 billion ($15 billion) to support collaborative defense projects in 2021-27. It is unclear how much a program such as Twister could receive from the fund. Money will also be provided by national governments involved in the Twister program. Although MBDA lobbied in France for European nations to pursue an evolution of European BMD capabilities, prompting Paris to take a lead in what became Twister, the company is unlikely to be the only player in the program. The interceptor will be just one component of Twister. The PESCO initiative also calls for space-based early warning, but no details have emerged about the European industry approach to this yet. PESCO and EDF rules call for cooperation between industry, particularly small and medium-size enterprises, as well as between member states. “We would need to build an industry consortium that is clear, but it is too early to talk about how this might look,” notes Stockhammer. The PESCO initiatives allow for additional nations to join and observe the programs, although it remains unclear whether the EU will allow so-called third countries, which will include the UK after Brexit, to participate in such projects. Denmark, Malta and the UK remain outside of PESCO. Twister is the second missile initiative pursued by PESCO. The other is for a beyond-line-of-sight development of MBDA's MMP man-portable guided missile, a program proposed by France and supported by Belgium and Cyprus. https://aviationweek.com/defense-space/european-states-plan-hypersonic-defense

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