18 octobre 2021 | International, Aérospatial

KC-46 gets new refueling approvals for TRANSCOM missions

The Pegasus can now take on more missions the Air Force otherwise would have had to hand off to the KC-135 Stratotanker and KC-10 Extender, and lessen the burden on those older tankers.

https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/2021/10/15/kc-46-gets-new-refueling-approvals-for-transcom-missions/

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    Italy says it will be equal partner in jet fighter project with UK, Japan | Reuters

    Italy said on Saturday it will be an equal partner in the next-generation fighter program with Britain and Japan, as further talks are still underway on the project, including on where to base its headquarters.

  • UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    5 mars 2019 | International, Aérospatial, Naval, C4ISR

    UN GROUPEMENT INDUSTRIEL MENÉ PAR AIRBUS DÉCROCHE UN CONTRAT DE 150 MILLIONS AUPRÈS DE LA DGA

    (AOF) - La Direction générale de l'armement (DGA) vient de confier à un groupement industriel mené par Airbus et composé de Naval Group et Rohde & Schwarz, le contrat RIFAN 2.1. Ce contrat a été signé pour une durée maximale de 8 ans et un montant maximum de 150 millions d'euros. Le contrat consiste à maintenir et adapter l'actuel Réseau IP de la Force Aéronavale étape 2 (RIFAN 2) aux besoins de la Marine nationale dans les années à venir, à y intégrer de nouveaux b'timents et à traiter les obsolescences des matériels et logiciels. Il permettra ainsi d'intégrer dans le réseau RIFAN 2 les frégates de défense et d'intervention (FDI), futures frégates de premier rang de la Marine nationale, ainsi que les futurs pétroliers-ravitailleurs du programme BRF (b'timent ravitailleur de forces). Les adaptations du réseau porteront tant sur son architecture centrale que sur la mise à jour du système de surveillance et de détection des incidents de cyber-sécurité. 63 b'timents sont équipés du réseau RIFAN 2 : du porte-avions et frégates aux b'timents de soutien et patrouilleurs basés outre-mer, ainsi que des sous-marins. Le programme vise à doter la force navale française, d'un véritable réseau sécurisé à haut-débit. Il est conçu pour échanger entre les navires à la mer et les centres de commandement à terre, des données de différents niveaux de classification allant de " non protégé " jusqu'aux niveaux " secret ". Le réseau permet de transmettre aussi bien les données issues des applications spécifiques à la conduite des opérations aéronavales que celles dédiées à la gestion quotidienne et logistique de la vie à bord, comme celles des systèmes d'information des états-majors de thé'tre embarqués pour la durée d'une opération. RIFAN 2 comprend également une capacité de gestion globale du réseau et de surveillance des incidents de cyber-sécurité. Cette supervision s'exerce à la fois depuis un centre de gestion et de contrôle à terre, que localement à bord des navires, conférant ainsi une certaine autonomie aux équipages afin d'assurer le meilleur emploi du réseau en fonction de la situation opérationnelle. AOF - EN SAVOIR PLUS Les points forts de la valeur - Numéro un européen et numéro deux mondial de l'industrie aéronautique, spatiale et de défense, né de la fusion en 2000 du français Aerospatiale Matra, de l'espagnol Casa et de l'allemand Dasa ; - Activité de 67 Mds€ répartie entre l'aéronautique civile avec Airbus pour 75 %, défense & espace pour 16 % et Airbus Helicopters pour 9 % ; - Excellente visibilité pour un secteur en croissance annuelle de 3 %, bénéficiant de fortes barrières à l'entrée et d'un bon « pricing power » ; - Famille d'avions civils la plus complète du marché, de l'A380 et l'A350 (long-courrier) à l'A330 (15 heures de vol) et l'A320 (10 heures) et numéro un mondial des hélicoptères (47 % du marché civil en termes de livraisons) ; - Carnet de commandes record de 997 Mds€, donnant une visibilité de près de 15 ans de chiffre d'affaires, provenant de l'Asie-Pacifique (29 %), d'Europe (22 %), d'Amérique du nord (20 %), du Proche-Orient (12 %) et d'Amérique latine (7 %) ; - Acquisition sans sortie de cash de 50,01% de C-Series, programme de l'avionneur canadien Bombardier, qui renforce la position d'Airbus Group face à Boeing ; - Trésorerie importante alimentée par les avances sur commandes et retour à un flux de trésorerie élevé, gr'ce à une bonne maîtrise des besoins en fonds de roulement ; - Vers une hausse du taux de distribution aux actionnaires. Les points faibles de la valeur - Retards de livraisons pesant sur l'autofinancement ; - Incertitudes judiciaires avec risques de pénalités entre 1 et 6 MdsE ; - Ralentissement des cadences des programmes A380 et A400M ; - Forte concurrence à venir dans le spatial de la part de Space X. Comment suivre la valeur - Performances étroitement liées à la santé des compagnies aériennes ; - Sensibilité aux parités de change, 60 % des ventes étant facturées en dollars américains pour une base de coûts majoritairement en euros ; - Poursuite du plan « Vision 2020 », initié en 2009 et visant à un équilibre entre l'aviation commerciale et les autres activités, à un doublement à 25 % de la part des services dans le chiffre d'affaires, à un renforcement à l'international avec 40 % des approvisionnements hors Europe ; - Capacité à redresser le programme C-Series et, dans les usines européennes, à diminuer le nombre d'avions retenus au sol pour problèmes techniques ; - Confirmation de l'accélération du rythme de livraison des A320neo ; - Après l'autorisation des autorités européennes pour l'A330-900, attente de celle des autorités américaines ; - Capital réparti depuis juin 2013 entre l'Etat français (11, % via la Sogepa), l'état allemand (11,1 % via GZbv) et l'état espagnol (4, % via SEPI), réunis par un pacte d'actionnaires. Aéronautique - Défense Le secteur aéronautique est soumis à une profonde mutation. A la recherche de relais de croissance et d'une amélioration de leur rentabilité, les acteurs ne se concentrent plus seulement sur leur cœur de métier (design et assemblage des avions) mais se tournent également vers les services. Ces derniers recouvrent aussi bien le service après-vente (maintenance et réparation des appareils) que la transformation d'avions de ligne en avions-cargos, ou la formation des équipages et des mécaniciens, l'aménagement des cabines et l'optimisation des appareils. Cette évolution amène les avionneurs à revoir complètement la conception de leur métier : ils ne livrent plus un produit mais un usage. Selon Boeing, le chiffre d'affaires des services à l'aviation commerciale pourrait ainsi dépasser celui des avions neufs pour atteindre 8.800 milliards de dollars d'ici à 2037. https://www.capital.fr/entreprises-marches/un-groupement-industriel-mene-par-airbus-decroche-un-contrat-de-150-millions-aupres-de-la-dga-1330006

