19 octobre 2023 | Local, Terrestre, C4ISR

Senior leaders produced no documents on high-profile case of Maj.-Gen. Dany Fortin, DND claims

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    19 novembre 2023 | Local, Aérospatial, Terrestre, Sécurité

    U.S. government pushes Canada to approve $8-billion P-8 aircraft purchase

    The ambassador to Canada has sent a letter to cabinet ministers urging them to OK a sole-source deal for the Boeing surveillance aircraft.

  • L3Harris remporte un contrat de 482 millions $ US (609 M$ CA) auprès de l'Aviation royale canadienne pour le prolongement du soutien des CF-18

    24 avril 2022 | Local, Aérospatial

    L3Harris remporte un contrat de 482 millions $ US (609 M$ CA) auprès de l'Aviation royale canadienne pour le prolongement du soutien des CF-18

    Points clés :  Témoigne des capacités et de l'expertise de L3Harris en matière de soutien en service de premier choix  Confirme la position de L3Harris en tant que seul centre d'excellence au Canada pour les avions de chasse  Souligne un partenariat canadien fructueux de 35 ans pour la flotte d'avions CF-18 MIRABEL (Québec), le 21 avril 2022 — L3Harris Technologies (NYSE : LHX) a remporté un contrat basé sur la performance d'une durée de 4 ans avec années d'option et d'une valeur de 482 millions $ US (609 millions $ CA), renouvelant le soutien en service pour la flotte d'avions de chasse CF-18 Hornet exploitée par l'Aviation royale canadienne (ARC) jusqu'au retrait de service de la flotte prévu en 2032. Dans le cadre du processus d'analyse de rentabilisation de soutien, les quatre fondements de l'initiative de soutien, soit la performance, la rentabilité, la flexibilité et les avantages économiques, ont été les moteurs de l'élaboration d'une solution optimisée et bien adaptée. Gr'ce à ce renouvellement de contrat, L3Harris continuera d'assurer les activités liées à la gestion de la flotte et du programme, à la maintenance, à l'ingénierie, à la gestion du matériel, aux publications électroniques, au soutien logistique intégré, à la gestion de données et au soutien pour les logiciels opérationnels. Ces activités se dérouleront aux installations de L3Harris à Mirabel, ainsi qu'aux bases des Forces canadiennes (BFC) de Cold Lake et de Bagotville. « Ce contrat témoigne du fait que L3Harris est l'unique centre d'excellence au Canada pour les avions de chasse, en plus d'être une preuve de notre efficacité et de notre engagement constants envers l'orientation client, une exécution sans faille et un partenariat à long terme avec l'ARC », a déclaré Ugo Paniconi, directeur général de MAS, L3Harris. Récemment, L3Harris a souligné 35 ans de soutien en service pour les CF-18, notamment d'importants travaux de prolongation de la durée de vie structurale et de modernisation des systèmes leur permettant de demeurer fonctionnels au plan opérationnel et accroissant la valeur de l'investissement du Canada pour ces aéronefs. Le contrat, basé sur la performance, apportera flexibilité, avantages économiques et valeur dans le cadre de l'Initiative de soutien du Canada. L3Harris a créé des centaines d'emplois de haute technologie au Québec gr'ce aux contrats de soutien pour l'avion F/A-18 avec le Canada, l'Australie, la Suisse, la Finlande, l'Espagne et les États-Unis. La division de Mirabel de L3Harris compte plus de 1 150 employés au pays et est l'un des principaux intégrateurs de soutien en service du ministère de la Défense nationale. À propos de L3Harris Technologies L3Harris Technologies, une entreprise multinationale flexible et novatrice du secteur des technologies aérospatiales et de la défense, propose des solutions complètes qui répondent aux besoins des missions de haute importance de nos clients. Elle offre des technologies de défense et commerciales de pointe dans les domaines aérospatial, aéronautique, terrestre, maritime et cybernétique. L3Harris a un chiffre d'affaires annuel de plus de 17 milliards de dollars et 47 000 employés, avec des clients dans plus de 100 pays. L3Harris.com. Déclarations prospectives Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives fondées sur des attentes, des hypothèses et des estimations actuelles de la direction relatives au rendement et à la conjoncture économique futurs. Ces déclarations sont énoncées sous réserve des règles d'exonération (safe harbor provisions) prévues à l'article 27A de la Securities Act, loi américaine de 1933 et à l'article 21E de la Securities Exchange Act, loi américaine de 1934. L'entreprise met en garde les investisseurs du fait que toute déclaration prospective est soumise à des risques et à des incertitudes, si bien que les résultats réels et futurs sont susceptibles de différer de façon significative de ceux exprimés ou sous-entendus dans ces déclarations prospectives. Les énoncés concernant la valeur ou la valeur prévue des commandes, contrats ou programmes sont des déclarations prospectives soumises à des risques et à des incertitudes. L3Harris décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser ses déclarations prospectives consécutivement à l'obtention de nouveaux renseignements ou à de nouveaux événements ou pour tout autre motif. Personnes-ressources : Marcella Thompson Systèmes de mission intégrés Marcella.Thompson@L3Harris.com 214-430-8872 Jim Burke Relations avec les médias Jim.Burke@L3Harris.com 321-727-9131

  • Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    3 septembre 2019 | Local, Aérospatial

    Airbus se retire de la course pour remplacer les CF-18 canadiens

    Par LEE BERTHIAUME La division Airbus Defence and Space, en partenariat avec le gouvernement britannique, était l'une des quatre entreprises qui devaient selon toute vraisemblance soumissionner pour ce contrat de 19 milliards portant sur la construction des 88 nouveaux avions de chasse qui doivent remplacer les CF-18 vieillissants de l'Aviation royale canadienne. Mais dans un communiqué publié vendredi, Airbus annonce qu'elle a informé le gouvernement canadien de sa décision de retirer de la course son « Eurofighter Typhoon » pour deux motifs — déjà évoqués par ailleurs avant même le lancement officiel de l'appel d'offres en juillet. Le premier motif concerne l'obligation pour les soumissionnaires de préciser comment ils comptent s'assurer que leurs avions pourront s'intégrer au réseau canado-américain ultra-secret de renseignement, connu sous le nom de « Two Eyes », qui est utilisé pour coordonner la défense commune de l'Amérique du Nord. Airbus conclut que cette exigence fait peser « un coût trop lourd » sur les avions qui ne sont pas américains. Le géant européen explique qu'il aurait été tenu de démontrer comment il envisageait d'intégrer son Typhoon au système « Two-Eyes » sans même connaître les détails techniques de ce système ultra-secret de renseignement. Le deuxième facteur a été la décision du gouvernement libéral de modifier la politique qui obligeait traditionnellement les soumissionnaires à s'engager légalement à investir autant d'argent dans des produits et activités au Canada que ce qu'ils tirent des contrats militaires décrochés. En vertu du nouveau mécanisme, les soumissionnaires peuvent plutôt établir des « objectifs industriels » et signer des accords non contraignants promettant de tout mettre en œuvre pour les atteindre. Ces soumissionnaires perdent des points dans l'appel d'offres, mais ils ne sont plus écartés d'emblée de la course. Les États-Unis soutenaient que la politique précédente violait un accord signé par le Canada en 2006 pour devenir l'un des neuf pays partenaires dans le développement du F-35 de Lockheed Martin. Or, cet accord prévoit que les entreprises des pays partenaires se feront toutes concurrence pour obtenir des contrats en sous-traitance. Deuxième retrait Dans son annonce, vendredi, Airbus soutient que la nouvelle approche ne valorise pas suffisamment les engagements contraignants qu'elle était prête à offrir et qui constituaient l'un de ses principaux arguments. La ministre des Services publics et de l'Approvisionnement, Carla Qualtrough, a défendu à nouveau l'approche de son gouvernement dans ce dossier. Dans une déclaration écrite publiée après l'annonce du retrait d'Airbus, elle a estimé que cette nouvelle approche « assurera une participation maximale des fournisseurs ». « Notre gouvernement priorise les retombées économiques solides dans ce projet, a soutenu Mme Qualtrough. Nous sommes convaincus que cet investissement soutiendra la croissance de la main-d'œuvre canadienne hautement qualifiée dans les industries de l'aérospatiale et de la défense pour les décennies à venir et créera d'importantes retombées économiques et industrielles dans l'ensemble du pays. » Airbus devient la deuxième entreprise à retirer son chasseur de l'appel d'offres canadien, après le retrait du « Rafale » de la société française Dassault en novembre dernier. Il ne reste plus maintenant comme prétendants que le « F-35 » de Lockheed Martin, le « Super Hornet » de son concurrent américain Boeing et le « Gripen » du suédois Saab. Boeing et Saab ont déjà exprimé leurs préoccupations au sujet de la nouvelle politique en matière d'exigences industrielles, affirmant que ces changements ne profiteront pas aux contribuables et à l'industrie canadienne de l'aérospatiale et de la défense. Les entreprises devraient soumettre leurs offres l'hiver prochain et le contrat final doit être signé en 2022 ; le premier avion ne sera pas livré avant au moins 2025. Les gouvernements fédéraux successifs s'emploient à remplacer les CF-18 depuis plus de dix ans. Selon le porte-parole conservateur en matière de défense, James Bezan, le retrait d'Airbus prouve que le gouvernement libéral a mal géré tout ce dossier pendant son mandat — notamment en attendant quatre ans avant de lancer l'appel d'offres promis en campagne électorale en 2015. « Alors que d'autres pays ont choisi des avions de combat en moins de deux ans, le bilan du premier ministre Justin Trudeau en matière d'achats militaires en est un de retards et d'échecs », a estimé M. Bezan. Le gouvernement conservateur précédent avait annoncé en 2010 un plan pour acheter des F-35 de Lockheed Martin sans appel d'offres, mais il y a renoncé deux ans plus tard à la suite de préoccupations concernant les coûts et les capacités de ce chasseur furtif. https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/201908/30/01-5239279-airbus-se-retire-de-la-course-pour-remplacer-les-cf-18-canadiens.php

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