19 avril 2021 | International, Naval

Le Mexique lance un appel d'offres pour des pièces de rechange pour les navires Army Pro-line et Spibo Rib

Un appel d'offres international est lancé par la Direction générale des transports militaires du Secrétariat de la défense nationale (SEDENA) pour l'acquisition de pièces de rechange pour l'entretien des navires de l'armée.

La note en espagnol se trouve ici https://www.infodefensa.com/latam/2021/04/15/noticia-sedena-requiere-refacciones-embarcaciones.html?utm_source=alerta&utm_medium=email&utm_campaign=enlaces_alertas et la traduction dans le PDF ci-joint.

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  • Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    25 octobre 2019 | International, Aérospatial

    Pourquoi pas un porte-avions franco-européen ?

    OPINION. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », mais le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Par un groupe de travail au sein de l'association EuroDéfense-France(*). « Le Charles-de-Gaulle aura besoin d'un successeur », souligna Florence Parly, la ministre des Armées, au salon Euronaval en octobre 2018, en lançant une phase d'études pour la construction d'un nouveau porte-avions, qui pourrait entrer en service vers 2030-2035. Ce successeur sera-t-il isolé ? Ou en couple, comme le furent naguère le Clemenceau et le Foch ? Cette solution serait militairement préférable, permettant à la France de toujours disposer d'un b'timent opérationnel, tandis que l'autre serait en période d'entretien ou en refonte. Elle aurait toutefois un coût élevé, celui d'un seul navire étant estimé à 4,5 milliards d'euros. Le porte-avions offre une capacité militaire majeure à une marine. Son déploiement, lors d'une crise, représente un signal politique fort. Dans sa mission Clemenceau, entre mars et juillet derniers, le groupe aéronaval, constitué par le Charles de Gaulle avec ses b'timents d'accompagnement, a participé à l'opération Chammal contre Daech au Moyen-Orient, puis a rejoint la région indo-pacifique pour une série d'exercices avec les marines de l'Inde, des États-Unis, de l'Australie, de la Malaisie et du Japon, et celle de l'Egypte au retour. Combat contre le terrorisme et coopération avec nos alliés ont ainsi conjugué guerre et diplomatie. Dans sa réponse aux propositions d'Emmanuel Macron en vue d'une réforme de l'Union européenne, Annegret Kramp-Karrenbauer, alors successeure d'Angela Merkel à la présidence de l'Union chrétienne-démocrate d'Allemagne et désormais ministre fédérale de la Défense, a écrit en mars de cette année : close volume_off « Dès à présent, l'Allemagne et la France travaillent ensemble au projet d'un futur avion de combat européen... La prochaine étape pourrait consister en un projet hautement symbolique, la construction d'un porte-avions européen commun, pour souligner le rôle de l'Union européenne dans le monde en tant que puissance garante de sécurité et de paix. » Macron et Merkel ont plusieurs fois exprimé l'ambition d'une « armée européenne. » Si l'Europe veut tenir sa place dans le concert mondial, tel qu'il se dessine avec des puissances-continent comme les États-Unis, la Chine, la Russie ou l'Inde, elle doit se doter d'une capacité militaire d'action. Des progrès indéniables sont intervenus depuis 2017, notamment gr'ce à la coopération structurée permanente, le fonds européen de défense, l'initiative européenne d'intervention, mais l'Union européenne reste loin de disposer d'une véritable armée. Un porte-avions aux couleurs de l'Europe ? L'apparition d'un porte-avions aux couleurs de l'Europe serait certes « hautement symbolique », comme l'écrit la responsable allemande, et ce navire pourrait montrer le drapeau de l'Union sur les mers du globe et aux approches des continents. Cependant, le symbole ne suffit pas dans les questions de défense. Un porte-avions est un navire de guerre et, s'il peut remplir des missions diplomatiques de présence, il faut, pour que celles-ci soient crédibles, qu'il soit aussi capable d'intervenir militairement, qu'il sache effectivement combattre. À cet égard, la réalisation d'un porte-avions peut paraître prématurée à ce stade de l'intégration européenne. Florence Parly a, en effet répondu, sur les ondes de RMC en mai dernier qu'on « n'en est pas encore tout à fait là », en évoquant les conditions d'emploi d'un tel navire. Il ne suffit pas de construire un porte-avions, encore faut-il être capable de l'employer, certes pour des missions de présence, mais