9 août 2023 | International, Naval
Navy extends service lives of four more destroyers
Each warship will now serve 40 years instead of the expected 35.
12 juin 2019 | International, Aérospatial, Sécurité
By SCOTT TURNER
(Tribune News Service) — The U.S. Air Force has begun construction on a facility at Kirtland Air Force Base that will play a major role in defending the nation from attacks by other countries on U.S. satellites.
The Air Force Research Laboratory's 26,000 square-foot, $12.8 million Space Control Laboratory will consolidate efforts now being conducted in six different facilities on the base.
"Space is now a war-fighting domain," said Air Force Col. Eric Felt, director of the Space Vehicles Directorate at the base. "That doesn't mean we want war in space. We certainly don't. It doesn't mean we have to have war in space. ... If our adversaries attempt to counter us in that domain, we need to have the capabilities and the tools for our nation to counter that."
At a groundbreaking ceremony at the base on Thursday, Felt said the new facility will help in that effort. He said the building will be a major addition to AFRL's research in advancing in "space situational awareness, command and control of space systems and the survivability of space assets."
"This is a space control technology building," he said. "Space control starts with space domain awareness, making sure we know everything that is going on in space. From there, it goes to making sure we can protect ourselves in space, protect our assets that are up in space. "All the basic components that we need to do for that part of the mission is going to be developed here. The next generation cutting edge capabilities that our nation needs are going to be developed here. And if we do need to perform offensive operations in space, we will be working on those components as well."
Brian Engberg, the chief of the space control technologies branch of AFRL's Spacecraft Components Division said researchers in the facility would be determining what satellites were doing.
He also said researchers would not only be addressing threats from other countries, but "threats from the space environment itself."
Work at the facility will also include the development of satellite technology.
"Every satellite that we have up there needs to be resilient," Felt said. "It needs to be there when we need it. If we happen to be in a conflict with a peer competitor, our satellites have to have the defense capabilities when we need them the most."
The facility will include office and lab space for 65 civilian and military contractors. It will contain a 5,000 square-foot high-bay laboratory space and more than 5,000 square feet of secure office, laboratory and meeting space.
Enberg said scientists and researchers had input on the design, "making sure that everything going into this building will be exactly what we need in order to accomplish our mission, and integrate our people and our ideas better in an innovative environment in order to support our war-fighter mission."
"We're looking forward to having a sufficient amount of space in order to collaborate with our industrial partners and our partners in government," he said. "We have many, many projects we are working on. This facility will be a great step forward."
AFRL principal technical adviser Michael Gallegos helped lead the effort to bring the facility to Kirtland, an effort he said began about two decades ago.
"It's a new state of the art facility that will equip our workforce with secure labs, secure conference space and all of the required lab support space that it needs," he said.
Construction of the facility is expected to be completed in December 2020. The contractor for the project is KL House Construction Co.
"This was envisioned 20 years ago, back before anybody thought of space as a war-fighting domain, back when space control was just a side project," Felt said. "There were visionary folks who saw our nation was going to need this, that our labs were going to need this."
https://www.stripes.com/news/us/kirtland-air-force-base-gets-space-defense-upgrades-1.585666
9 août 2023 | International, Naval
Each warship will now serve 40 years instead of the expected 35.
