23 juillet 2021 | International, Aérospatial

Podcast: Sizing Up Russia’s New Light Fighter | Aviation Week Network

Sukhoi rolled out the model of a new fighter aircraft during the MAKS show in Russia targeting the export market. Aviation Week editors discuss the design and its prospects in a crowded market.

https://aviationweek.com/defense-space/podcast-sizing-russias-new-light-fighter

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    11 juillet 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    Camille Grand : « Tous les alliés de l'Otan augmentent leurs dépenses de défense »

    Camille Grand, secrétaire général adjoint de l'Otan, se veut rassurant sur les relations entre les Etats-Unis et l'Europe sur les questions de défense. JACQUES HUBERT-RODIER L'Organisation militaire qui unit les puissances occidentales n'est pas en danger, selon le secrétaire général adjoint de l'Otan. Les critiques répétées du président américain Donald Trump sur l'implication financière insuffisante des pays européens sont plutôt justifiées, selon lui, et ne devraient pas dégénérer en une confrontation ouverte. Le renforcement de l'Europe de la défense, complémentaire de l'Otan, serait également bien accepté outre-Atlantique, à condition qu'elle reste complémentaire dans ses développements. L'Otan peut-elle surmonter la tension entre les Etats-Unis, l'Europe et le Canada ? Ce n'est pas la première fois que l'Alliance atlantique connaît des tensions entre ses Etats membres. C'est arrivé avec le départ de la France des structures militaires intégrées dans les années 1960, puis au moment des décisions de déploiement des euromissiles dans les années 1980, et plus récemment lors de la guerre en Irak, en 2003. Mais les Alliés ont toujours su surmonter ces débats et il ne faut pas dramatiser ces tensions, d'autant plus que, sur les dossiers de fond, l'Otan avance et s'adapte. Certes, il y a aujourd'hui de vrais désaccords transatlantiques, mais sur des sujets extérieurs à l'Otan, comme sur le changement climatique,les questions de commerce international ou l'Iran. Ce ne sont pas des sujets sur l'agenda, quotidien ou régulier, de l'Otan. Le président Trump ne cesse de critiquer l'Otan... Malgré les critiques adressées aux Alliés par le président Trump, il y a aux Etats-Unis un consensus assez large sur le soutien à l'Otan et à la relation transatlantique. La forte critique sur le partage du fardeau financier de l'Alliance est un thème récurrent depuis des années de la part des Américains qui estiment, non sans raison, que les dépenses militaires sont trop déséquilibrées entre les Etats-Unis et les autres alliés. Les choses évoluent aujourd'hui. Européens et Canadiens font-ils assez pour leur défense ? Les Américains demandent aux Alliés de respecter l'objectif qu'ils se sont assignés eux-mêmes lors du sommet de 2014 à Newport, au pays de Galles , c'est-à-dire de parvenir à 2 % de leur PIB consacré à la défense en 2024 - dont 20 % pour l'investissement dans de nouveaux matériels et à la recherche et développement. Aujourd'hui, le tableau est contrasté : d'un côté, tous les Alliés ont augmenté leur effort de défense. Canadiens et Européens ont au total dépensé 87 milliards d'euros de plus. En 2018, huit alliés (1) consacreront au moins 2 % de leur PIB à la défense, contre trois il y a quatre ans. Dix-huit ont annoncé qu'ils atteindront cet objectif en 2024 ou peu après. La France s'y est, pour sa part, engagée pour 2025. De l'autre côté, il est vrai qu'un certain nombre de pays sont encore un peu en retrait et n'ont pas pris d'engagement clair pour parvenir aux 2 % en 2024, même s'ils augmentent leur effort. C'est un peu un débat sur le verre à moitié plein ou à moitié vide. Donald Trump accuse surtout l'Allemagne ? L'Allemagne s'est engagée fermement à parvenir à 1,5 % de son PIB en 2024. Ce qui constitue une augmentation déjà significative de ses dépenses pour une grosse économie. Parviendra-t-elle à 2 % dans un avenir rapproché ? Politiquement, c'est encore en discussion