5 août 2021 | International, Aérospatial

General Electric robot navigates uncharted terrain in US Army demo

In Army Research Laboratory program, General Electric teaches a robot how to navigate off-road on its own.

https://www.defensenews.com/land/2021/08/04/general-electric-robot-autonomously-navigates-uncharted-terrain-in-us-army-demo/

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    13 août 2018 | International, Aérospatial

    Pourquoi Trump veut briser le Rafale

    Le fleuron de l'armement français et ses équipements intègrent des composants américains dont Washington pourrait interdire l'exportation. Révélations. Par Ariane Lavrilleux et Guerric Poncet Ala veille de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Helsinki mi-juillet, Donald Trump s'est fendu d'une phrase que les industriels français n'ont pas oubliée : « L'Union européenne est un ennemi (...) et profite vraiment des Etats-Unis. » Les mots du président de la première puissance mondiale ne sont pas que provocateurs : une véritable épée de Damoclès est suspendue au-dessus du secteur de la défense, et elle se nomme Itar. Derrière ce sigle se cache la régulation internationale sur le commerce des armes (International Traffic in Arms Regulations). Article complet: http://www.lepoint.fr/economie/pourquoi-trump-veut-briser-le-rafale-09-08-2018-2242513_28.php

  • Russia's MiG Developing Drone Wingman Concept for Fighters

    19 juin 2019 | International, Aérospatial

    Russia's MiG Developing Drone Wingman Concept for Fighters

    By Oriana Pawlyk SALON DU BOURGET, PARIS -- The Russian government has accepted its first two MiG-35 aircraft, the latest multirole fighter made by MiG Russian Aircraft Corporation that straddles fourth-and-fifth generation capability, according to a company spokesperson. But beyond supplying new MiGs to the Russian air force, MiG is currently designing and developing drones to pair up with the new combat-capable aircraft, said spokeswoman Anastasia Kravchenko. "We are looking for network cooperation of both manned and unmanned aircraft," Kravchenko said through a translator during an interview with Military.com at the Paris Air Show. "And we're going to also use the technologies of artificial intelligence." When asked if this is similar to what other countries like the U.S. are aiming to develop for manned-unmanned teaming, Kravchenko said, "Of course." "Because you know, this is the future. We have already started to use these technologies, even on MiG-35 aircraft," she said. "MiG-35 can be like a command post and control other aircraft," Kravchenko added. "It's one of the key elements of how the aircraft is going to be used in the future." This concept of operations mimics how the U.S. is working to boost its fifth-gen aircraft -- and its proposed future tech -- to pair automated systems or artificial intelligence with a human in the cockpit so that the machine can learn how to fly, gather information, or more. Kravchenko said that "we have drone designs in our company," for the prospective program. But she did not provide more detail because she said "everything depends on the Russian Ministry of Defence" for future development and procurement. "MiG-35 was designed with open architecture" in mind, Kravchenko added. Currently, the Pentagon is working on open architecture, or ways to plug more equipment into the common, networked system for battle management and command-and-control. The MiG-35 itself has been designed to replace its MiG-29s, which entered service in the 1980s. The new "fourth-plus-plus" gen fighter is the direct follow-on to the MiG-29K/MiG-29KUB and MiG-29M/MiG-29M2 model aircraft, with increased engine and thrust power, according to a provided brochure. The MiG-35 was designed as an air superiority fighter that has "[made gains] against fourth and fifth-generation fighters," the brochure said. MiG said it's proposing to incorporate the active electronically scanned phased-array, known as AESA, for all the MiG-35s it produces. The radar, which has extended range, can simultaneously track multiple targets in the air and on the ground. "At the same time, 10 targets can be attacked" from the fidelity and information the radar gives the aircraft, Kravchenko said. "Out of them, six are aerial targets and four are ground targets." The MiG-35 has been in development for well over a decade, with the first reported demonstration flight at the Aero India Air Show in Bangalore in 2007. Its public debut was held in January 2017 at MiG's production plant in Lukhovitsy. "MiG has great experience. We have a lot of design experience," Kravchenko said of the company, which will celebrate its 80th anniversary this year. "And that's why we're completely sure that our new product, MiG 35, will use technologies of fifth-generation." That includes some stealth capabilities, increased maneuverability, electronic warfare and the ability to operate despite jamming. "This aircraft can be modified so that it can be upgraded depending on the requirements of our customers," she added. MiG is expected to deliver six MiG-35 fighter jets by 2023, according to Russia's TASS news. Moscow Times reported this week, however, that the remaining four jets could be delivered by the end of the year. MiG, which is part of the United Aircraft Corporation that includes companies like Sukhoi, among other aerospace defense companies, is separately developing its own fifth-generation fighter. Meanwhile, Russia is already slated to purchase 76 of Sukhoi Su-57 fifth-generation aircraft, which the country says rivals the American-made F-35 Joint Strike Fighter. "We are currently we are working on this," she said of MiG's own next-gen craft. MiG has cooperated with Sukhoi, but it is not planning on forming an official partnership for the project, she said. Kravchenko could not provide additional details for when a new fifth-gen fighter may come online. https://www.military.com/daily-news/2019/06/18/russias-mig-developing-drone-wingman-concept-fighters.html

