2 mai 2022 | Local, Aérospatial

Poland shortlists Boeing, Bell for combat helo acquisition

Other players who have expressed interest in supplying their aircraft to Poland include Airbus and Leonardo.

https://www.defensenews.com/global/europe/2022/04/22/poland-shortlists-boeing-bell-for-combat-helo-acquisition

Sur le même sujet

  • Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    17 juin 2019 | Local, Aérospatial

    Enjeux de l’aéronautique et de la défense dans le monde: la vision d’Accenture

    POSTED BY: AEROMORNING « Accelerating through digital turbulence », tel est le titre de l'étude menée par Accenture en 2017, et Jean-Louis Rassineux, directeur exécutif, nous fait partager la vision de sur les enjeux de l'aéronautique et de la défense dans le monde. « Le secteur aéronautique et spatial a connu une croissance extrêmement forte jusqu'en 2014, date où l'on annonçait des prises de commandes record dans les salons, et Accenture souligne une baisse de 50% qui se fait sentir depuis 3 ans au niveau mondial » affirme Jean-Louis Rassineux. L'un des défis majeurs de cette industrie consiste à accroître efficacité et croissance dans un secteur qui évolue lentement avec une baisse des commandes de nouveaux appareils en Europe et en Amérique du Nord, mais aussi avec des climats instables, des risques géopolitiques, et l'aggravation des conditions économiques dans certains pays. L'accroissement des cadences chez les avionneurs pèse aussi sur la production qui doit se réinventer pour être plus compétitive. Au niveau du marché de la défense, Accenture évoque de nouvelles perspectives de croissance avec un budget monde estimé à 400 Milliards de dollars, en augmentation faible sur 5 ans. Toutefois une forte croissance sur ce marché défense est liée aux risques, avec une part croissante sur les drones, une tendance de fond qui se confirme. Bien que le contexte d'évolution soit lent, la défense se porte bien et progresse. En croissance depuis deux ans gr'ce aux succès importants qui se sont succédés, et notamment en France avec le Rafale par exemple, l'enjeu aujourd'hui pour la défense est aussi de remplir les accords de contrepartie qui vont avec les ventes et d'arriver à avoir une chaîne de production qui permette de donner un équilibre à ces contrats, de gérer les questions de compétences dans le pays. L'avènement de la transformation numérique, la clé pour affronter tous les enjeux: Accenture analyse l'avènement de la transformation numérique du secteur aéronautique et spatial comme une tendance lourde pour faire face aux nouveaux enjeux. L'une des clés pour la croissance est d'utiliser des technologies d'analyse de données afin d'améliorer les opérations, la chaîne d'approvisionnement et l'intégration de systèmes afin de proposer des services plus attractifs pour leurs clients. Autre tendance lourde observée, le développement des services. L'aspect service digital est devenu un des leviers de croissance. Pour illustrer cette transformation numérique, dans son enquête menée en 2017, pour 68% des entreprises de l'aéronautique et du spatial des sommes considérables ont été investies dans les technologies du numérique, aussi bien pour l'externe que pour l'interne qu'il s'agisse de fabrication additive, de machine learning, d'applications intelligentes, de réalité augmentée. Déjà à la pointe du mumérique depuis la conception du B777 ou de l'Airbus A350 conçu à l'origine entièrement en CAO sur les logiciels de Dassault Systèmes, les entreprises du secteur Aérospatial et défense vont encore plus loin. Au-delà de cette première étape de transformation numérique l'enjeu majeur est d'appliquer cette transformation numérique déjà initiée sur toute la chaîne de valeur, à partir d'objets connectés. Pour citer un exemple, Accenture et Airbus ont collaboré en « mode start-up » pour développer une application « wearable » de pointe dédiée au secteur de l'aérospatial et de la défense : des lunettes intelligentes qui permettent d'améliorer la précision et de réduire la complexité des procédés d'aménagement des cabines, en réduisant notamment le temps nécessaire pour le marquage des sièges en moins d'un mois.. Opérant à partir d'Instructions contextuelles à propos du marquage, les lunettes connectées affichent toutes les informations nécessaires pour aider l'opérateur à marquer le sol plus rapidement et à éliminer tout risque d'erreur. Cette technologie implémentée par Accenture permet une grande interactivité en offrant un accès à diverses fonctions