au sein de la coalition et du Bundestag. Techniquement, l'Allemagne, je pense, peut et doit y arriver car l'argument de dire « nous sommes un pays trop riche » n'est pas recevable alors que des pays plus pauvres font cet effort. Cela sera sans doute étalé dans le temps. Pourquoi 2 % ? Cet objectif existe depuis longtemps mais il est devenu politiquement très engageant depuis 2014 avec la promesse faite au sommet du pays de Galles. C'est un chiffre raisonnable si l'on compare à la période de la guerre froide où la plupart des pays de l'Otan étaient plutôt entre 3 % et 4 % du PIB, ou aux dépenses d'autres puissances majeures. Ce n'est pas une course frénétique aux armements mais une norme cohérente avec un environnement stratégique incertain et dégradé. L'Europe de la défense est-elle concurrente de l'Otan ? Ce débat est aujourd'hui largement dépassé. L'Europe de la défense et l'Alliance atlantique doivent être complémentaires. Si l'Otan plaide bien sûr pour éviter les duplications inutiles et assurer la meilleure coordination possible, les décisions récentes de l'Union européenne pour renforcer l'Europe de la défense sont bienvenues et utiles avec la mise en oeuvre de la coopération structurée permanente, et surtout avec des investissements dans le prochain cadre budgétaire européen 2021-2027 dans deux domaines importants vu de l'Otan : 6,5 milliards d'euros pour des infrastructures liées à la « mobilité militaire » et la création du Fonds européen de défense doté de 13 milliards d'euros. Certes, tout cela représente 1 % des dépenses de défense en Europe, mais cela aide à faire de l'Union européenne un acteur de la scène stratégique avec lequel l'Otan travaille dans un nombre croissant de domaines. Les relations entre les deux organisations sont denses et n'ont d'ailleurs sans doute jamais été aussi bonnes Comment voyez-vous les relations avec la Russie ? Depuis deux ans, l'Otan mène une double approche : d'une part, de dissuasion et de défense avec la consolidation du flanc oriental de l'Alliance gr'ce à une présence avancée, légère, de quatre bataillons dans les trois pays Baltes et en Pologne, et un renforcement de ses structures de commandement ; et, d'autre part, de dialogue. Depuis 2016, le conseil Otan-Russie (COR) s'est réuni sept fois. La rencontre du 16 juillet, à Helsinki, entre les présidents Poutine et Trump s'inscrit ainsi dans les échanges normaux et réguliers entre les leaders de l'Alliance et la Russie. La menace terroriste est-elle un autre sujet de préoccupation ? L'Otan est engagée dans la défense collective. C'est notre « coeur de métier ». Ce qui est nécessaire face à l'attitude russe des dernières années, comme en Ukraine avec l'annexion illégale de la Crimée. Mais elle l'est aussi dans la lutte contre le terrorisme. Plus de 16.000 soldats sous le drapeau Otan sont déployés en Afghanistan pour aider et soutenir l'armée afghane. L'organisation prépare, en outre, une mission d'entraînement en Irak. Ce qui est une contribution à la lutte contre Daech. La Turquie pose-t-elle un problème pour l'Alliance ? La Turquie est un allié majeur et toujours actif, depuis 1952, dans nos débats. Elle est confrontée à des défis de sécurité exceptionnels du fait de sa situation stratégique et de la menace terroriste. La situation dans le nord de la Syrie a pu donner lieu à quelques tensions. Actuellement, il y a cependant une feuille de route américano-turque sur la Syrie, et les tensions et les incompréhensions sont moins perceptibles. https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0301937638238-camille-grand-tous-les-allies-de-lotan-augmentent-leurs-depenses-de-defense-2191399.php

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    30 mai 2024 | International, Terrestre

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    For pilots flying through contested airspace, where hidden enemy missiles below are designed to destroy what’s flying above, a well-established, advanced survivability system silently protects warfighters.

