30 septembre 2019 | International, Aérospatial

Pose de la première pierre du nouveau laboratoire ExceLab de Safran Landing Systems

Situé à Vélizy, ce nouveau laboratoire surface d'environ 2 000 m2 regroupera l'ensemble des capacités d'essais de Safran Landing Systems pour ses futurs matériels, du prototype de R&T jusqu'au produit fini dans un éventail de conditions opérationnelles très larges.

C'est le 26 septembre 2019 que Ross McInnes, Président du Conseil d'administration de Safran et Jean-Paul Alary, Président de Safran Landing Systems ont, avec Valérie Pécresse, Présidente de la Région Ile de France, posé la première pierre du laboratoire d'essais « ExceLAB » (littéralement laboratoire d'excellence) dédié aux systèmes d'atterrissage et de freinage de demain, notamment électriques.

D'une surface d'environ 2 000 m2 , ce nouveau laboratoire regroupera l'ensemble des capacités d'essais de Safran Landing Systems pour ses futurs matériels, du prototype de R&T jusqu'au produit fini dans un éventail de conditions opérationnelles très larges. Il s'inscrit notamment dans la stratégie du Groupe d'électrification progressive des fonctions de l'aéronef, et bénéficiera d'une organisation optimisée pour les essais hydrauliques et électriques.

« Ce nouveau laboratoire, outil essentiel de compétitivité et d'innovation pour Safran Landing Systems, permettra d'aller bien au-delà de notre capacité d'essais actuelle. Il accélérera le développement et la mise sur le marché de nos futures solutions notamment plus électriques, » a déclaré Jean-Paul Alary.

Ce nouveau laboratoire qui disposera de moyens techniques fortement digitalisés (réalité augmentée, 3D, objets connectés, cobotique, etc.) représente un investissement global de près de 4 millions d'euros qui bénéficie du soutien de la région Ile de France, et devrait être opérationnel d'ici octobre 2020. Plus de 60 nouveaux collaborateurs rejoindront « ExceLAB » et une vingtaine de fournisseurs de la région seront impliqués dans ce projet.

https://air-cosmos.com/article/pose-de-la-premire-pierre-du-nouveau-laboratoire-excelab-de-safran-landing-systems-21766

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    Le Département d'État américain a approuvé la vente potentielle d'avions de combat et du système Patriot à la Suisse. Cette décision fait suite au référendum qui a eu lieu dimanche dernier en Suisse. Lors d'un vote national, les Helvètes ont accepté d'acheter de nouveaux avions de combat pour remplacer les machines Northrop F-5E / F Tiger II et Boeing F / A-18C / D Hornet en service. Deux fournisseurs d'outre-mer et trois européens se sont disputés le contrat. Les États-Unis proposent à la Suisse des avions Lockheed Martin F-35A Lightning II et Boeing F / A-18 Super Hornet. En prévision d'une éventuelle décision, les Américains ont déjà accepté d'exporter lesdites armes. Dans le cas des avions F-35A, on parle de la vente potentielle de 40 machines, ainsi que de pièces détachées et d'armes, pour un montant d'environ 6,58 milliards de dollars. 40 chasseurs F / A-18E / F Super Hornet avec un package similaire ont été évalués à 7,45 milliards de dollars. Parallèlement, le département d'État américain a également approuvé la vente de systèmes de missiles de défense aérienne et antimissile Patriot à la Suisse. Cinq batteries sont évaluées à 2,2 milliards de dollars. Aucune partie ou la totalité des œuvres contenues dans la revue ne peut être reproduite et diffusée ou diffusée ultérieurement sous quelque forme et par quelque moyen que ce soit (y compris électronique ou mécanique ou autre ou dans tout domaine d'utilisation), y compris la copie, la numérisation au sens large, la photocopie ou copie, y compris publication sur Internet – sans le consentement écrit de Gremi Media SA. Toute utilisation ou utilisation des œuvres en tout ou en partie sans le consentement de Gremi Media SA ou des auteurs en violation de la loi est interdite sous peine de sanction et passible de poursuites. https://www.mercatoshow.com/la-suisse-a-recu-lapprobation-du-departement-detat-pour-acheter-des-combattants/