  • Cyberdéfense : une France offensive et complètement décomplexée

    21 janvier 2019 | International, C4ISR

    Cyberdéfense : une France offensive et complètement décomplexée

    Par Michel Cabirol Depuis plusieurs années, la France ne s'interdit pas de lancer des attaques cyber. Elle rend coup pour coup à ses adversaire dans le cyberespace. Et au-delà... Le ministère des Armées vient de terminer ses travaux doctrinaux en matière de lutte informatique offensive. Le monde est en guerre. Personne n'a vraiment conscience de l'ampleur de cette guerre très discrète à l'exception d'un cercle d'initiés. Vendredi lors d'un discours dans la droite ligne de celui en septembre 2015 de son prédécesseur Jean-Yves Le Drian, la ministre des Armées Florence Parly a dévoilé une attaque cyber de très grande ampleur contre son ministère, qui a commencé en 2017. Une attaque très sophistiquée à base du Malware Turla, un ver qui s'introduit dans les sites des administrations étatiques et des entreprise. Un ver qui s'est déjà introduit dans les sites de la Défense américaine et avait été décrit comme la plus grande brèche dans l'histoire des ordinateurs de l'armée US. "Nous sommes fin 2017, a raconté Florence Parly. Des connexions anormales sur le serveur de la messagerie internet du ministère des Armées sont constatées. Ces connexions ont révélé après analyse qu'un attaquant cherchait à accéder directement au contenu de boites mails de 19 cadres du ministère parmi elles, celles de quelques personnalités sensibles. Sans notre vigilance, c'est toute notre chaîne d'alimentation en carburant de la Marine nationale qui aurait été exposée. Surtout, cette tentative d'attaque a duré jusqu'en avril 2018. Nous avons pu patiemment et, en étroite collaboration avec nos partenaires, remonter la chaîne des serveurs et des adresses IP Derrière se cachait un mode d'attaque bien connu de nos services et que certains attribuent à Turla". Deux attaques par jour En 2017, le ministère des Armées a recensé 700 événements de sécurité, dont 100 attaques qui ont ciblé ses réseaux. En 2018, ce même nombre a été atteint dès septembre. "En moyenne, a précisé Florence Parly, ce sont donc plus de deux événements de sécurité par jour qui ont touché tout autant notre ministère, nos opérations, nos expertises techniques et même un hôpital d'instruction des Armées". Certaines de ces attaques, directes, ciblaient précisément le ministère. D'autres visaient les industriels de la défense. Par conséquent, confirme le chef d'état-major des armées (CEMA), le général François Lecointre, le cyberespace recèle "des potentialités de désorganisation massive qui ne doivent pas être ignorées mais au contraire intégrées dans une pensée stratégique renouvelée". Certaines attaques sont "le fruit de groupes malveillants,a précisé la ministre. D'autres de hackers isolés. Mais certaines, nous le savons, viennent d'Etats pour le moins indiscrets, pour le moins... décomplexés". Aujourd'hui, un certain nombre de nations incluent des effets cyber dans leurs stratégies militaires et leurs modes d'action. Elles s'y préparent à l'occasion d'exercices mêlant capacités conventionnelles et cyber. La France fait partie de ce club de nations. "Nos adversaires potentiels doivent savoir à quoi s'attendre" s'ils décident de passer à l'attaque dans le cyberespace, a précisé la ministre des Armées. "L'arme cyber est une arme d'emploi", a rappelé le général Lecointre. Les attaques cyber ont le plus souvent un caractère d'irrégularité. Le cyberespace favorise les actions de type guérilla ou de harcèlement en raison de la faible traçabilité des attaques cyber qui sont très difficilement attribuables. En outre, l'invulnérabilité du cyberespace est très difficile à conserver dans la durée compte tenu de l'étendue du milieu et de sa complexité. Enfin, l'accessibilité aisée pour les acteurs non-étatiques et les petits Etats offrent un outil offensif qui peut être volé, copié ou imité par des adversaires ou des acteurs tiers. Une doctrine de lutte informatique