14 avril 2024 | International, Naval
British Navy ships to carry drone-zapping lasers by 2027
Using directed energy to down aerial threats promises to revolutionize the business of air defense.
8 août 2024 | International, Aérospatial
Since Replicator's inception, the Pentagon has awarded contracts for 30 different hardware and software efforts with more than 50 major subcontracts.
14 avril 2024 | International, Naval
Using directed energy to down aerial threats promises to revolutionize the business of air defense.
27 décembre 2018 | International, C4ISR
By: Justin Lynch Silicon Valley is the home to the transistor and the birthplace of the IT industry. Boston is the home of prominent universities and technology companies such as Raytheon and Boston Scientific. So where will the country's hub of cybersecurity innovation reside? A new paper argues that a nucleus of new cybersecurity technologies may struggle to form in the United States. Because the Department of Defense's research facilities are dispersed throughout the country and located in smaller metropolitan regions, the Army is in danger of stagnating when it comes to technology innovation, a Dec. 18 paper in the Army's Cyber Defense Review argued. “Without immediate, bold action, the Army will miss its best opportunity to seize the initiative in the current Cyber Cold War,” wrote Col. Stoney Trent, an Army official who now works for the Pentagon's top IT officer in the Joint Artificial Intelligence Center. “The Secretary of Defense fully understands the need for dramatic improvement, and fifteen years of Army acquisition failures have created the crisis necessary for change.” Trent took aim at the Army's decision to move its cyber headquarters to Fort Gordon, Georgia, saying it “lacks most of the characteristics that have attracted technologists to other innovation regions.” “Limited public infrastructure and services, sparse employment options, a humid subtropical climate, a lack of a private research university, and distance from urban centers will likely delay the emergence of innovative technologists in Augusta-Richmond County,” he wrote. The state of Georgia, which is partnering with the Army on innovation near Fort Gordon, opened the first phase of a planned a $100 million dollar center earlier this year. But while Trent argued that the Army has “limited input over the location of its installations and major activities,” because basing decisions are made by Congress, the dispersed locations are not ideal for improving the Pentagon's cyber prowess. “Due to the location of Army research activities, very few scientists and engineers have access to the operators and analysts who will have to use the technologies under development,” he wrote. On the contrary, large cities are engines of innovation because they have more local resources, a higher degree of subject area experts and a larger local workforce, Trent argued. “This exponential increase in innovation is related to social networks and access to ideas, resources, and expertise in more populated urban settings.” That makes locations like Moffett Air Field in Santa Clara County near Silicon Valley, Fort Devens near Boston, and Fort Hamilton in New York City as potential hubs that “have been left fallow,” Trent argued. “Decades of studies indicate the importance of a culture of experimentation. While our adversaries are experimenting, we must not dither.” https://www.fifthdomain.com/dod/2018/12/26/why-the-pentagons-cyber-innovation-could-fall-behind
3 mars 2020 | International, Aérospatial, Naval
Un Rafale de la Marine nationale vient d'effectuer son premier vol avec une pièce imprimée en 3D avec succès : dessinée et prototypée sur le porte-avions Charles de Gaulle, la pièce est un boîtier de commande de vidanges des réservoirs de carburant. C'est une première pour la marine qui peut ainsi compter sur la fabrication additive pour concevoir des pièces détachées rapidement et proposer diverses itérations à moindre coût. Le composant final a été imprimé en 3D par Dassault Systèmes et pourrait bien être le premier d'une longue série. En février 2019, le porte-avions Charles de Gaulle s'équipait d'une imprimante 3D, probablement d'une machine de bureau à dépôt de matière fondue, afin de concevoir toutes sortes d'objets pour dépanner l'équipage parti en mission. Un ravitaillement ou une réparation en pleine mer est très coûteux et long, un temps que les techniciens de la Marine nationale ne peuvent parfois pas s'offrir. La fabrication additive pourrait être une première solution : en ayant une imprimante 3D à bord du porte-avions, son équipage produirait ce dont il a besoin sur place, s'affranchissant de nombreuses contraintes. La Marine nationale possède aujourd'hui 40 Rafale, dont 28 en ligne. C'est aujourd'hui l'avion de combat le plus moderne en service sur le territoire français. L'Etat-major des armées (EMA) explique qu'une équipe de techniciens de la Marine nationale a proposé d'utiliser l'imprimante 3D à bord du porte-avions Charles de Gaulle pour imaginer différentes pièces détachées intégrées à leur Rafale. Ils ont donc dessiné une maquette de renfort qui a ensuite été imprimée en 3D sur le bateau directement. L'EMA ajoute : “Le projet est immédiatement retransmis à la Direction de la maintenance aéronautique pour analyse au sein du plateau technique central mis en place dans le cadre du premier marché verticalisé de la flotte et rassemblant les spécialistes étatiques et industriels du domaine.” Le marché évoqué concerne le contrat RAVEL obtenu en mai 2019 par Dassault Aviation et ce pour une durée de 10 ans. Celui-ci a notamment pour objectif d'assurer l'entretien des Rafale, une assistance technique et une meilleure gestion des stocks. Après quelques jours d'études, le modèle imprimé sur le porte-avions a été adapté afin que le groupe Dassault puisse imprimer en 3D un produit fini. On ne sait pas quels matériaux et technologie ont été utilisés mais les pièces auraient été montées sur l'ensemble des Rafale embarqués dans le cadre de la mission Foch qui a débuté le 22 janvier dernier. La direction de la maintenance aéronautique (DMAé) conclut : « L'endommagement d'un aéronef en mer étant plus sévère qu'à terre, il revient à la DMAé de calculer et d'anticiper les besoins des différents aéronefs embarqués pour soutenir au mieux les équipes du porte-avions dans leur travail quotidien. » La fabrication additive pourrait donc répondre à ces objectifs et aider les équipes à concevoir des pièces détachées plus rapidement et efficacement. On espère que d'autres Rafale pourront être équipés de pièces imprimées en 3D ! En attendant, vous pouvez retrouver davantage d'informations ICI. https://www.3dnatives.com/rafale-marine-nationale-impression-3d-03032020/