4 août 2023 | International, Terrestre

Oshkosh Defense receives $201 Million order to supply additional FMTV A2S

The FMTV A2 demonstrates ultimate platform flexibility with 16 models and trailers designed to move troops and supplies, recover vehicles and weapon systems, and haul equipment to wherever the mission...

https://www.epicos.com/article/770111/oshkosh-defense-receives-201-million-order-supply-additional-fmtv-a2s

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    22 avril 2024 | International, Terrestre

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    What is the M10 Booker? This little-known platform, which is somewhere between an IFV and an MBT, will provide much-needed infantry support.

  • Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    24 mars 2020 | International, Naval

    Qui est Pierre Eric Pommellet, numéro deux de Thales, futur patron de Naval Group

    Le successeur d'Hervé Guillou à la tête de Naval Group est désormais connu. L'Etat a désigné Pierre Eric Pommellet, actuel directeur général du groupe Thales, a-t-on appris le 24 janvier de sources gouvernementales. Le nouveau PDG de Naval Group a été désigné. Atteint par la limite d''ge, Hervé Guillou doit quitter le groupe français en mars. C'est Pierre Eric Pommellet, "directeur général opérations et performance" de Thales, qui a été choisi par l'Etat pour prendre la tête du constructeur naval, a-t-on appris vendredi 24 janvier de sources gouvernementales. “PEP”, favori pour la succession d'Hervé Guillou “Nous confirmons que le choix de l'Etat est Pierre Eric Pommellet, a déclaré une source du ministère des Armées. Il prendra la tête de Naval Group au départ d'Hervé Guillou, c'est-à-dire à la fin du mois de mars.” Vendredi 24 janvier, le comité des nominations de Naval Group s'est réuni pour valider ce choix. La candidature de Pierre Eric Pommellet doit encore passer devant le conseil d'administration de Naval Group en février. Si les administrateurs approuvent ce choix, une assemblée générale devrait avoir lieu en mars. Le nouveau patron devra ensuite être nommé officiellement par un décret du président de la République. Depuis plusieurs jours, des informations de presse présentaient “PEP” comme le favori pour la succession d'Hervé Guillou. Le nom de Benoît Ribadeau-Dumas, directeur de cabinet du Premier ministre Édouard Philippe, circulait également avec ceux de plusieurs profils internes. "Une vraie histoire personnelle avec le monde naval" “C'est un ingénieur qui a une vraie histoire personnelle avec le monde naval. Son père a construit Île Longue [la base de la Marine nationale pour les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins située dans la rade de Brest, Finistère]. Son grand-père était le patron de l'usine d'Indret à la direction des constructions navales [ancêtre de Naval Group]”, fait valoir la source gouvernementale. Pierre Eric Pommellet lui-même n'est pas étranger au secteur naval. Diplômé de l'Ecole Polytechnique, de Sup Aero et du MIT aux Etats-Unis, il est aussi passé à la direction des constructions navales comme ingénieur de l'armement au début de sa carrière. A 52 ans, l'industriel est plus connu comme le directeur général opérations et performance de Thales. Il assume cette fonction depuis 2017 après avoir occupé divers postes de direction : président de Thales Underwater Systems, président de Thales Systèmes Aéroportés, directeur général de la division des systèmes de mission de défense... Autrement dit, Pierre Eric Pommellet est loin d'être un inconnu dans le monde de la défense et il avait l'avantage de cocher plusieurs cases : profil industriel, connaisseur du grand export et du milieu de défense. Malgré cette notoriété, il semble prêt à accepter un salaire un peu plus bas, plafonné par la loi à 450 000 euros par année. Un gage de motivation pour le gouvernement. Des syndicats hostiles à l'arrivée de Pierre Eric Pommellet ? L'arrivée chez Naval Group du directeur général de Thales ne va pas se faire sans complication. Le patron de Thales, Patrice Caine, va devoir trouver un nouveau numéro deux. Surtout, les critiques se sont faites entendre chez les représentants des salariés de Naval Group. Pressentant sans doute cette nomination, les syndicats Unsa et CFE-CGC ont publié un communiqué mardi 21 janvier pour dénoncer le poids de Thales dans la gouvernance de l'entreprise. Le groupe d'électronique est actionnaire à 35 % de Naval Group aux côtés de l'Etat qui détient plus de 62 % du capital. Selon les organisations syndicales, Thales “dispose de droits bien supérieurs à son poids actionnarial” et “se place régulièrement en concurrence de sa filiale Naval Group sur les offres export". "Les personnels de l'entreprise ne comprendraient pas que la succession du PDG actuel, Hervé Guillou, soit l'opportunité pour Thales de positionner un outil industriel de souveraineté comme Naval Group en situation de dépendance vis-à-vis d'un équipementier", ajoutaient-ils avant la nomination de Pierre Eric Pommellet. Vendredi 24 janvier, la source gouvernementale répond aux critiques. “Il n'y a pas d'agenda caché associé à la nomination de Pierre Eric Pommellet. La stratégie de Naval Group reste la même : être un leader mondial de conception et de construction de bateaux militaires fortement armés. Il n'y a pas d'infléchissement stratégique. Naval Group restera une entreprise indépendante, autonome et qui doit créer de la croissance avec une liberté d'entreprendre et d'innover”, assure-t-elle. L'actionnariat de Naval Group ne devrait ainsi pas évoluer. Une feuille de route conséquente Plusieurs grands projets attendent en tout cas le nouveau PDG de Naval Group. Parmi eux : la construction du sous-marin nucléaire lanceur d'engin de troisième génération à partir de 2023, la livraison à la Marine Nationale cette année du sous-marin d'attaque Suffren, mis à l'eau l'été dernier et l'important projet d'un nouveau porte-avions attendu pour 2038. “La feuille de route de Pierre Eric Pommellet, avant toute autre chose, est de livrer les programmes nationaux", affirme le cabinet de Florence Parly. https://www.usinenouvelle.com/article/qui-est-pierre-eric-pommellet-numero-deux-de-thales-futur-patron-de-naval-group.N922724

