17 octobre 2024 | International, Aérospatial
AeroVironment pitches Army drone for quick battlefield changes
AeroVironment says its P550 drone will be able to be adapted in less than five minutes by popping old units out and putting new ones in.
20 décembre 2022 | International, Terrestre
The five years framework contract provides for the delivery of 155mm M2005 V-LAP projectiles, M92 modular charges and various fuzes
https://www.epicos.com/article/750114/major-order-nato-customer
17 octobre 2024 | International, Aérospatial
AeroVironment says its P550 drone will be able to be adapted in less than five minutes by popping old units out and putting new ones in.
9 avril 2021 | International, C4ISR
DÉFENSE L'intelligence artificielle susceptible de bouleverser les affrontements à venir La Commission américaine à la sécurité nationale pour l'intelligence artificielle (NSCAI) a publié début mars un rapport alertant sur le possible bouleversement des conflits à venir sous l'effet du développement de l'intelligence artificielle. Des transformations qui pourraient notamment structurer l'affrontement stratégique entre les États-Unis et la Chine. Les auteurs du rapport, dont l'ancien dirigeant de Google Eric Schmidt, plaident pour l'adoption dès 2021 d'un plan de 40 milliards de dollars, afin de maintenir l'avantage technologique et stratégique des États-Unis. Les capacités américaines d'IA devraient être prêtes dès 2025, recommandent-ils. Dans sa stratégie pour l'intelligence artificielle de 2019, le ministère français des Armées identifiait aussi l'enjeu lié à l'intelligence artificielle : « L'IA peut constituer un agent déstabilisateur des équilibres établis en favorisant la compétition en matière d'armement, susceptible d'aboutir à des ruptures technologiques ou au nivellement des positions stratégiques », prévenait le ministère. Le Figaro du 9 avril
2 avril 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense
(B2) Il ne se passe pas de mois désormais sans qu'un dirigeant en responsabilité au niveau européen ne présente une idée ‘nouvelle' pour faire avancer l'Europe de la défense. En soi, c'est intéressant, cela anime le débat. Mais il serait nécessaire d'en savoir plus. Une foison d'entreprises On a mis en place une coopération structurée permanente. Puis est venue une initiative européenne d'intervention, dérivée d'une idée présentée par Emmanuel Macron il y a 18 mois, en septembre 2017. Ensuite sont venues plusieurs déclarations franco-allemandes (à Meseberg en juin 2018 et Aix-La-Chapelle en janvier 2019) qui ont évoqué une nouvelle solidarité militaire entre les deux pays et un conseil de sécurité de l'UE. Puis sont venues des déclarations de plusieurs leaders européens — tels le Français Emmanuel Macron, l'Allemand Angela Merkel, l'Espagnol Pedro Sanchez — annonçant un projet, « à terme », d'armée européenne (1). Des dirigeants de premier plan. Enfin, Emmanuel Macron a souhaité mettre en place un nouveau traité de défense avec non seulement l'Allemagne mais aussi le Royaume-Uni définissant une nouvelle clause de défense mutuelle et ce fameux Conseil de sécurité européen. Sans oublier le fameux porte-avion commun, que voudrait développer la CDU d'Annegret Kramp-Karrenbauer. Cesser de mettre en bouche et expliquer Il serait peut-être désormais temps que les idées cessent d'être mises en bouche, mais qu'on arrive à saisir ce qu'elles recouvrent exactement. Paris et Berlin n'ont pas tout à fait peut-être la même idée du Conseil européen de sécurité ni de la défense européenne, il serait intéressant que ces nuances soient clarifiées pour que le débat puisse s'engager concrètement. Il serait aussi intéressant d'avoir un peu de cohérence dans tout ce feu d'artifice d'idées merveilleuses. Expliquer : une nécessité démocratique Les responsables politiques devraient prendre l'habitude, dans leurs grands discours, d'accompagner ceux-ci d'une petite notice explicative, détaillant en quelques phrases, comment leurs belles idées doivent être comprises. Cela aurait un intérêt : éviter des incompréhensions, permettre au débat de s'engager, faire avancer les projets. Cela aurait un avantage : clarifier si on est dans l'effet de manche, l'agitation ou le projet, l'action. Cela répondrait tout simplement à une nécessité démocratique. https://www.bruxelles2.eu/2019/03/31/arretons-de-declamer-detaillons/