10 décembre 2019 | International, Aérospatial
Le Rafale, l'Eurofighter, le F-35A ou le F/A-18 Super Hornet: quel nouvel avion de combat la Suisse choisira-t-elle? La décision sera politique. Mais ce choix n'est pas qu'une question de technologie. L'enjeu est aussi diplomatique. Les 26 vieux Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée suisse arriveront à la fin de leur durée d'utilisation au plus tard vers 2030. Après le retrait du suédois Saab, constructeur du Gripen, il ne reste plus que quatre constructeurs en lice pour les remplacer: le français Dassault (Rafale), l'européen Airbus (Eurofighter) et les américains Boeing (F/A-18 Super Hornet) et Lockheed-Martin (F-35A). Les quatre jets ont été évalués entre avril et juin sur la base aérienne de Payerne (VD). Objectif: tester leurs capacités en conditions réelles. Au terme de l'appel d'offres, le Département fédéral de la défense effectuera une recommandation fondée sur l'efficacité opérationnelle, mais aussi sur d'autres critères comme les coûts d'achat et d'exploitation. La décision finale reviendra au Conseil fédéral. Quel avion pour quel partenaire? La compétition entre les quatre candidats se jouera sur les capacités de l'appareil mais aussi sur les contreparties industrielles - les affaires compensatoires - exigées par la Suisse. Moins visible, il existe aussi un autre enjeu, plus diplomatique. Pour le comprendre, la RTS s'est rendue dans la capitale française. Le ministère français des Armées, qui chapeaute l'offre pour le Rafale, lui a exceptionnellement ouvert ses portes. La France, cinquième puissance militaire mondiale, n'exporte pas ses armes comme elle exporte ses voitures, explique Thierry Carlier, chargé du dossier côté français. "Qu'un pays ami acquiert un système qui est le même que celui de la France permet de développer des partenariats très importants. C'est pour ça que notre offre dépasse largement la question du Rafale", affirme-t-il. Pour le directeur du développement international de la Direction générale de l'armement (DGA), cette notion de partenariat est importante. Acheter un avion français permettrait de créer des opportunités au niveau technologique, avec des échanges, mais également sur un plan plus opérationnel: réalisation d'exercices communs, utilisation par la Suisse de terrains d'entraînement français, développement des missions de police du ciel existantes, partage d'expériences, etc. "Europe de la défense" La France n'est pas la seule à vouloir séduire la Suisse avec un partenariat. C'est aussi le cas de l'Allemagne, qui vend l'Eurofighter, fabriqué par Airbus. Acheter cet avion, c'est s'allier davantage à l'Allemagne, comme le relevait ce printemps le lieutenant-colonel de l'armée de l'air allemande Ingo Stüer lors de la présentation de l'Eurofighter à Payerne. "Je pense que les défis pour les armées de l'air en Europe sont tous les mêmes, affirmait-il. Pour l'armée de l'air allemande, c'est important d'être interopérable avec nos alliés, afin d'être capable d'agir ensemble s'il le faut. C'est pourquoi nous cherchons une coopération très étroite avec l'armée de l'air suisse." La France et l'Allemagne, avec leurs offres, proposent aussi à la Suisse "l'Europe de la défense", une certaine vision d'une Europe géographique souveraine défendue par Emmanuel Macron. "Je pense qu'il y a une cohérence des Européens à s'équiper en européen. Je défends beaucoup cette idée", expliquait en juin dernier le président français à la RTS. L'argument économique Si cette "Europe de la défense" n'intéresse pas la Suisse, il reste les deux chasseurs américains. Lors des essais du F/A-18 Super Hornet et du F-35A à Payerne, l'ambassadeur des Etats-Unis en Suisse Edward McMullen adoptait d'ailleurs des arguments différents de ses concurrents européens. Un style diplomatique davantage porté sur les enjeux économiques. "Lorsqu'on parle de développement économique et d'opportunités de marchés, il s'agit d'un partenariat. Nous sommes conscients que la Suisse est neutre et il n'y a aucune alliance avec elle", explique-t-il. Un vote sur le principe, pas sur l'avion L'Europe ou les Etats-Unis? Pour quel partenariat? Le Conseil fédéral se réserve ce choix. Sur ce point, le peuple n'aura pas son mot à dire. Il ne votera que sur l'enveloppe de six milliards de francs destinée à l'acquisition des nouveaux avions de combat sans connaître le nom de son futur partenaire. La votation devrait intervenir à l'automne 2020. https://www.rts.ch/info/suisse/10922471-l-achat-d-un-nouvel-avion-de-combat-un-choix-militaire-et-diplomatique.html
15 juillet 2022 | International, Aérospatial, Naval
A Rafael official told Defense News the missile is nearing full-scale development and that the company has spoke with customers on three different continents regarding potential contracts.