13 décembre 2023 | International, Aérospatial

Rheinmetall wins major contract: Austria orders state-of-the-art air defence system for €532 million

The contract encompasses a project period of 48 months starting in February 2024. 

https://www.epicos.com/article/783646/rheinmetall-wins-major-contract-austria-orders-state-art-air-defence-system-eu532

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    LE BREXIT ET LES ENTREPRISES Londres veut continuer à assumer un rôle majeur dans la sécurité européenne, mais le pays sort de l'Union au moment où celle-ci s'engage davantage pour assurer la sécurité des Etats membres. Ce qui soulève de nombreuses questions. Anne Bauer @annebauerbrux Les Britanniques ne cessent de le répéter : leur départ de l'Union européenne ne remet pas en cause leur volonté de continuer à jouer un rôle de premier plan dans la défense de l'Europe. Ainsi la Grande-Bretagne participe, depuis le premier jour, à l'Initiative européenne d'intervention (IEI), le club des Etats-Majors européens lancé par le président Emmanuel Macron. Elle est, avec la France, le principal appui des Américains dans la coalition internationale au Levant et au Sahel, elle soutient les forces françaises par la mise à disposition de trois hélicoptères Chinook. En termes de coopération militaire, les Britanniques sont à bord de l'avion de chasse européen, Eurofighter, de l'avion de transport militaire A400M, de la constellation Galileo et de divers programmes de missiles, notamment via la firme européenne MBDA. Et en novembre prochain, la France et la Grande-Bretagne, les deux seules armées du continent européen dotées de l'arme nucléaire, devraient fêter les dix ans du traité bilatéral de Lancaster House et lancer, à l'occasion, un projet clé : le démonstrateur d'un nouveau missile de croisière franco-britannique . Pas de risque à court terme Chez le missilier européen MBDA, on insiste d'ailleurs sur « la force et la pérennité de la relation franco-britannique en matière de défense et de sécurité, initiée en 1998 à Saint-Malo et formalisée en 2010 par le traité de Lancaster House ». Et de rappeler que cette relation bilatérale est au coeur même du projet de l'entreprise , qui est de b'tir un champion mondial des missiles, en partageant l'effort industriel au travers de programmes en coopération européenne. De fait, du côté des industriels de la défense, le Brexit inquiète peu à court terme. Les biens de défense sont exonérés des règles générales de l'OMC sur les droits de douane. Et le commerce des armes est un sujet à part, régi par des conventions particulières. Dans l'aéronautique en outre, chacun est désormais certain que Londres restera membre de l'Agence européenne de sécurité aérienne, qui édicte les normes et veille à leur application. Interrogé par « Les Echos », le patron d'Airbus, Guillaume Faury, déclarait en septembre dernier que « les craintes relatives à la perte des certifications aéronautiques de production et de conception pour les pièces produites au Royaume-Uni, ainsi que pour la libre circulation de nos employés, ont été écartées, à force de travail en interne et avec les gouvernements. » Fonds européen de défense : in or out ? Toutefois, le Brexit intervient au moment même où l'UE engage une dynamique nouvelle en matière de défense. Pour la première fois, le budget européen pourra servir à subventionner la recherche et le développement de programmes d'armement. Or de facto, les Anglais sont déjà hors jeu. Dans l'anticipation du Brexit, ils ne participent pas à la nouvelle politique de « coopération structurée permanente », qui a donné naissance à une quarantaine de projets de coopération dans la défense entre divers pays européens. Et, faute de répondant côté anglais, Paris s'est tourné vers Berlin pour envisager le futur de deux équipements clé de défense : l'avion de combat du futur et le char de nouvelle génération. Les Britanniques ne font pas non plus partie du futur Fonds européen de défense, qui doit aider au financement de ses projets. Enfin, ils quittent les instances dirigeantes de l'Agence européenne de défense. Au sein des industriels du secteur, nombre d'opérateurs souhaitent le retour de la Grande-Bretagne dans les instances européennes. Terrain d'entente Car personne n'a intérêt à maintenir des tensions, comme celles nées de l'exclusion de Londres du réseau protégé de communication gouvernementale, de la constellation Galileo. Dans l'aéronautique, chacun espère que le futur avion de combat franco-allemand, le SCAF, et son concurrent britannique, le projet Tempest mené avec les Italiens et les Suèdois, se rejoindront un jour. « C'est dans l'intérêt des Britanniques comme dans celui des Européens, qu'un terrain d'entente soit trouvé dans les futurs traités d'association qui seront négociés cette année », commente le président de MBDA, Eric Béranger. « Le Royaume-Uni devrait pouvoir bénéficier d'un statut particulier qui permettra de poursuivre les nombreuses coopérations qu'il a en Europe, dans les missiles bien évidemment, mais aussi dans l'aviation militaire ou le spatial de défense », ajoute-t-il. Mais avec un groupe principal de défense BAE Systems, qui est déjà un important fournisseur de l'armée américaine, la tentation britannique peut être de regarder davantage outre-Atlantique qu'outre Manche. https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/brexit-londres-promet-de-continuer-a-jouer-un-role-majeur-dans-la-defense-europeenne-1168197

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    20 janvier 2021 | International, Aérospatial, Naval

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    By: Andrew Chuter LONDON — U.S. combat jets and a destroyer are to join the British Royal Navy's new aircraft carrier on its maiden operational deployment to the Asia-Pacific region later in 2021, after officials formally approved the deployment Tuesday. British Defence Secretary Ben Wallace and U.S. acting Defense Secretary Christopher Miller co-signed a joint declaration approving the deployment of U.S. Marine and U.S. Navy assets as part of a carrier strike group led by the HMS Queen Elizabeth, the British Ministry of Defence announced. U.S. assets attached to the carrier strike group will include a detachment of Marine F-35Bs and the destroyer The Sullivans, the announcement said. The U.S. military has been regularly flying its short-takeoff-and-vertical-landing F-35Bs from the deck of the 65,000-ton Queen Elizabeth as the new carrier tests its capabilities. The warship was commissioned in December 2017, and the carrier strike group achieved initial operating capability in December 2020. The inclusion of Marine combat jets on the warship has long been planned by the two governments, not least because Britain has a modest numbers of F-35Bs available. The British carrier also will deploy Leonardo-built Merlin helicopters for anti-submarine missions and other duties. Wallace said in a statement that the U.K. “now possesses a 21st century carrier strike capability, which has been greatly assisted by the unswerving support and cooperation of the US at all levels over the past decade.” “This deployment embodies the strength of our bilateral ties and reflects the depth and breadth of this vital defence and security partnership,” he added. The British government has not officially announced where the deployment is expected to take the carrier force, but Prime Minister Boris Johnson previously said the group would be going to the Mediterranean, Indian Ocean and the Pacific region. That's expected to include Singapore, South Korea, Japan and Oman; Britain has a naval support base in the latter. British officials previously signaled the carrier and its support ships could transit through the South China Sea, where the U.S. regularly conducts freedom of navigation operations in disputed waters claimed by China. A second carrier, the HMS Prince of Wales, was commissioned in late 2019 and is scheduled to become operational in 2023. It was hit by a serious flooding incident last year, which caused the cancellation of a trip to the U.S. Eastern Seaboard for trials with the F-35B. https://www.defensenews.com/global/europe/2021/01/19/american-warship-f-35-jets-to-deploy-with-british-fleet

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