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    by Michael Peck “The Navy continues to struggle with rebuilding the readiness of the existing fleet due to enduring maintenance and manning challenges,” the report finds. “As the Navy seeks to expand its fleet by 25 percent, these challenges will likely be further exacerbated and the Navy will likely face additional affordability challenges.” The Navy must fix the teething troubles of a new and complicated aircraft that lacks sufficient spare parts: in 2017, only 15 percent of Marine F-35Bs were rated fully mission-capable. “The Navy and the Marine Corps may have to decide whether they are willing to accept less reliable and maintainable aircraft than originally planned,” GAO warned. How can the U.S. Navy buy more ships and planes when it can't maintain the ones it has? That's the question posed by a new Government Accountability Office report . “The Navy continues to struggle with rebuilding the readiness of the existing fleet due to enduring maintenance and manning challenges,” the report finds. “As the Navy seeks to expand its fleet by 25 percent, these challenges will likely be further exacerbated and the Navy will likely face additional affordability challenges.” Auditors point to seven problems that GAO, Congress's watchdog agency, have highlighted over the past several years, but which have yet to solved: Training: After a series of embarrassing collisions at sea in 2017, which led to fears that Navy has forgotten basic ship-handling skills, training was revamped along with fewer waivers for required training. Still, “while the Navy has demonstrated its commitment to ensuring that crews are certified prior to deploying, training for amphibious operations and higher-level collective training may not be fully implemented for several years.” Maintenance backlogs: Between 2012 and 2018, only 30 percent of maintenance was completed on schedule. In particular, most Navy attack submarines have suffered maintenance delays. The backlog is caused by insufficient capacity in public shipyards as well as shortages of shipyard workers. Overworked sailors: In 2017, GAO concluded that the Navy was underestimating how many sailors were needed to man ships, leading to undersized crews and overworked sailors. The Navy says it is aiming for surface ships based overseas to have a minimum of 95 percent of their complement, but GAO auditors who interviewed crews in Japan were told that “the Navy's methods for tracking fit and fill do not account for sailor experience and may be inaccurately capturing the actual presence of sailors onboard and available for duty on its ships. Moreover, sailors consistently told us that ship workload has not decreased, and it is still extremely challenging to complete all required workload while getting enough sleep.” Unrealistic budgeting: The Navy wants to boost the number of ships by 25 percent, and is planning to buy 301 new ships between now and 2048 as well as extending the life of older destroyers and submarines. But GAO and the Congressional Budget Office have calculated that the Navy “has consistently and significantly underestimated the cost and timeframes for delivering new ships to the fleet. For example, the Navy estimates that buying the new ships specified in the fiscal year 2019 plan would cost $631 billion over 30 years while the Congressional Budget Office has estimated that those new ships would cost $801 billion—a difference of 27 percent.” Aging aircraft: Numerous aircraft models across the Navy, Air Force and Marine Corps have been plagued by low availability rates due to aging aircraft, lack of spare parts for older planes, and too few mechanics. Too few pilots: The shortage of Marine Corps fighter pilots quadrupled to 24 percent between 2006 and 2017, while the Navy has been scrambling to fill pilot vacancies. “Further compounding their pilot shortages, we also found that the services have not recently reevaluated squadron requirements to reflect an increased fighter pilot workload,” said GAO. “As a result, the reported shortage actually could be greater.” The F-35: The Navy must fix the teething troubles of a new and complicated aircraft that lacks sufficient spare parts: in 2017, only 15 percent of Marine F-35Bs were rated fully mission-capable. “The Navy and the Marine Corps may have to decide whether they are willing to accept less reliable and maintainable aircraft than originally planned,” GAO warned. Michael Peck is a contributing writer for the National Interest. He can be found on Twitter and Facebook. https://nationalinterest.org/blog/buzz/sink-feeling-navys-7-big-problems-one-f-35-41502

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