10 août 2018 | Local, Aérospatial

Longview contracts Cascade for Viking CL-415EAF conversion program

Longview Aviation Capital of Victoria, B.C., in cooperation with Viking Air Limited, has signed a contract with Cascade Aerospace of Abbotsford, B.C., to provide training and resources in support of the Viking CL-415EAF (Enhanced Aerial Firefighter) Conversion Program.

Longview Aviation Capital selected Cascade to provide assistance with the Viking CL-415EAF conversion program in order to leverage Cascade's previous experience converting nine Canadair CL-215 firefighting aircraft to CL-215T turbine configuration for the Provinces of Alberta and Saskatchewan.

The initial Viking CL-415EAF turbine conversion will be conducted at Cascade's facilities at the Abbotsford International Airport, and is scheduled to commence in September 2018.

Cascade will provide training to Longview observers during the initial conversion at their Abbotsford facilities, and will send support staff to provide on-site training at Longview's facilities in Calgary, Alta., for the second and subsequent CL-415EAF conversions.

“Cascade is both well-respected and well-established in the aerial firefighting community. We're confident their proven track record as a 214/415 Centre of Excellence converting Canadair CL-215 aircraft to turbine configuration will contribute to the on-time delivery of the initial CL-415EAF Enhanced Aerial Firefighter,” said David Curtis, chairman of Longview Aviation Capital.

“This is a complex modification, and their expertise will lend itself to the development of the broader conversion program as a whole.”

Kevin Lemke, executive vice-president and COO of Cascade Aerospace, voiced his support for this program

“I'm enthusiastic that Cascade can offer Longview and Viking, two Western-Canadian companies, the advantages we've developed over hundreds of thousands of hours of experience working on CL-215 aircraft,” he said.

“We've enjoyed many years of successful collaboration with Viking over the years on other programs and look forward to many more on this specialized Canadian platform. I'm confident that Cascade's honed expertise in the conversion process will substantively contribute to the success of the new Viking CL-415EAF program.”

The CL-415EAF turbine conversion program is based on the Canadair CL-215T configuration, and encompasses installation of two Pratt & Whitney Canada PW 123AF turboprop engines, integration of a new digital avionics suite, installation of six new aircraft structures including winglets and finlets, upgraded power-assist flight controls, installation of a new power distribution system along with complete rewiring of the aircraft, and incorporation of 75 service bulletins associated with the CL-215T conversion kit.

To initiate the conversion program, Longview is hiring up to 150 technical and support staff members at its Calgary facilities, where 11 specially selected CL-215 aircraft will undergo modification to CL-415EAF configuration utilizing Viking-supplied conversion kits.

The turbine conversion kits will be developed and produced at Viking's facilities at the Victoria International Airport, where Viking has already hired 50 employees in support of the program.

The Viking CL-415EAF Conversion Program forms part of a staged approach to utilize the advancements made with the Longview converted aircraft as the basis for the proposed Viking CL-515 new-production amphibious aerial firefighting aircraft.

https://www.skiesmag.com/press-releases/longview-contracts-cascade-for-viking-cl-415eaf-conversion-program