offensive Si une éventuelle riposte à l'attaque Turla n'a pas été révélée, Florence Parly a toutefois confirmé que la France s'octroierait le droit de riposter face à des cyber-attaques . "En cas d'attaque cyber contre nos forces, nous nous réservons le droit de riposter, dans le respect du droit, par les moyens et au moment de notre choix, a-t-elle expliqué. Nous nous réservons aussi, quel que soit l'assaillant, le droit de neutraliser les effets et les moyens numériques employés. Mais nous serons aussi prêts à employer en opérations extérieures l'arme cyber à des fins offensives, isolément ou en appui de nos moyens conventionnels, pour en démultiplier les effets". "La capacité à conduire des opérations militaires dans le cyberespace permet d'obtenir certains avantages sur les thé'tres d'opération des armées", a d'ailleurs reconnu le général Lecointre. "Nous considérons l'arme cyber comme une arme opérationnelle à part entière. C'est un choix nécessaire, en responsabilité. Nous en ferons un usage proportionné, mais que ceux qui sont tentés de s'attaquer à nos forces armées le sachent : nous n'aurons pas peur de l'utiliser", a averti la ministre. Une stratégie cyberdéfense offensive qui n'est pas nouvelle. Mais la France a affiné tout au long de ces derniers mois une doctrine de lutte informatique offensive à des fins militaires, qui est considérée comme une arme de supériorité opérationnelle. "La stratégie vise pour l'essentiel à acquérir et à conserver la supériorité (ou, tout au moins, une situation favorable) afin d'assurer la défense de nos intérêts et la préservation de notre souveraineté", a précisé le CEMA. L'arme cyber, un effet démultiplicateur C'est le commandant de la cyberdéfense, le général Olivier Bonnet des Paillerets, qui a été chargé de rédiger une doctrine de lutte informatique offensive. La France mis en place en mai 2017 le commandement de la cyberdéfense (COMCYBER). "Immédiateté de l'action, dualité des cibles, hyper-connectivité sont autant de facteurs de risques qui ont été pris en compte dans l'élaboration de la doctrine, tout comme la notion d'irrégularité", a précisé le CEMA. Une doctrine dont les éléments les plus sensibles resteront toutefois logiquement secrets. Ces attaques cyber seront conduites de façon autonome ou en combinaison des moyens militaires conventionnels. Selon le ministère, l'arme cyber vise à produire des effets à l'encontre d'un système adverse pour en altérer la disponibilité ou la confidentialité des données. Car la lutte informatique offensive permet de tirer parti des vulnérabilités des systèmes numériques adverses. "La lutte informatique offensive peut être un formidable démultiplicateur d'effets", a d'ailleurs estimé le chef d'état-major des armées. Pour le CEMA, la lutte informatique offensive élargit considérablement "le champ des possibles et la palette des options modulables que je suis susceptible de proposer au Président de la République". Elle peut se combiner et, si nécessaire, se substituer aux autres capacités militaires de recueil et d'action sur tout le spectre des missions militaires (renseigner, défendre, agir), a-t-il expliqué. "En réalité, les armes cyber apparaissent désormais comme des instruments incontournables de l'action militaire gr'ce à leur capacité à agir au profit des armes employées dans les autres milieux", a-t-il souligné. Les discours de Florence Parly, qui n'a rien annoncé de nouveau dans le domaine de la cyberdéfense, et du général François Lecointre préparent-ils à un nouveau changement de doctrine, cette fois-ci, dans la politique spatiale de défense, qui pourrait être dotée elle aussi d'une doctrine offensive,. Il semble qu'une France plus pragmatique mais pas forcément plus guerrière tourne la page d'une France romantique, voire naïve, dans les domaines cyber et de l'espace... https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/cyberdefense-une-france-offensive-prete-a-rendre-coup-pour-coup-a-ses-adversaires-804456.html

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