Poland’s new government eyes role as EU-Ukraine middleman

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  7 août 2019 | International, C4ISR

  U.S. Missile Defense Agency Awards Lockheed Martin $320M Contract To Evolve Foundation Of Ballistic Missile Defense

  HUNTSVILLE, Ala., Aug. 6, 2019 /PRNewswire/ -- The Ballistic Missile Defense System (BMDS) operates collectively and continuously through a multi-domain system that connects traditionally autonomous sensors, satellites and weapon systems. Through a $320 million contract, Lockheed Martin (NYSE: LMT) will continue to evolve this multi-domain system, the Command, Control, Battle Management and Communications (C2BMC) system. Fielded and operational since 2004, C2BMC gives commanders at strategic, regional and operational levels an integrated picture of potential or current threats across the globe. Through C2BMC, commanders can make coordinated decisions about the most effective way to engage ballistic missile threats at any range, in any phase of flight. With this contract, Lockheed Martin's team will integrate the Long-Range Discrimination Radar, as well as sensors that provide advanced tracking capabilities for emerging threats into the BMDS. Using an agile development process, the team will enhance C2BMC's threat characterization, tracking and advanced threat warning capabilities through integration with both new and enhanced sensor capabilities. The team will also further harden the overall cybersecurity posture of the system. Lockheed Martin's C2BMC team includes a partnership of highly responsive industry leaders that includes Northrop Grumman, Boeing, Raytheon, General Dynamics and many small businesses with expertise in key areas. The new contract extends the team's performance on C2BMC through December 2022. "The critical mission of missile defense requires a full view of incoming threats, actionable options for commanders and the ability to decisively and effectively respond," said JD Hammond, vice president of C4ISR Systems at Lockheed Martin. "C2BMC continues to showcase the benefits of a layered, cross domain defense that can help protect the U.S. and allies from increasing security concerns around the world." There are C2BMC systems located at 36 locations worldwide, including U.S. Strategic, Northern, European, Indo-Pacific and Central Commands. The C2BMC system ties together elements of the MDA, Army, Navy and Air Force systems and sensors to provide a responsive and coherent global capability. https://news.lockheedmartin.com/2019-08-06-U-S-Missile-Defense-Agency-Awards-Lockheed-Martin-320M-Contract-to-Evolve-Foundation-of-Ballistic-Missile-Defense

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  16 mars 2021 | International, Aérospatial

  Pakistan extends delayed T129 helo deal with Turkey — again

  A diplomatic row between the United States and Turkey is continuing to jeopardize a planned procurement by Pakistan.

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  30 août 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre

  Berlin prône une consolidation du secteur de la défense européen

  JOUY-EN-JOSAS, Yvelines, 29 août (Reuters) - L'Union européenne doit renforcer les synergies en matière d'équipements militaires pour optimiser les dépenses de défense des Etats membres, ce qui passe notamment par une consolidation du secteur à l'échelle européenne, estime le ministre allemand des Finances, Olaf Scholz. Au-delà des progrès déjà enregistrés en matière de politique commune de défense et de sécurité, des mesures complémentaires sont nécessaires, déclare le vice-chancelier d'Allemagne, selon le texte d'un discours qu'il devait prononcer mercredi à l'université d'été du Medef, à Jouy-en-Josas (Yvelines). Cela passe par “une approche commune pour le matériel militaire, ce qui signifiera davantage de coopération et un processus de consolidation de l'industrie militaire européenne, y compris via des fusions”, dit-il. “Nous devons encourager les fusions pas seulement lorsqu'elles se font au bénéfice de nos propres champions nationaux”, poursuit-il. A ses yeux, cela permettra de mettre sur pied une politique de défense commune plus intégrée, à même de permettre à l'Union européenne de garantir sa sécurité mais aussi de devenir un “acteur sérieux” de l'architecture militaire mondiale. La France et l'Allemagne ont donné l'été dernier, peu après l'accession d'Emmanuel Macron à l'Elysée, un grand coup d'accélérateur à leur coopération dans le domaine de la défense en convenant de développer ensemble un avion de combat de prochaine génération, mais aussi de concevoir en commun des chars, hélicoptères et autres matériels. Toujours dans le domaine aéronautique, le bilan de l'avion de transport militaire A400M d'Airbus est pour l'instant mitigé, le programme européen ayant connu des années de dérapage des coûts, de problèmes techniques et de retards multiples. A rebours du discours volontariste du dirigeant allemand, la France semble adopter une position plus mesurée dans le projet de rapprochement auquel oeuvrent les groupes français Naval Group et italien Fincantieri. Le ministre français de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire a assuré lors d'un déplacement à Rome au début du mois que la France et l'Italie partageait “le même désir de boucler la fusion STX-Fincantieri, qui donnera naissance à l'un des plus gros chantiers navals civils du monde”. Mais une source gouvernementale française, s'exprimant sous condition d'anonymat, avait déclaré que Naval Group (dont Thales détient 35%) ne pouvait pas être privatisé et précisé que certaines de ses activités, comme la construction de sous-marins nucléaires, constituaient des actifs stratégiques ne pouvant pas passer sous pavillon étranger. (Myriam Rivet, Leigh Thomas et Matthieu Protard, édité par Sophie Louet) https://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL8N1VK2SM