30 octobre 2020 | International, Naval

Naval Group keeps its head down during the pandemic

By:

COLOGNE, Germany — French shipbuilder Naval Group is counting its blessings of full order books during the worldwide coronavirus pandemic, conscious that defense companies will be scrutinized as national economies contract, according to CEO Eric Pommellet.

The company so far has seen no impact on its activities, including big-ticket shipbuilding programs in Europe, Australia and South America, Pommellet told reporters during a conference call last week.

“We have not lost any projects, we have not lost any customers. All of the defense programs have been kept intact in terms of government budgets for all of our customers,” he said.

Pommellet's comments fall in line with a trend throughout Europe of governments trying to preserve, if not boost, their defense budgets in the midst of an economic crisis whose contours are still taking shape amid drastic new measures aimed at curbing the spread of COVID-19.

France and Germany announced new lockdown measures this week, with offers by the governments to ease the blow to companies. In France — which represents 70 percent of Naval Group's business, according to Pommellet — officials consider defense spending a national stimulus.

Still, the situation remains fluid, as the company has worked to adapt its operations to keep the workforce healthy. “When I look at the overall situation for now, I would say: ‘No impact,' ” Pommellet said. “The question will be tomorrow, of course. And here, I'm unable to look into the crystal ball.”

The uncertainty has driven the company to keep its head down and plug away on the work at hand.

“This is a moment where we must stick to our projects and stay in touch with our customers,” Pommellet said. “Delivering and serving our customers at absolutely perfect performance in this period sends a key message. Because tomorrow, they will remember that we were there.”

It also may not be the time for bold moves when it comes to pursuing further consolidation in Europe's naval shipbuilding sector in the face of competition from China and Russia. The perennial vision of consolidation has yet to gain traction across the continent.

For now, Pommellet said, he wants to ensure cooperation with Italy's Fincantieri, under the banner of the Naviris joint venture, can bear fruit.

“Let's stick to what we do. Let's deliver, let's satisfy our customer, let's demonstrate that what we're doing is good and see tomorrow where the wind is blowing,” he said.

https://www.defensenews.com/smr/euronaval/2020/10/29/naval-group-keeps-its-head-down-during-the-pandemic/

Sur le même sujet

  • What are the regional reactions to the new US-UK-Australia security pact?

    20 septembre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    What are the regional reactions to the new US-UK-Australia security pact?

    Japan, Indonesia and Singapore weigh in on the AUKUS agreement.

  • Les armées lancent le big bang des contrats de maintenance de leurs aéronefs

    23 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Les armées lancent le big bang des contrats de maintenance de leurs aéronefs

