10 janvier 2024 | International, Terrestre, Sécurité
29 octobre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
Chaque année, les revenus liés au ministère des Armées alimentant les territoires s'élèvent à 50 Md€ environ. Ils découlent de plusieurs dynamiques qui, dans certaines régions, se cumulent pour aboutir à des systèmes locaux liés à la défense, selon l'observatoire économique de la Défense (OED). Ces retombées ne sont néanmoins pas réparties de manière équivalente sur le territoire français. Ainsi, l'Ile-de-France (32%), la Nouvelle Aquitaine (13%) et la région PACA (10%) concentrent à elles seules 53% des revenus. Les retombées en Outre-mer sont également importantes, tout comme à l'étranger, la France disposant de bases militaires dans d'autres pays. Outre les trois régions métropolitaines citées, la Bretagne et la Nouvelle Aquitaine sont également des espaces intéressants pour la défense avec la présence de ports (Brest) ou d'espaces de manœuvre et d'essais de matériels de guerre. Selon l'étude, il existe logiquement une certaine proximité géographique entre les industriels (base productive) et les emprises militaires (base publique), une proximité institutionnelle (parcours professionnels proches entre ingénieurs, techniciens et militaires) et une proximité technique entre les industriels et les personnels militaires, utilisateurs et testeurs.
Sud-Ouest du 25 octobre
10 janvier 2024 | International, Terrestre, Sécurité
23 novembre 2020 | International, Aérospatial, Naval
20/11/2020 08:45 | Jean-Marc Tanguy Reconditionnés par Héli-Union, les trois premiers Airbus Dauphin N3 rejoindront la base d'aéronautique navale de Hyères, première équipée. Reconditionnés par Héli-Union Ces Airbus Dauphin N3 sont reconditionnés par Héli-Union en France, en Norvège (deux appareils actuellement) et chez Hélidax dans les Landes. Le reste sera ensuite livré à la cadence de trois appareils par an en métropole (Lanvéoc) et outremer (Antilles, Réunion, Nouvelle-Calédonie, Polynésie). Le contrat de location FLIHPER (pour FLotte Intérimaire HélicoPtères EmbaRqués), couvrant dix ans d'exploitation, inclut un objectif de disponibilité extrêmement élevé (supérieur à 90%) que l'industriel dit pouvoir tenir gr'ce à sa connaissance de l'exploitation de l'offshore. Pas forcément simple avec des configurations différentes, dont certaines très complètes (pilote automatique 4 axes, boule optronique Euroflir 410). MCO partagée Des lots de déploiement sont prévus en ce sens, et Héli-Union interviendra dans le Pacifique pour assurer les visites périodiques de maintenance. Ailleurs, et notamment sur les navires d'emploi de ces appareils, la Marine assurera la maintenance en ligne. Environ 300 heures de vol seront générées par chaque appareil par an. Le contrat couvre aussi la formation initiale des pilotes et mécaniciens. Des QT de navigants ont aussi été assurées par la société dans son centre d'Angoulême. Ce sont des navigants de la Marine qui se chargeront du convoyage. En attendant l'Airbus Guépard A l'issue des dix ans, la Marine disposera de suffisamment d'Airbus Guépard pour pouvoir se passer de ces appareils. Une prolongation sera toujours possible si ce n'est pas le cas. Avec cette location, Héli-Union reconvertit ainsi son parc de Dauphin auparavant utilisés dans l'offshore (à l'exclusion d'un unique appareil), une belle martingale d'avoir réussi à faire d'un passif inutilisé par la crise de l'exploitation pétrolière une flotte de location au profit des Armées. Un exploit également réussi pour les trois H225 destinés à DGA EV. https://www.air-cosmos.com/article/la-marine-recevra-ses-trois-premiers-airbus-dauphin-n3-le-1er-dcembre-23880
11 décembre 2020 | International, Aérospatial
Matthew Jouppi Craig Caffrey https://aviationweek.com/aerospace-defense-2021/defense-space/military-aircraft-competitions-worldwide