23 avril 2018 | Local, Naval

Le gouvernement du Canada annonce l’attribution d’un contrat à Cellula Robotics Ltée pour la recherche et le développement à l’appui de la surveillance sous-marine dans l’Arctique

Communiqué de presse

De : Défense nationale

Le 6 avril 2018 – Ottawa (Ontario) – Défense nationale/Forces armées canadiennes

Dans la politique de défense du Canada, Protection, Sécurité, Engagement, le ministère de la Défense nationale (MDN) s'engage à mettre l'accent sur la recherche et le développement en matière de défense afin de trouver des solutions novatrices aux problèmes de surveillance dans le Nord, y compris les secteurs prioritaires du renseignement, de la surveillance et de la reconnaissance dans l'Arctique.

Le Gouvernement du Canada a attribué un contrat à Cellula Robotics ltée pour la mise au point d'une pile à combustible qui améliorera la capacité des véhicules sous-marins autonomes de stocker suffisamment d'énergie pour entreprendre des missions lointaines et de longue durée. Ce contrat, d'une valeur totale de près de 648 000 $, est attribué dans le cadre de l'appel de propositions d'innovation 2016 pour le programme de sciences et technologie (S & T) sur la connaissance de la situation dans tous les domaines (CSTD).

Les solutions de surveillance appuient la capacité du gouvernement du Canada d'exercer sa souveraineté dans le Nord et sensibilisent davantage aux enjeux en matière de sécurité, ainsi qu'aux activités commerciales et de transport dans l'Arctique canadien. De plus, des solutions peuvent contribuer aux efforts conjoints du Canada et des États-Unis pour renouveler le Système d'alerte du Nord et moderniser des éléments du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD).

Gr'ce à un investissement de près de 133 millions de dollars jusqu'en 2020, les responsables du programme de S & T sur la CSTD coordonnent et financent des recherches et des analyses novatrices pour appuyer l'élaboration d'options visant à améliorer la connaissance du domaine des approches aériennes, maritimes et sous-marines du Canada, en particulier dans l'Arctique

Citations

« Afin de relever les défis canadiens, nous devons explorer des solutions novatrices canadiennes, surtout compte tenu de l'étendue du littoral de l'Arctique. Nos établissements d'enseignement et notre industrie de l'innovation comptent parmi les meilleurs au monde, et nous sommes fiers de travailler avec eux pour traiter des questions de surveillance particulièrement complexes concernant l'Arctique. »

Ministre de la Défense Harjit S. Saijan

« Notre gouvernement s'est engagé à fournir aux militaires des Forces armées canadiennes les outils dont ils ont besoin pour réaliser leur travail, tout en assurant le meilleur rapport qualité-prix possible pour les Canadiennes et les Canadiens. Ces contrats feront appel à l'expertise canadienne pour élaborer des technologies de surveillance de pointe pour l'Arctique. »

Ministre des Services publics et Approvisionnement, l'honorable Carla Qualtrough

Faits en bref

  • La CSTD est un programme dirigé par le MDN, qui vise à tirer parti de l'expertise scientifique et technologique innovatrice d'autres ministères, du milieu universitaire, de l'industrie et des alliés, afin d'identifier, d'évaluer et de valider les technologies à l'appui de la surveillance aérienne et maritime, en particulier dans le Nord.

  • Recherche et développement pour la défense Canada (RDDC), l'organisation de la Défense nationale spécialisant en sciences et technologie, est le chef de file national en S & T. Cette organisation fournit à la communauté de S & T pour la défense, aux Forces armées canadiennes et à d'autres ministères, ainsi qu'aux groupes de sécurité publique, les connaissances et la technologie nécessaires pour défendre et protéger les intérêts du Canada au pays et à l'étranger.

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Personnes-ressources

Relations avec les médias
Ministère de la Défense nationale
Téléphone : 613-996-2353
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Pour plus de renseignements, visitez le www.drdc-rddc.gc.ca

https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2018/04/le-gouvernement-du-canada-annonce-lattribution-dun-contrat-a-cellula-robotics-ltee-pour-la-recherche-et-le-developpement-a-lappui-de-la-surveillanc0.html

