27 novembre 2023 | International, Aérospatial

Romania plans to spend $2 billion on short-range air defenses

The race is expected to include MBDA and Rafael, two vendors that already have ties to the European country.

https://www.defensenews.com/global/europe/2023/11/27/romania-plans-to-spend-2-billion-on-short-range-air-defenses/

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  • Milrem Robotics to Supply World’s Largest Combat UGV Order to the UAE Ministry of Defence

    27 janvier 2024 | International, Aérospatial

    Milrem Robotics to Supply World’s Largest Combat UGV Order to the UAE Ministry of Defence

    The agreement, which represents the world’s largest combat robotics programme, was announced at the UMEX 2024 being held at the Abu Dhabi National Exhibition Centre until 24 January

  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    25 octobre 2019 | International, Aérospatial

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Need to upgrade Army vehicle software? Got 10 minutes?

    14 décembre 2018 | International, Terrestre

    Need to upgrade Army vehicle software? Got 10 minutes?

    By: Adam Stone The Army is rolling out a new streamlined tool for updating critical software on thousands of vehicles that use the Joint Battle Command-Platform (JBC-P) system. Vehicles depend on the Force XXI Battle Command Brigade and Below system to deliver communications, friendly and hostile-force tracking, maps and other key intelligence, surveillance and reconnaissance functionality. But FBCB2 is out of date, and upgrades have required the pricey and time-consuming replacement of both hardware and software. “We wanted to give war fighters the option of doing a software-only upgrade,” said Dan Ghio, JBC-P deputy product manager. “We will still hit them with the full hardware upgrade eventually. This just gets us to a more common software baseline in the meantime. It's a stopgap for those who can get at least some of the upgrades done.” The upgrades started rolling out in the spring and so far over 800 vehicles have completed the process. Of the 103,000 fielded platforms, roughly 20,000 to 30,000 can be updated using the new approach, which applies to platforms such as Humvees and Mine-Resistant Ambushed-Protected vehicles. All upgrades should be completed by fiscal 2023, said Lt. Col. Shane Sims, JBC-P product manager. “We started with a unit at the National Training Center at Fort Irwin, California, just to see if we were on track,” Sims said. “The process is pretty easy. You call our help center and our folks will send out a new hard drive with the new software loaded on it. Once you attach it to the system it's a 10-minute process to load it up.” While it would have been technically possible to upload the software via the internet, connectivity constraints made the hard drive a better option. “These are users with very limited bandwidth. It would take a very long time to fully download a new operating system,” Sims said. By sending out new hard drives, the engineers also help to position the system for future enhancements, while reducing the overall burden of system support. “We want to keep pushing more and more capabilities out into the field, but right now our support teams in the field have to support 18 different hard drives. There is a huge sustainment cost to supporting all of that,” Sims said. “We're a huge Army and the more we standardize, the better it is.” The latest software version includes a few significant functional enhancements. The user interface has been modernized and made more intuitive; engineers have hardened the security on the back end and made the system more reliable, Ghio said. By creating a “standardized, repeatable and intuitive process” for upgrades, he said, Army aims to empower war fighters to take control over their most critical technologies. “We believe solders and commanders can take on some of the [technology] mission themselves if given the right tools and the right instructions,” Sims said. “As we move to the future, we are going to have to rely on our units to modernize things on their own. That will allow us to inject new capabilities at a much faster pace.” Looking ahead, Army engineers are still looking to overcome the bandwidth limitations that presently prohibit them from pushing out upgrades online. “We are definitely looking at ways to do an over-the-air update,” Sims said. “It would be a lot of easier, just the same way you do an update to an iPhone or an Android. We could send a message to the entire force and have everyone updated at once. That would improve our security posture and would serve to keep everyone current.” At the same time, safety and security concerns factor heavily, as the Army looks to enhance systems on vehicles that are equipped for live fire. “A software malfunction on a firing system would be a catastrophic event, so we have to make sure that our software doesn't interfere with any of the safety mechanisms on these platforms,” Sims said. https://www.c4isrnet.com/it-networks/2018/12/13/need-to-upgrade-army-vehicle-software-got-10-minutes

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