également, si besoin, pour un engagement armé dans une crise ou un conflit. Or, l'on n'en est pas encore là. La brigade franco-allemande est déployée au Sahel, mais seules ses composantes françaises se battent contre les djihadistes, la partie allemande intervenant dans le cadre d'un mandat de l'Union européenne pour la formation de l'armée malienne ou dans celui de la force onusienne Minusma. Conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Faut-il alors abandonner l'idée d'un porte-avions européen ? Ne pourrait-on conjuguer les besoins de la France et ceux de l'Europe ? Un second porte-avions serait utile à la marine française. Un porte-avions européen signifierait une étape considérable dans l'affirmation militaire de l'Union, qui est en chemin. Pourquoi la France ne partagerait-elle pas un porte-avions ? Pourquoi ne pas engager la construction de deux porte-avions, le premier français, le second franco-européen. Celui-ci naviguerait sous le pavillon national, celui-là naviguerait généralement sous le pavillon européen et arborerait le pavillon français, quand l'autre serait indisponible. Le premier serait financé uniquement par la France, le second le serait à parité par la France et l'Union européenne. Budgétairement, l'opération serait rentable : la France disposerait toujours d'un porte-avions opérationnel pour un coût probablement inférieur à celui d'un b'timent et demi, une série de deux s'avérant à l'unité moins couteuse que la construction d'un seul ; l'Union européenne acquérait, de même, un porte-avions pour un budget inférieur sans doute à la moitié du coût d'un navire isolé. Mettre en œuvre un groupe aérien de qualité Des questions sensibles seraient à résoudre, l'une des premières concernant le groupe aérien. En effet, la puissance d'un porte-avions réside dans sa capacité mettre en œuvre un groupe aérien de qualité. La France est le seul pays européen à utiliser, comme les Etats-Unis, des catapultes. La Grande-Bretagne, l'Espagne et l'Italie déploient des porte-aéronefs avec des avions à décollage court ou vertical, aux capacités moindres. Le groupe aérien, qui réunirait des appareils capables d'apponter sur les nouveaux porte-avions, serait logiquement composé du futur avion de combat européen, dont le projet a été lancé par la France et l'Allemagne, rejointes par l'Espagne. Des évolutions devraient intervenir chez nos amis, soit, comme en Allemagne, pour reconstituer une aviation embarquée, soit, comme en Italie, pour choisir un avion européen. Des décisions significatives seraient nécessaires, mais ces pays, voire d'autres, pourraient vouloir développer une composante aéronavale moderne, dès lors que le coût budgétaire, né de la coopération européenne, serait raisonnable. Rien, techniquement, n'interdirait de créer des flottilles européennes d'avions pouvant apponter sur ces porte-avions. Un autre sujet délicat est celui de l'équipage. Celui-ci rend opérationnel le porte-avions, qui accueille des flottilles d'avions et l'état-major du groupe aéronaval. Il doit être en phase avec son navire. Quand le b'timent franco-européen naviguerait sous pavillon français, son équipage devrait, au besoin, pouvoir être engagé au combat, y compris avec ses membres non français. Développer la participation, étendre le périmètre de discussion S'agissant du groupe aéronaval, d'ores et déjà l'habitude est prise que des navires européens intègrent celui du Charles-de-Gaulle, y compris dans des missions d'engagement armé. Ainsi, chaque fois que ce b'timent a été déployé pour frapper Daech, il a été accompagné par de tels navires (allemand, belge, britannique et italien). L'existence d'un porte-avions européen développerait la participation des marines européennes, en contribuant à leur excellence. L'accord devrait intervenir également sur le système de propulsion, nucléaire ou non, et sur le partage des t'ches entre les industries navales, la France étant la seule, à ce jour, à disposer des compétences pour construire des porte-avions dotés de catapultes. D'autres sujets seraient à traiter, comme le port d'attache, la formation et l'entrainement, la chaîne de commandement... La résolution de certaines questions serait indéniablement délicate, mais possible en présence d'une vraie volonté politique. Cette volonté témoignerait d'un pas nouveau et significatif de l'Europe pour sa défense et de son rayonnement dans le monde. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/pourquoi-pas-un-porte-avions-franco-europeen-831590.html