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    BY KEVIN M. BAERSON After years of experimentation and analysis, the government of Canada has procured a new Hermes 900 StarLiner from Israeli UAV manufacturer Elbit Systems that can withstand and patrol its massive, inhospitable Arctic territory. Extreme weather with high winds and low temperatures, limited and unreliable satellite communication and navigation, and continuous darkness during the winter months make controlling UAVs in the Arctic especially challenging. Combined with a lack of ground infrastructure, both line of sight and satellite control of a UAV can become nearly impossible. The hope is that the Starliner can conquer these harsh Arctic conditions. This version of Elbit's Medium Altitude Long Endurance (MALE) military UAV is fully certified to operate in civilian airspace and will take off from and land on civilian airfields. It will perform myriad operations to reduce harmful environmental impacts, including detection of oil pollution and wildlife surveying, as well as ice patrol and reconnaissance. It will also support search and rescue, humanitarian efforts and illegal fishing enforcement, and will aid the development and regulation of Canada's drone industry. The $36.16 million contract includes communication links, ground control stations, sensor packages, training and the optional purchase of spare parts. The Starliner is expected to be delivered by December 2022, but procurement has been years in the making. Arctic Takeoff In 2017, Canadian officials began research and development test flights using a Sea Hunter drone produced by Alabama-based Griffon Aerospace. The data collected, including BVLOS results, contributed to developing requirements for the eventual Hermes purchase. Timothy Choi, a maritime strategy expert and Fellow at the Canadian Global Affairs Institute, has said the Canadian government had limited options in its search for a proven maritime drone with Arctic capabilities. “Large maritime surveillance drones—that is, ones equipped with downward-looking radar and AIS [automatic identification system] receivers to detect shipping—have not been as prevalent in the global drone market as their land-centric counterparts,” Choi told the website Eye On The Arctic. “Of these, there are even fewer that have been tested in Arctic conditions.” The model Canada is acquiring has been undergoing operational trials in Iceland via the European Maritime Safety Agency since summer 2019. At 1.6 tons, the StarLiner includes detect and avoid (DAA) systems, redundant datalinks and an advanced terrain avoidance warning system. Its ability to automatically take off and land in near-zero visibility, and to sustain deicing procedures and direct lightning strikes, makes it ideal for the Arctic's extreme weather challenges. According to Canadian officials, the new UAV can operate at up to 72 degrees north latitude and has a range of more than 1,400 nautical miles. It comes equipped with back-up command and control and navigation systems, electrical optical infrared camera, synthetic aperture radar and a mapping camera system. For now, the majority of Canada's Arctic surveillance data will continue to come from RADARSAT, the country's remote sensing earth observation satellite program. But while the satellites can detect emergencies such as an oil spill, their brief visits over the Arctic make it difficult to identify causes and consequences. The same is true for identifying nefarious activities such as illegal dumping and unpermitted fishing. “The ability of a drone to loiter for long periods of time with higher resolution sensors will help fill this gap,” Choi explained. “Operationally, the new drone will greatly help ‘connect the dots' when it comes to surveilling Arctic waters and enforcing Canadian regulations.” Drone Diplomacy While this Hermes version will be used in civilian missions, its acquisition is just one part of Canada's Arctic Unmanned Aircraft System Initiative, and it will join the country's National Aerial Surveillance Program's manned aircraft fleet. With 75% of Canada's coastline and 55% of its landmass located in the Arctic, Canada and its main regional rival, Russia, potentially contest for resources and the new shipping routes being created by global warming. Russia is deploying a fleet of dual-use extreme-weather UAVs featuring a GIRSAM alternative navigation system. China, which is talking about a “Polar Silk Road,” also is developing dual-use UAVs optimized for Arctic conditions. “Canada is committed to protecting our endangered species and our marine environment,” Canadian Transport Minister Marc Garneau said in a statement. “Integrating remotely piloted aircraft into Transport Canada's fleet will make federal surveillance operations more robust than ever.” https://insideunmannedsystems.com/canadas-new-drone-can-better-surveil-its-challenging-arctic-environment/

