30 juin 2022 | International, Naval

Marine Corps unveils information guidance as US rivals spew propaganda

'€œInformation is key to gaining advantage in all domains, whether during kinetic actions on the battlefield or during day-to-day operations in competition,'€ said Gen. David Berger, the Marine Corps commandant.

https://www.defensenews.com/information-warfare/2022/06/29/marine-corps-unveils-information-guidance-as-us-rivals-spew-propaganda/

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    30 août 2019 | International, Aérospatial

    SPACECOM is a go: Newest combatant command signed into existence

    By: Aaron Mehta WASHINGTON — The Pentagon has a new combatant command. With a twirl of the pen, Secretary of Defense Mark Esper signed into creation U.S. Space Command, the 11th war-fighting command for the Defense Department. “This is a landmark day, one that recognizes the centrality of space to America's national security and defense," President Donald Trump said during the event, held in the Rose Garden of the White House. “It's all about space,” Trump said, adding that for anyone looking to challenge the U.S. in orbit, “it's going to be a whole different ballgame.” Air Force Gen. Jay Raymond is the new head of SPACECOM; Army Lt. Gen. James Dickinson has been nominated to become the deputy commander. Upon Trump's signature, 287 individuals, pulled largely from U.S. Strategic Command, became the first members of the new command. Earlier in the day, Raymond and Stephen Kitay, deputy assistant secretary of defense for space policy, told reporters the creation of SPACECOM marked a new era in how the Defense Department approaches space. “We are at a strategic inflection point. There is nothing that we do [as a joint force] that isn't enabled by space. Zero,” Raymond said. “Our goal is to actually deter a conflict from extending into space. The best way I know how to do that is to be prepared to fight and win” should deterrence fail. SPACECOM's mission falls into four broad categories: To deter potential adversaries in space. To defend American assets in orbit. To deliver war-fighting capabilities (such as GPS) to other combatant commands. To develop joint war fighters to be able to operate in the space domain. The command will include a traditional headquarters staff, service components from all four armed services and two operational components: Combined Forces Space Component Command — focused on integrating space capabilities around the globe and throughout joint coalition partners — and Joint Task Force for Space Defense — focused on protecting and defending the war-fighting domain. “Space will not be an Achilles' heel. We will protect and defend and provide it for our way of life and our way of war,” Kitay added. Technically, this is a relaunch of SPACECOM, which existed in another form from 1985 through 2002. However, Raymond said, the two organizations are very different, with a “sharper” focus on the dangers from other nations in space a key part of the new incarnation. Those threats include kinetic and non-kinetic activities from competitors such as China and Russia — and any future competitors who might gain space capabilities in the future. As if to underscore the changing space environment, news broke Thursday that Iran's most recent attempt at a space launch appears to have failed on the ground. The effort was the third failed launch attempt this year, but the effort shows Iran is willing to invest significant national capital into putting assets into orbit. SPACECOM will continue to grow, including a final selection on the location of its headquarters. But questions remain about integration plans with an eventual Space Force, should Congress back its creation as a new military branch. The budget for SPACECOM in fiscal 2020 was $83.8 million, of which $75.6 million was shifted from previous organizations. Raymond warned that a continuing resolution this year would have a “significant impact” on the standing up of the new command. “We need to have stable budgets as we build this command. Continuing resolutions are never good, and it would be bad in this case as well,” he said. https://www.defensenews.com/space/2019/08/29/spacecom-is-a-go-newest-combatant-command-signed-into-existence/