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    La firme a obtenu le feu vert de la Food and Drug Administration pour commercialiser son exosquelette L'entreprise B-Temia décroche les autorisations nécessaires pour commercialiser son exosquelette aux États-Unis et n'écarte pas la possibilité d'y ouvrir une usine de production. Par ailleurs, la direction a des discussions pour un possible contrat avec l'armée suisse. Hier, la Food and Drug Administration (FDA) a donné le feu vert à la compagnie de Québec pour vendre son système dermosquelette d'assistance à la marche motorisé Keeogo aux personnes ayant des limitations physiques en raison de problèmes de santé. « Les États-Unis représentent plus de 50 % du marché mondial pour ce type d'appareil. C'est majeur, nous allons avoir accès à plus de la moitié de la tarte », note Stéphane Bédard, président et chef de la direction de B-Temia. Cette dernière compte 35 employés dans le monde, dont une vingtaine au Québec. La compagnie a également une division en Asie en partenariat avec Wistron Corporation. Le siège social est à Singapour. Déjà aux États-Unis Mentionnons que dans le cadre d'un partenariat signé en 2018 avec l'entreprise Lockheed Martin, B-Temia travaillait déjà sur certains produits destinés à l'armée américaine. « Le dossier militaire fait intervenir des personnes saines. Lorsque les gens n'ont pas de maladie, la FDA n'intervient pas. Le même produit peut être utilisé pour d'autres objectifs que de restaurer la démarche », dit M. Bédard. L'exosquelette développé pour les militaires améliore notamment leur performance lorsqu'ils doivent transporter de l'équipement sur une plus longue période et aide à prévenir les blessures, avance le président. L'appareil en question fournit une force supplémentaire aux genoux. Gr'ce à l'autorisation de la FDA, B-Temia prévoit prendre de l'expansion au cours des prochaines années, entre autres à Québec où plus de 10 millions $ devraient être injectés. Des embauches seront aussi effectuées. L'entreprise était en discussion avec la FDA depuis 2016. La direction souligne également son intention de poursuivre ses démarches pour obtenir les approbations réglementaires nécessaires dans d'autres pays. Plusieurs projets en chantier Quant à l'expansion au sud de la frontière canadienne, B-Temia, qui a été fondée en 2010, analyse différents scénarios. Comme pour l'Asie, cette offensive pourrait se faire avec l'aide d'un partenaire d'affaires. « On veut rendre accessible le plus rapidement cette technologie à travers le monde. Oui, on pourrait avoir des activités directes sur le territoire américain. Le modèle d'affaires pour les États-Unis est à l'étude », affirme M. Bédard, précisant ne pas avoir d'échéancier à fournir pour le moment. Par ailleurs, « l'armée suisse fait également des essais avec nos produits. Nous avons aussi d'autres projets militaires sur la table », conclut-il. Afin d'appuyer sa croissance, la direction de B-Temia n'écarte pas la possibilité de faire le saut à la Bourse d'ici cinq ans. Le produit développé par B-Temia, qui est aussi commercialisé au Canada, pourrait notamment servir pour améliorer la démarche des patients ayant subi un AVC. https://www.journaldequebec.com/2020/09/15/b-temia-gagne-en-force-aux-etats-unis

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    27 août 2020 | Local, Aérospatial