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    Communiqué de presse De Défense nationale Des membres du Commandement des Forces d'opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN) déchargent de nouveaux véhicules de combat ultralégers (VCUL) à Petawawa (Ontario), le 23 janvier 2018. La réception des véhicules continuera jusqu'en avril 2018. Photo: Services d'imagerie du ROSC ©2018 DND/MDN Le 25 janvier 2018 – Ottawa – Défense nationale/Forces armées canadiennes Dans le cadre de la politique de défense, Protection, Sécurité, Engagement, le gouvernement du Canada s'est engagé à s'assurer que les femmes et hommes des Forces armées canadiennes (FAC) reçoivent le soutien et le matériel dont ils ont besoin pour mener à bien leurs importantes missions. Le Commandement – Forces d'opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN) a accepté la livraison de son premier véhicule de combat ultraléger (VCUL). Ces véhicules, obtenus de l'entreprise Polaris Industries Limited, aideront à protéger les membres des Forces d'opérations spéciales du Canada alors qu'ils mènent des missions dans des environnements difficiles. Les véhicules leur fourniront un transport mobile rapide sur des terrains exigeants, et ont été spécifiquement configurés pour appuyer les déploiements rapides par la plupart des aéronefs de l'Aviation royale canadienne, surtout l'hélicoptère CH-147F Chinook. Cet achat, réalisé en respectant le calendrier et le budget, aidera à s'assurer que les opérations des forces spéciales possèdent les outils dont ils ont besoin pour continuer d'avoir du succès sur le terrain pour des années à venir. Multimédia supplémentaire Des membres du Commandement des Forces d'opérations spéciales du Canada (COMFOSCAN) déchargent un nouveau véhicule de combat ultraléger (VCUL) à Petawawa (Ontario), le 23 janvier 2018. L'initiative d'approvisionnement des VCUL aidera à s'assurer que les opérateurs des forces spéciales possèdent les outils dont ils ont besoin pour maintenir leur supériorité sur le terrain pour des années à venir. Photo: Services d'imagerie du ROSC ©2018 DND/MDN Les nouveaux véhicules de combat ultralégers (VCUL) sont entreposés à Petawawa (Ontario), après leur livraison. Obtenus de Polaris Indjustry Limited, 62 VCUL en tout ont été achetés pour environ 23 millions de dollars. Photo: Services d'imagerie du ROSC ©2018 DND/MDN Citations « Les femmes et hommes de nos Forces d'opérations spéciales méritent le meilleur matériel pour réaliser le travail qui leur est demandé. Nous sommes fiers d'eux, et gr'ce à la politique Protection, Sécurité, Engagement, notre gouvernement continuera à investir dans notre ressource la plus importante : notre personnel. » - Ministre de la Défense Harjit S. Sajjan « L'acquisition du VCUL est une étape importante en mobilité légère pour les hommes et femmes du COMFOSCAN. Cette plateforme servira de complément unique à notre arsenal existant en matière de mobilité et aidera au COMFOSCAN dans l'exécution d'effets de forces spéciales agiles pour des années à venir. » - Major-général Mike Rouleau, commandant du Commandement – Forces d'opérations spéciales du Canada Faits en bref Au mois de décembre 2016, le gouvernement du Canada a annoncé qu'un contrat d'une valeur d'environ 20,6 millions de dollars avait été octroyé à l'entreprise Polaris Industries Limited pour l'obtention de 52 VCUL, avec l'option d'obtenir 26 véhicules supplémentaires sur une période de deux ans pour un coût supplémentaire. Au mois de juillet 2017, le COMFOSCAN a exercé l'option d'obtenir 10 VCUL supplémentaires, portant le nombre total de VCUL dans le cadre de ce marché à 62, et la valeur du contrat à environ 23 millions de dollars. Les VCUL sont livrés comme prévu, en respectant le budget. La livraison de ces véhicules se continuera jusqu'au mois d'avril 2018. Le contrat avec l'entreprise Polaris Industries Limited comprend des services de soutien technique et du soutien logistique intégré pour une période de deux ans. Cela inclut tout, des publications et manuels aux pièces de rechange et à la formation des conducteurs. https://www.canada.ca/fr/ministere-defense-nationale/nouvelles/2018/01/le_comfoscan_recoitsonpremiervehiculedecombatultralegervcul.html

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    Thanatologie forensique: Apport de cerveaux au Québec