  • Pentagon R&D boss: The challenge of our time

    2 décembre 2019 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Pentagon R&D boss: The challenge of our time

    By: Mike Griffin Nov. 9 marked the 30th anniversary of the fall of the Berlin Wall, an event followed within a couple of years by the reunification of Germany, the dissolution of the Soviet Union and the freeing of the Eastern European vassal states. Francis Fukuyama thought we had reached “the end of history,” that global great power conflict was at its end and that the ascendancy of the Western liberal concept was the permanent future. “We won the Cold War” — it says so in all the history books. Winning is great, except for the part where the losers retreat, rethink, retrain and try again; while the winner thinks the race is won once and for all — which is why the United States now finds itself running from behind in certain aspects of today's great power rivalry. How did we get here, and what should we do about it? It turned out that Fukuyama was optimistic; Russia and China never accepted Western ideals as future standards. Their adherence to and promulgation of authoritarian values and behaviors was, at most, slowed by the ascendancy of the Western alliance after World War II. Russia's resurgence and China's rise offer the sobering reminder that individual freedom, property rights, free trade in open markets, transparency and accountability in government, the rule of law, and the sovereignty of nations are not universally accepted as foundational principles for human society. They are privileges to be purchased by every generation, at a high price in blood and treasure. Where possible, the United States has paid with treasure rather than with blood. This principle guided our Cold War policies. Knowing that we could not outnumber our adversaries, we invested to prevail technologically and sustained that discipline through eight presidential administrations. President Ronald Reagan won the Cold War by doubling down on the policies of the seven presidents who preceded him. Premier Mikhail Gorbachev lost because the Soviet Union could not keep up. What did we buy with those investments? First was the nuclear triad: our land-based intercontinental missiles, fleet ballistic missile submarines and strategic bombers. That force left no option for an adversary to surprise the U.S. and its allies with a decapitating first strike because the certainty of complete annihilation following such a strike was always there. Equally critical was the ability to prevail against a larger force in a conventional fight. The U.S. seized the advantage with precision, with a precise conventional strike, enabled by pattern-matching seekers. With a global positioning system to guide force projection to the right place, stealth technology to hide our aircraft from enemy radar, encrypted high-rate communications to enable superior command and control, electronic warfare to deny that advantage to our enemies, unmanned aerial vehicles for both reconnaissance and force projection, and the uncontested dominance of the space domain to tie it all together, we prevailed. These capabilities were transformational when first deployed, beyond the reach of any other society on Earth. But many are now available commercially, and others, such as electronic warfare and stealth, are now widely understood. Some potentially transformative technologies such as artificial intelligence and machine learning, 5G, and microelectronics are driven not by defense but by commercial interests, and not solely by our domestic industrial base. In certain areas with no present commercial applications, such as hypersonic flight, we are simply behind. And in space — once the uncontested linchpin of the U.S. war-fighting advantage — we are challenged by Russian and Chinese determination, and capability, to deny that advantage. In brief, the United States no longer possesses the unquestioned technical superiority to dominate a future fight. At this juncture, we have not undertaken concerted defense modernization in more than a generation, and therefore have made marginal improvements to existing capabilities. These will not affect the outcome of a conflict for which our adversaries, knowing how we fight, have been preparing for a generation. We know what we need to do. The National Defense Strategy outlines the investments we must pursue: a revitalized nuclear triad, microelectronics, cybersecurity, biotechnology, 5G, space, hypersonics, artificial intelligence, directed energy, autonomous systems, networked communications, missile defense and quantum science, among others. Superiority in these technologies, woven into a war-fighting architecture that challenges our adversaries rather than reacting to them, is the key to deterring or winning future conflicts. The taxpayers have been generous with the defense budget, but it is insufficient to purchase more legacy systems while also creating the future force. So we must decide: What near-term risks are we willing to take, and what current systems are we willing to let go, so that we can invest in capabilities that will impose costs on our adversaries and deter them from starting a fight because they know they cannot win? This is the critical national security challenge of our time. https://www.defensenews.com/outlook/2019/12/02/pentagon-rd-boss-the-challenge-of-our-time

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