    HASSAN MEDDAH L'armée vient de choisir la société Helidax comme nouveau prestataire unique pour la maintenance des hélicoptères Fennec avec diminution quasiment par deux des coûts à l'heure de vol. Le contrat Rafale sera notifié d'ici l'été. Avec l'idée de responsabiliser les industriels à travers des contrats globaux et de longue durée. A l'occasion de ses vœux aux Armées prononcés le 21 janvier, la ministre Florence Parly a fait part d'une réussite : elle a annoncé le premier contrat en matière de maintenance aéronautique (MCO) d'un nouveau type, avec une baisse sensible des coûts à l'heure de vol, en contractualisant avec un seul maître d'œuvre industriel. "Je viens aujourd'hui même de prendre la décision de notifier le premier contrat de MCO « new look », un MCO « verticalisé » pour les hélicoptères de formation Fennec de l'armée de l'Air. C'est un contrat qui prévoit plus d'activité pour un coût moindre. Je vous donne un chiffre : avec ce contrat, le coût d'une heure de vol passe de 3 500 à 1 800 euros. C'est presque moitié moins. C'est la preuve que notre stratégie était la bonne". Même si cet essai doit être confirmé par d'autres contrats pour des flottes d'appareils plus complexes (Rafale, A400M, Tigre, Cougar...), la ministre est en train de gagner son pari. En décembre 2017, elle frappait du point sur la table concernant la disponibilité calamiteuse des aéronefs militaires : moins d'un appareil sur deux était en situation de voler. Elle annonçait alors la création d'une nouvelle direction de la maintenance aéronautique (DMAé) pour remettre d'équerre le maintien en condition opérationnelle des aéronefs militaires. Des contrats de longue durée Depuis sa création en avril 2018, la direction de la maintenance aéronautique vient donc de signer son premier contrat pour attribuer la maintenance de la flotte des 18 FENNEC de l'école de formation des pilotes de de l'armée de Terre, basée au Luc en Provence (83). L'armée va confier au groupement industriel Helidax les 18 Fennec, le stock de pièces de rechange et également la maintenance de proximité. Le prestataire va s'implanter sur la base et s'engage à fournira les heures de vol demandées. "C'est le premier appel d'offres global de ce type de la DMAé. Notre objectif est désormais de responsabiliser les industriels en exigeant de leur part une véritable obligation de performance et non plus de moyens", explique Monique Legrand-Larroche, directrice de la DMAé. En échange, l'armée s'engage sur des contrats de longue durée, entre 5 à 10 ans, permettant à ses fournisseurs de mieux s'organiser. Plus précisément, Helidax s'engage à fournir entre 3 000 et 5 600 heures de vol par an. Les années précédentes, les équipages en formation n'avaient pu voler que moins de 3 000 heures sur les 3 500 heures nécessaires. L'armée a fait jouer la compétition. "Nous ferons jouer la compétition dès que c'est possible. Dans le cadre du contrat Fennec, nous avons reçu plusieurs offres pertinentes", se félicite la directrice de la DMAé. Selon nos sources, AirbusHelicopters n'aurait pas candidaté. Le nombre de contrats a été réduit en signant uniquement deux contrats – un pour le moteur et un pour le reste de l'appareil - contre une quinzaine auparavant. 4 contrats pour le Rafale au lieu de 22 La Dmaé finalise désormais le contrat Rafale. La notification devrait intervenir avant l'été. "L'objectif est de consolider la disponibilité sur le long terme quelle que soit la conjoncture comme le chantier d'implémentation du standard F3R qui vise à moderniser l'appareil"explique Monique Legrand Larroche. Il y aura seulement 4 contrats contre les 22 actuellement. Les autres flottes qui seront traitées en priorité sont pour les avions, l'Atlantique 2 et l'A400M, et pour les hélicoptères, le Cougar, le Caracal, le Dauphin et le Panther. https://www.usinenouvelle.com/article/les-armees-lancent-le-big-bang-des-contrats-de-maintenance-de-leurs-aeronefs.N796305

  • State Dept. approves $194M upgrade deal for South Korea's F-16s

    31 mars 2020 | International, Aérospatial

    State Dept. approves $194M upgrade deal for South Korea's F-16s

    ByEd Adamczyk March 30 (UPI) -- The State Department approved a sale of upgrades to South Korea's F-16 fighter planes, the Defense Security Cooperation Agency said on Monday. The $194 million sale, expected to be approved by Congress, calls for South Korea to obtain Mode 5 Identification Friend or Foe equipment, known as IFF, and Link 16 Technical Datalink equipment for its F-16 Block 32 fleet. IFF, in use since the 1940s and improved regularly, identifies and tracks military aircraft, and Mode 5 is the most recent implementation of the system. It uses waveform modulation, coding, and cryptographic techniques to quickly determine the identity and heading of an aircraft. Link 16 is a military data link network allowing military ships and aircraft to share tactical picture of a situation in real time, and offers an offers an exchange of text messages, imagery data and two channels of digital voice transmission. Each system is currently in use by NATO countries. The proposed deal includes the sale of radios, Combined Interrogator Transponders, a Joint Mission Planning upgrade, secure voice modules, crypto fill devices, aircraft ferry support, training, integration support and test equipment, and contractor, engineering, technical and logistics support services. The Republic of Korea Air Force has 180 F-16s, in two variants. https://www.upi.com/Defense-News/2020/03/30/State-Dept-approves-194M-upgrade-deal-for-South-Koreas-F-16s

Toutes les nouvelles