    Une experte médico-légale de premier plan obtient une chaire de recherche Canada 150 à l'Université du Québec à Trois-Rivières Le 26 octobre 2018 — Trois-Rivières (Québec) Le Canada est une destination de premier choix pour certains des plus grands scientifiques et universitaires du monde entier. Pour faire du Canada un pays audacieux et innovateur, nous devons tirer profit des percées des scientifiques canadiens et de leurs homologues du monde entier. Aujourd'hui, le ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable François-Philippe Champagne, au nom de la ministre des Sciences et des Sports, l'honorable Kirsty Duncan, était à l'Université du Québec à Trois-Rivières pour souligner l'attribution d'une chaire de recherche Canada 150 en thanatologie forensique à Mme Shari Louise Forbes. Mme Forbes, qui travaillait auparavant à l'Australian Facility for Taphonomic Experimental Research, mènera des recherches sur les changements qui surviennent dans le corps après la mort pour étudier l'incidence de l'environnement unique du Canada sur les taux de décomposition. Ses travaux de recherche médico-légale amélioreront la collecte, l'identification et le rapatriement des restes humains lors des enquêtes sur des personnes disparues, des cas d'homicides et des victimes de catastrophes de grande ampleur et de crimes de guerre. Mme Forbes est l'une des 25 nouvelles recrues du Programme des chaires de recherche Canada 150 qui ont fait l'objet d'une annonce par la ministre Duncanplus tôt cette année. Des 25 titulaires, 60 % sont des femmes et 40 % sont des chercheurs canadiens qui ont choisi de revenir au Canada pour mener à bien leurs ambitieux programmes de recherche. Chaque titulaire de chaire pourra recruter des étudiants au Canada et ailleurs pour l'aider dans ses travaux dans des disciplines comme la chimie, la microbiologie, la génomique de l'évolution et la psychologie. Le gouvernement du Canada a fait de la science une priorité en investissant 4 milliards de dollars dans la recherche fondamentale dans le budget de 2018 pour renforcer notre capacité d'innover et d'être des chefs de file en matière d'emplois de l'avenir. Citations « Le Canada appuie la science et nos scientifiques qui travaillent vraiment fort pour faire du Canada un chef de file en matière de recherche et d'innovation. Les travaux de Mme Forbes rehausseront encore plus la réputation de premier plan qu'a le Québec à l'échelle internationale dans le domaine de la recherche médico-légale spécialisée et aideront les policiers à identifier les restes des personnes qui sont mortes à la suite de crimes ou lors de catastrophes de grande envergure. » — Le ministre de l'Infrastructure et des Collectivités, l'honorable François-Philippe Champagne « C'est un privilège de célébrer nos nouveaux titulaires de chaires de recherche Canada 150, dont les contributions à la recherche rendront l'économie plus florissante et la classe moyenne plus forte. Leur arrivée représente par ailleurs un apport de cerveaux pour notre pays, un pays dont la réputation n'est plus à faire pour ce qui est de l'ouverture, de la diversité et du bon accueil qu'il réserve aux scientifiques et aux chercheurs passionnés de partout dans le monde. » — La ministre des Sciences et des Sports, l'honorable Kirsty Duncan « Nous croyons que le Canada est vraiment l'un des meilleurs endroits au monde où mener des recherches d'avant-garde et innovatrices, où l'ingéniosité et la créativité humaines sont mises à contribution pour nous faire progresser dans l'atteinte de nos objectifs communs. Les titulaires de chaires de recherche Canada 150 sont la preuve que le Canada réussit à attirer les chercheurs les plus talentueux au monde. Nous sommes fiers qu'ils aient choisi de poursuivre leurs travaux novateurs dans notre pays, et d'encadrer et de former les étudiants universitaires et des chercheurs postdoctoraux qui formeront la prochaine génération de leaders dans tous les domaines de l'économie et de la société. » — Le président du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, Ted Hewitt « Nous sommes très fiers de l'obtention de cette prestigieuse chaire de recherche Canada 150. Seulement 25 chaires de ce type ont été attribuées au Canada, dont 4 au Québec, afin de souligner le 150e anniversaire du pays. Nous nous réjouissons également que la professeure Shari Forbes, de réputation internationale, ait choisi de poursuivre ses travaux à l'UQTR. Notre université continuera ainsi d'accroître sa renommée en criminalistique, tout en développant de nouvelles collaborations, ici et à l'étranger. En plus de former la relève en criminalistique, l'équipe de la Chaire contribuera certainement au succès des enquêtes policières. » — Le recteur de l'Université du Québec à Trois-Rivières, Daniel McMahon Faits en bref Dans le budget de 2017, le gouvernement du Canada a investi 117,6 millions de dollars pour lancer un concours visant à doter les chaires de recherche Canada 150. Il s'agit d'un programme de financement ponctuel destiné à favoriser l'afflux de cerveaux au Canada. Le financement des chaires de recherche Canada 150 provient des trois organismes subventionnaires : le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, et les Instituts de recherche en santé du Canada. Les chaires sont attribuées pour une période de sept ans et reçoivent 350 000 $ par année ou 1 million de dollars par année, selon le type de recherche. La Fondation canadienne pour l'innovation fournit un investissement additionnel de plus de 830 000 $ pour appuyer les chaires de recherche Canada 150. L'investissement dans le Programme des chaires de recherche Canada 150 s'inscrit dans le soutien global du gouvernement à la science, ce qui inclut plus de 4 milliards de dollars pour la science fondamentale. Liens connexes Programme des chaires de recherche Canada 150 Titulaires de chaire de recherche Canada 150 Université du Québec à Trois-Rivières Personnes-ressources Suivez les titulaires des chaires de recherche Canada sur Twitter : @CRC_CRC Nyree St-Denis Conseillère en communications Cabinet de la ministre des Sciences et des Sports 343-291-4051 nyree.st-denis@canada.ca Relations avec les médias Innovation, Sciences et Développement économique Canada 343-291-1777 ic.mediarelations-mediasrelations.ic@canada.ca Ann-Clara Vaillancourt Attachée de presse Cabinet du ministre de l'Infrastructure et des Collectivités 613-697-3778 ann-clara.vaillancourt@canada.ca https://www.canada.ca/fr/innovation-sciences-developpement-economique/nouvelles/2018/10/apport-de-cerveaux-au-quebec.html

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