  • Budget Hikes Bring About Germany’s Military Modernization

    26 décembre 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Budget Hikes Bring About Germany’s Military Modernization

    Germany is taking the first steps toward being a more reliable defense partner. After years of paring down the country's defense budget, sorely impacting capability and equipment availability, Berlin's lawmakers have begun increasing funding to the military, with billions of euros being allocated to new equipment programs. Germany is increasing defense spending by 12% in 2019, enabling investment in new equipment Berlin wants to replace Tornado aircraft by 2030 It has not ... Full article: http://aviationweek.com/defense/budget-hikes-bring-about-germany-s-military-modernization

  • Only 20 defense firms sought $17 billion in COVID loans. Now the Trump administration is weighing a fix.

    1 mai 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Only 20 defense firms sought $17 billion in COVID loans. Now the Trump administration is weighing a fix.

    By: Joe Gould WASHINGTON ― Because fewer than 20 firms sought to apply for $17 billion in federal loans for Defense Department suppliers hurt by the coronavirus pandemic, the Trump administration is weighing how to broaden the eligibility requirements, a top Pentagon official said Thursday. “The challenge is that this $17 billion worth of loans comes with some fairly invasive kind of riders, and I think companies have to think very carefully about whether that makes good business sense for them,” Under Secretary of Defense for Acquisition and Sustainment Ellen Lord said at a Pentagon news conference. Treasury Secretary Steven Mnuchin, whose agency is implementing the loans, is requiring public companies seeking a share of $17 billion in coronavirus-related relief offer an equity stake to the government. “It may not be as interesting as for private companies, so that's one of the differentiators I see,” Lord said. The loans were intended for companies operating top secret facilities and with DX-rated contracts, which means the Pentagon deems them of highest national priority. “I am not sure that companies with DX-rated contracts are the ones that have the most critical needs. They have had a little less than 20 companies reach out to date,” Lord said. The Treasury Department has been in consultation with the Pentagon, and it's been open to ways the loan program could be expanded ― potentially to firms the Pentagon designates, Lord said. “So I'm hoping that early next week, between the Treasury Department and the Department of Defense, we can come back with a little bit more fidelity to the defense industrial base to better identify who might most benefit from this particular money,” Lord said. The agency had set a May 1 deadline for applications. The $17 billion tranche in the CARES Act for COVID-19 relief was widely assumed to be targeted at Boeing, which is a prime defense contractor and had indicated that it might seek assistance. However, U.S. lawmakers have said the loans are intended to span the defense supply chain, said Andrew Hunter, director of the Center for Strategic and International Studies's Defense-Industrial Initiatives Group. “I would just say the requirements under that program are pretty strict that," he said. "You have to be really in desperate need for financing and have no access to other forms of financing, you have to accept a lot of limits on how the business operates: [on] share buybacks, dividends, executive compensation. And so it's really been designed and set up as a lender of last resort to firms that really need that assistance.” https://www.defensenews.com/congress/2020/04/30/only-20-defense-firms-sought-17-billion-in-covid-loans-now-the-trump-administration-is-weighing-a-fix/

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