    Remplacement des CF-18: une occasion d’économiser et de répondre aux Américains

    OPINION / L'avion qui doit enfin remplacer nos CF-18 devrait être choisi dans les prochaines semaines. Débuté en 1997 (!), ce processus devrait permettre à nos Forces aériennes de recevoir leurs premiers nouveaux appareils à partir de 2025. Trois aéronefs sont en lice : le F-35 A de Lockheed-Martin, le F-18 E de Boeing, dit le Super Hornet, et le JAS 39 de SAAB, dit le Gripen. Mais comment les départager ? Tout d'abord, rappelons que chacun de ces trois appareils répond aux exigences de nos Forces aériennes. Le gouvernement évalue les trois possibilités selon les critères suivants : 60 % pour les performances/caractéristiques techniques des avions, 20 % pour les coûts et 20 % pour les retombées économiques au Canada. En ce qui a trait aux performances/caractéristiques, le F-35 est le seul des trois qui soit « furtif », c'est-à-dire qu'il est pratiquement invisible pour les radars ennemis. Par contre, son rayon d'action sur réservoirs intérieurs est limité et avec des réservoirs extérieurs, il perd beaucoup de sa furtivité. Étant l'appareil le plus récent, c'est celui qui dispose des systèmes électroniques les plus modernes. En fait, la principale faiblesse du F-35 réside dans le fait qu'il s'agit d'un avion extrêmement capricieux, qui est affecté par un nombre incroyable de problèmes techniques, dont plusieurs sont toujours non résolus à ce jour. Il en résulte qu'en moyenne, au moins 50 % des F-35 livrés ne peuvent voler, étant en révision/réparation. Ce taux de non-disponibilité est l'un des plus élevés de tous les avions militaires existants et on questionne fortement la capacité réelle de cet avion à livrer ses performances théoriques. Un bon exemple de cela est que, lors du dernier spectacle aérien de Bagotville, un des deux F-35 américains (qui n'ont pourtant présenté que deux courtes démonstrations de 15 minutes) est tombé... en panne ! Au niveau des performances/caractéristiques, le Super Hornet est supérieur à nos CF-18 actuels, mais inférieur au Gripen, qui est plus fiable que les deux autres. Cet appareil est aussi le plus rapide des trois, le plus maniable, celui qui a le meilleur rayon d'action et est le meilleur en termes de combat aérien. Par contre, la capacité du Gripen d'opérer avec les autres avions américains est questionnée. Pourtant, cet avion effectue régulièrement des missions conjointes avec ceux des autres pays de l'OTAN et il a été déclaré admissible à tous les appels d'offres de remplacement des CF-18. De plus, comme son coût d'acquisition/utilisation est de loin le plus bas des trois avions en lice, cela permet d'envisager que même en y ajoutant des frais d'adaptation au système d'interopérabilité du NORAD, il demeurera bien plus abordable que les deux autres. Au niveau financier, voici le coût total, par heure de vol, des trois appareils en dollars canadiens : le F-35, 58 300 $, le Super Hornet, 17 800 $ et le Gripen, 10 500 $ (source Aviatia). L'avion suédois est donc près de six fois moins coûteux que le F-35... Au niveau des retombées économiques au pays, le Canada est déjà un « partenaire industriel » du programme F-35. Cela signifie que plusieurs entreprises canadiennes (et québécoises) sont qualifiées comme fournisseur, à raison d'environ 2,6 millions $ par appareil. Au total, il a été estimé que 325 emplois seront ainsi créés au Canada (soit 9500 personnes/années en 30 ans). Le ministère de la Défense du Canada a affirmé à plusieurs reprises que faire partie du programme industriel F-35 ne nous oblige pas à acquérir obligatoirement cet avion. Cependant, en termes de retombées économiques canadiennes, il est utile de rappeler que depuis 2009, le F-35 est considéré par les Américains comme un appareil à technologie « sensible ». Cela signifie qu'une bonne partie de l'entretien qui est actuellement réalisé par nos militaires à Bagotville et à Cold Lake, ainsi que par l'entreprise qui a pris la suite de Bombardier à Montréal pour les CF-18 actuels, sera réalisé aux États-Unis dans le cas du F-35. Environ 2500 militaires et civils sont actuellement employés au Canada à l'entretien des avions de chasse. Combien perdront leurs emplois, notamment ici dans la région, si le F-35 est choisi ? De plus, durant les 30 ou 40 ans où nous utiliserons le F-35, les Américains ne pourraient-ils par augmenter sensiblement ces coûts d'entretien une fois que nous serons dépendants d'eux ? Pour le Super Hornet, le même niveau de retombées économiques qu'avec l'actuel CF-18 est à prévoir, alors que le fabricant du Gripen a déjà annoncé que, contrairement au F-35 ou au Super Hornet, il s'engage à le produire dans une nouvelle usine au Canada. Bien que théoriquement supérieur, le F-35 est donc un choix prohibitif en termes de coûts et hasardeux au niveau de la fiabilité ou du nombre d'emplois en entretien qui seront perdus au Canada. Le Super Hornet est un choix performant, beaucoup moins cher et plus fiable que le F-35. Le Gripen est de loin l'avion qui répond le mieux à nos besoins, au moindre coût et avec la fiabilité maximale. En terminant, souvenons-nous que le Super Hornet est fabriqué par Boeing, la même compagnie qui a réussi à faire imposer des droits compensatoires de 219 % aux Série C de Bombardier destinées aux États-Unis. Cela a précipité la chute de la division aéronautique du fleuron québécois, tout en lui faisant perdre sept milliards $ (dont deux provenaient du gouvernement du Québec). Le Gripen de SAAB est d'origine européenne. Ne pas toujours être dépendant des Américains, ça aussi, c'est défendre la souveraineté du Canada! Roger Boivin Président de Groupe Performance Stratégique https://www.lequotidien.com/opinions/carrefour-des-lecteurs/remplacement-des-cf-18-une-occasion-deconomiser-et-de-repondre-aux-americains-7015f0786a4fb446a03530adab548da5

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