  • Bourget 2019 : La vision du futur de MBDA

    18 juin 2019 | International, Aérospatial

    Bourget 2019 : La vision du futur de MBDA

    Par ehuberdeau Le missilier européen a imaginé plusieurs concepts d'armement qui pourraient être intégrés au sein des projets européens de futurs systèmes de combat aériens. Très connectés ces missiles et remote carriers devront pouvoir contrer des systèmes de dénis d'accès. En Europe continentale, comme au Royaume-Uni, les travaux de préparation de systèmes de combat aérien futurs avancent. Ceux ci mettront en réseau des avions de combat, des avions de mission, des moyens satellitaires, des drones et "remote carriers" mais aussi de l'armement. MBDA, spécialiste européen des missiles veut participer à ces développements et profite du salon du Bourget pour présenter des concepts innovants. Les missiles de croisière MBDA a imaginé deux concepts de missiles de croisière qui pourraient être opérationnels à l'horizon 2030 et pourraient donc être appliqués au programme FMAN/FMC (Futur missile de croisière et missile anti navires franco-britannique). Ces missiles bénéficieront de capacités de pénétration accrues par rapport aux systèmes actuels. Cette famille comprend deux concepts. D'une part un missile polyvalent supersonique et d'autre part un missile subsonique furtif. Le missile supersonique (Vitesse supérieure à mach 1) a été imaginé pour frapper principalement trois types de cibles : les centres de contrôle des systèmes de défense aérienne, les navires et les cibles aériennes de haute valeur tel que les ravitailleurs en vol et les avions de conduite et de commandement. Pour ces missions il sera nécessaire d'aller vite et d'être manoeuvrant. Le missile subsonique furtif a été pensé pour réaliser des frappes dans la profondeur. Il bénéficiera d'une grande endurance et emportera une charge militaire conséquente. Il pourra frapper notamment des cibles durcies. Les deux missiles auront un format comparable à celui du SCALP, soit environ cinq mètres de long pour une masse d'environ une tonne. Le missile pourra être emporté par un avion ou tiré depuis un navire. Le guidage ne dépendra pas du GPS et les missiles bénéficieront de portées de plusieurs centaines de kilomètres. Smart Glider/Smart Cruiser MBDA avait déjà présenté sa famille SmartGlider. Les SmartGlider sont des bombes planantes non propulsées, d'une portée de plus de 130 km, équipées d'un autodirecteur à capteurs multiples. Deux variantes ont été imaginées, une lourde de 1 200 kg et une légère de 120 kg. Cet armement met en œuvre l'intelligence artificielle. Des algorithmes devraient aider l'équipage à reconnaître sa cible et donc à être plus réactif. Une fois tirée, l'arme est conçue pour dialoguer avec l'appareil tireur durant l'ensemble de son vol. Les SmartGlider ont été conçues pour être utilisées en essaim. Avec trois points d'emport pour six armes, un Rafale pourrait emporter jusqu'à dix-huit bombes planantes SmartGlider Light. Plusieurs bombes peuvent donc être larguées en même temps pour mener une attaque saturante. Les SmartGlider pourront se coordonner en vol pour adopter des trajectoires complémentaires et perturber les défenses adverses. MBDA propose désormais aussi de développer une version propulsée de l'arme baptisée SmartCruiser. La charge militaire serait réduite mais la portée serait accrue. Remote carriers Le terme « remote carriers » désigne une large gamme de systèmes allant du missile connecté au drone de combat. MBDA propose deux effecteurs capable avant de frapper leur cible de réaliser une variété de missions. Celles-ci pourraient comprendre la reconnaissance, le renseignement ou encore la guerre électronique. Le RC 100 est un véhicule de 100 kg, le RC 200 un véhicule de 200 kg plus endurant et plus performant. Le RC 100 pourrait être intégré par le système Smart Launcher permettant d'emporter aussi des bombes SmartGlider. Un avion de combat pourrait donc lancer simultanément des bombes SmartGladier et un ou des RC 100. Le remote carrier pourrait ainsi participer à la désignation des cibles ou brouiller les systèmes de défense adverses pour améliorer l'efficacité du raid. Anti missile hardkill system Il s'agit ici d'un petit missile de un mètre de long, emporté par un chasseur, capable d'intercepter les missiles qui lui sont destinés. Sur un chasseur de prochaine génération, l'AHS pourrait être intégré directement dans la structure de l'appareil sur des lanceurs prévus à cet effet. Pour des appareils plus anciens il pourrait être emporté en nacelle. Le missile devra être intégré au système d'autoprotection de l'avion de combat et devra pouvoir être mis en œuvre sans perturber la manœuvre évasive du chasseur. https://www.air-cosmos.com/article/bourget-2019-la-vision-du-futur-de-mbda-10361

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