telles que la lecture de codes à barres, la récupération des données dans le cloud, la commande vocale et la réalité augmentée. Gr'ce à cette innovation technologique, les emplacements des sièges peuvent être marqués au millimètre près, permettant ainsi de vérifier leur précision et leur qualité dans tous les avions. De multiples applications digitales de réalité virtuelle sont ainsi portées sur l'industrialisation, sur le développement du produit. L'enjeu, et on assiste à énormément d'essais, c'est de passer du POC, du pilote, à l'industrialisation en série. C'est en ce sens qu'Accenture développe la stratégie digitale en interne à travers toutes ces opérations de production, de support (finance, RH, achats) et assiste ses clients dans la bonne utilisation du digital de la meilleure façon. Il y a eu beaucoup d'apports à l'industrie gr'ce à la réalité augmentée, avec d'heureux effets sur l'emploi, car elle aide l'aéronautique à avoir une meilleure image, moins ancienne et traditionnelle, apporte un facteur d'attractivité sur les aspects formation, en privilégiant l'interactivité plutôt que les « slides » froids et muets. En somme, selon Accenture, tout l'enjeu est d'arriver à trouver les bons leviers pour permettre en interne d'être compétitif, en externe, d'offrir les meilleurs produits et services. Et le big data dans tout ça ? Dans un avion, on a 1 teraoctet (mille milliard d'octets) de données sur un vol, ce qui équivaut à environ 200 vidéodisques numériques et le traitement des données peut devenir clé pour la maintenance prédictive aéronautique. Le grand enjeu est de savoir comment utiliser ces données en vol, et au sol sans s'y perdre et d'en sortir de la valeur ajoutée en matière de conception, de maintenance, de services et de coûts. Par exemple, imaginer des avions performants qui s'échangent les données de vol, ou tout un tas d'applications qui permettent en temps réel de saisir des trajectoires, d'utiliser des données, d'optimiser des routes, d'économiser du gazoil, etc.... Le data lake est né, pour stocker et restituer de façon intéressante et innovante les données en vue de plus de compétitivité. L'intelligence artificielle améliore les Fonctions du support, offre de nouvelles possibilités en matière financière ou en matière de ressources humaines Big data, et mise en place d'applis intelligentes (machine learning), permettent d'envisager l'intelligence artificielle dans l'industrie aéronautique et de doper la croissance. l'innovation, les universités et les startups : Les entreprises aéronautiques ont compris cette nécessité de se remettre en question. L'innovation est aujourd'hui un levier incontestable et c'est pourquoi en 2017 la connection avec les startups et les universités est devenue centrale dans les stratégies de ces dernières, qui de plus en plus nouent des partenariats pour être à la pointe de la meilleure bonne idée, pour créer les meilleurs produits et services, et puisqu'on est souvent en phase de proof en concept, pour réduire les coûts au cas où le POC ne dépasserait pas la phase pilote. Autant pour la recherche que pour le financement, les alliances réduisent les coûts, agrègent des compétences, et en s'allliant avec des petites startups, les grandes entreprises créent de cette façon un réseau d'intelligence. La solution est de se rapprocher de l'écosystème de l'innovation et de travailler collaborativement. Accenture, acteur du digital, apporte de nombreuses solutions gr'ce à son expertise, à sa philosophie, et non moins important son sens de la responsabilité sociétale, n' oubliant jamais l'humain au centre de ces évolutions. Elle remporte ainsi de nombreux succès, fait d'ailleurs partie des grands partenaires du Gifas depuis plus de 10 ans, est aussi partenaire des plus grands salons mondiaux tels Le Salon du Bourget ou celui de Farnborough. « On vit une période fabuleuse d'opportunités, et Accenture, au cœur de cette révolution est passé de consultant à acteur, partenaire industriel du marché de l'aéronautique et de la défense. Nadia Didelot pour AeroMorning http://www.aeromorning.com/blog/enjeux-de-laeronautique-de-defense-monde-vision-daccenture/

  • Canada confirms plan to replace submarine fleet at NATO summit | CBC News

    10 juillet 2024 | Local, Naval, Sécurité

    Canada confirms plan to replace submarine fleet at NATO summit | CBC News

    Canada definitely plans to move forward with the purchase of new submarines, the federal government announced on the margins of the NATO Summit on Wednesday.