  • Japanese acquisition officials reveal next steps in search for advanced fighter jet

    7 décembre 2018 | International, Aérospatial

    Japanese acquisition officials reveal next steps in search for advanced fighter jet

    By: Mike Yeo TOKYO — Japan is pushing ahead with research and development into advanced fighter jet technology, despite uncertainty over its acquisition strategy for a next-generation fighter and questions about the degree to which Japanese industry will be involved in the program. These technologies include a new fighter engine, thrust vectoring control, stealth shaping for low observability as well as the weapons carriage and release mechanism for internal weapons bays, according to representatives from Japan's Acquisition, Technical and Logistics Agency, or ATLA, who spoke at the Japan International Aerospace Exhibition in Tokyo, which ended Nov. 30. Several of these technologies were fitted on the Mitsubishi X-2, a technology demonstrator built by the Japanese and used to test and validate several of these features. Since then Japan has continued development work on the 15-ton thrust XF-9 afterburning turbofan. That turbofan displayed an improvement up to 70 percent during the time it took to spool up to full thrust from idle, when compared to the earlier XF-5 used by the X-2, said Lt. Gen. Hiroaki Uchimura, director general of aerial systems at ATLA. Japan is also working on an advanced active electronically scanned array radar, as well as manufacturing techniques to reduce or eliminate the need for fasteners in aircraft structures. Neither feature found its way to the X-2, but work continues on both fronts, with the radar having been tested in the laboratory and slated for flight tests onboard a Mitsubishi F-2 fighter jet test bed. The continuing R&D effort is reflected in the budget requests the Ministry of Defense made for next fiscal year, which begins in April 2019. This includes $194.6 million for research into fighter “mission system integration studies and manned-unmanned aircraft teaming technology,” and is on top of the $1.7 billion Japan has invested in fighter research since 2009. That first figure is also more than 10 times the amount spent on R&D for Japan's Mitsubishi F-2 fighter, according to Uchimura. Japan's next-generation fighter will replace the F-2 around the mid-2030s, and both Uchimura and ATLA Commissioner Nobuaki Miyama, who spoke at different conference sessions at the aerospace exhibition, touched on five critical attributes for Japan's next fighter program. These include its ability to secure air superiority over potential adversaries; the ease of upgrading as new technologies emerge; the latitude to domestically perform upgrades and sustainment without requiring overseas approval; the level of involvement of local industries in performing those upgrades and sustainment; and the need for the fighter and program as a whole to have a “realistic and feasible” cost. Japan is currently studying several different procurement strategies for its next-generation fighter, including a wholly domestically developed and manufactured design, an international collaboration, or what it calls a “spinoff” development of an existing design. Japan and the United Kingdom have agreed to exchange information with each other for their respective fighter programs. Reuters previously reported that both Lockheed Martin and Northrop Grumman responded to Japan's request for information on potential fighter offerings, with the former said to have an “F-22/F-35 hybrid” in mind. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/japan-aerospace/2018/11/30/japanese-acquisition-officials-reveal-next-steps-in-search-for-advanced-fighter-jet

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