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    14 août 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR

    For IT companies, the secret to success in defense is all about big growth

    By: Jill Aitoro WASHINGTON — The secret to tackling the defense information technology market may be scale. Looking specifically at the pure-play IT companies that landed on the 2018 Defense News Top 100 list, many of those that have doubled down in some capacity saw defense revenue increase during fiscal 2017. That came on the tail end of another trend among the largest defense primes, to get out of the IT business. “The evolution started a couple years ago, where the large defense primes who had boned up on IT service work during the war [on terror] started to realize that for a variety of reasons they might not be able to compete as effectively, or extract the returns they want out of a business like that,” said Jon Raviv, senior analyst and vice president for aerospace and defense at Citi Research. Divestitures followed, and pure-play IT companies were able to quickly scale up not just in size and their ability to support massive contracts, but also in capability set. The acquisition of Lockheed Martin's IT business transformed Leidos from a $5 billion company to a $10 billion company. That deal closed in late 2016, explaining how the company saw double-digit growth in defense revenue in both 2016 and 2017 — despite the buy actually making the company less defense heavy overall. Similarly, CACI closed on the acquisition of L3 Technology's National Security Solutions for $550 million in February 2016 — three months before the end of its fiscal year. The associated revenue contributed to the 16 percent increase in defense revenue during 2017. Leidos CEO Roger Krone, in an interview with Defense News in 2016 soon after the acquisition closed, pointed to “scale, but not scale for scale's sake” as a big factor in the buy — noting, too, the importance of balancing the portfolio and geographic distribution. He also pointed to sheer numbers — 15,000 employees specifically — many with security clearances. The trend does seem to be continuing. CSRA chose to not participate in the 2018 Top 100 because its $9.7 billion acquisition by General Dynamics closed by the time data collection for the list kicked off. While General Dynamics is a top defense prime, its IT business functions as a largely separate entity, similar to the pure-play IT companies. The acquisition of CSRA, which reported $2.25 billion in defense revenue for fiscal 2016 — will add significant scale to GDIT. It is also likely to influence the company's Top 100 rank next year. The future promises more cyber and IT-related merger and acquisition activity in the vein of that deal, according to Daniel Gouré, a vice president with the Lexington Institute think tank. “Raytheon is still in acquisition mode with cyber, so it's an area that's still kind of churning,” he said. “I wouldn't be surprised to see some of these big players acquire some of the more defense-oriented cyber players.” Unclear is what the sweet spot may be for those exclusively IT-focused firms. “Where we sit right now, it's not clear what the right size is,” Raviv said. “GDIT and Leidos are about $10 billion in sales; SAIC and CACI and ManTech are lower tier. All of those companies say they are happy with scale but could do a deal. Whether they call it scale, or marrying capability sets — it's all marketing, I suppose.” And there are other tactics that achieve scale without acquisition. Perspecta emerged on the 2018 Top 100, having launched June 1, 2018 through the combination of DXC Technology's U.S. public sector business, Vencore, and KeyPoint Government Solutions. As one entity, Perspecta reported $2.73 billion in defense revenue and ranked 37. To put that in perspective, Vencore ranked 67 in last year's list, with $886.59 million in defense revenue. And all of these pure-play companies are increasingly marketing themselves as conduits to the “nontraditional players” that the Pentagon is so keen to attract. Amazon Web Services, for example, will often partner with government IT companies on defense contracts to hand off some of the contracting morass. That said, for all the potential, the bulk of the defense IT market is notoriously fickle. Services often set aside IT projects in an effort to preserve platform buys, and margins can be low. Agencies also struggle to balance upkeep of existing systems versus modernization efforts versus research and development into the next great technological marvel. But as Raviv noted, it's all IT. “Yes, there are companies working on high-end cyber, the ability to launch attacks through cyberspace or to harden the communication node on a new missile so it can't be hacked by, say, China. And while the word cyber came up a lot three or four years ago, now you hear a lot about AI, autonomy and machine learning. But it's all technology. And it's a lot of smart people working on a lot of advanced things many of us don't understand.” https://www.defensenews.com/top-100/2018/08/09/for-it-companies-the-secret-to-success-in-defense-is-all-about-big-growth/

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