  • These three companies submitted bids for Canada’s fighter competition

    3 août 2020 | Local, Aérospatial

    These three companies submitted bids for Canada’s fighter competition

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — The bids are in for Canada's fighter competition, and three companies will go head-to-head for the chance to build 88 new jets. The Canadian government on Friday confirmed that the field is down to two American entrants — Lockheed Martin's F-35 Joint Strike Fighter and Boeing's F/A-18E/F Super Hornet — as well as Swedish aerospace manufacturer Saab's Gripen E. All companies submitted proposals before the July 31 deadline. The contest is scheduled to be decided in 2022, with the first aircraft delivery projected in 2025. Up to CA$19 billion (U.S. $14 billion) is up for grabs. “Our government committed to purchasing a full fleet of 88 aircraft to be able to meet our NORAD [North American Aerospace Defense Command] and NATO obligations simultaneously,” Canadian Defence Minister Harjit Sajjan said in a statement. “Efficient and modern fighter jets are an integral part of any air force and we continue to work diligently to make sure that we provide the members of the Royal Canadian Air Force the tools they need to protect Canada, both at home and abroad.” Canada could downselect to two bidders in spring 2021 after an initial evaluation of proposals, though it could keep all three companies as options until the final selection of a single bidder in 2022, the Canadian government said in statement. The competing companies must submit proposals that offer economic benefits to Canadian defense contractors and other businesses, as industrial incentives and offsets make up 20 percent of the criteria under evaluation. The proposals will also be evaluated on each aircraft's capability and cost, which will be weighed at 60 percent and 20 percent respectively. The new fighter will replace the Royal Canadian Air Force's fleet of aging CF-18s. For its proposal, Saab will partner with Canadian defense firms IMP Aerospace & Defence, CAE, and Peraton Canada, and will offer a competitive package of industrial and technological benefits, the company announced. “Saab's Gripen fighter is designed to operate in harsh environments and defeat the most advanced global threats. The system meets all of Canada's specific defence requirements, offering exceptional performance and advanced technical capabilities,” said Jonas Hjelm, who heads Saab's aeronautics business. As a partner nation of the F-35 program, Canada has contributed funding for the development of the Joint Strike Fighter and is involved in the production of the jet. In Lockheed's statement confirming the bid, the firm said the F-35 program would support an estimated 150,000 jobs in Canada over its life span. “The 5th Generation F-35 would transform the Royal Canadian Air Force fleet and deliver the capabilities necessary to safeguard Canadian skies,” said Greg Ulmer, Lockheed's F-35 program executive vice president. “The F-35′s unique mix of stealth and sensor technology will enable the Royal Canadian Air Force to modernize their contribution to NORAD operations, ensure Arctic sovereignty and meet increasingly sophisticated global threats.” Boeing's argument for its Super Hornet Block III was simple: The Royal Canadian Air Force already operates F/A-18s, and buying the latest version of the Super Hornet is a proven, affordable option that will allow the service to reuse existing infrastructure and reduce sustainment costs. “We have a partnership with Canada that spans more than 100 years. We don't take that lightly. The response we submitted today builds upon that great legacy and allows us to continue to bring the best of Boeing to Canada and the best of Canada to Boeing,” said Jim Barnes, Boeing's director of Canada fighter sales. “Our proven, two-engine design can operate in the harshest environments and provide support no matter where the mission takes its pilots. That, coupled with Boeing's 100% guaranteed industrial plan, will also deliver long term, well-paying jobs.” https://www.defensenews.com/global/the-americas/2020/07/31/these-three-companies-submitted-bids-for-canadas-fighter-competition/

Toutes les nouvelles