18 octobre 2021 | International, Terrestre

First Live Hypersonic Missile Rounds To Be Delivered to Army Unit Next Year

The service remains on pace to field an offensive hypersonic unit by fiscal 2023, general says.

https://breakingdefense.com/2021/10/first-live-hypersonic-missile-rounds-to-be-delivered-to-army-unit-next-year/

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  • Le futur Rafale sera ultra-connecté pour chasser en réseau

    21 janvier 2019 | International, Aérospatial

    Le futur Rafale sera ultra-connecté pour chasser en réseau

    Louis Neveu En attendant l'arrivée d'un nouvel avion de combat européen à l'horizon 2040, le Rafale va bénéficier d'une importante mise à jour du standard dit F4. Il va renforcer sa connectivité pour évoluer en réseau et s'enrichir de capteurs et d'intelligence artificielle. Explications. Disponible dans l'armée française depuis près de 18 ans, le Rafale est aujourd'hui considéré comme l'un des meilleurs avions de combat au monde. Il est souvent en lice avec le F-35 américain de dernière génération qui bénéficie pourtant d'un puissant soutien de nombreux pays et des membres de l'Otan. Pour se hisser à ce niveau, l'avion de chasse made in France bénéficie depuis ses débuts de mises à jour importantes reposant sur des standards (F1, F2, F3...). Le standard actuel est opérationnel depuis 2018 et s'appelle F3R. Avec lui l'avion s'est bardé de capteurs, de nouveaux missiles d'équipements laser et des améliorations logicielles. Le 14 janvier 2019, Florence Parly, la ministre des Armées a remis à Dassault le contrat de développement du nouveau standard F4 du Rafale sur son site d'assemblage à Mérignac. Il en coûtera 2 milliards d'euros pour voir voler le premier démonstrateur mis à jour dès 2025. Il ne faut pas s'attendre à une révolution esthétique de l'avion de chasse. Et pourtant, cette mise à jour est une véritable révolution ! C'est sous la carlingue et dans les datacenters de l'armée que l'innovation va débarquer. Ce standard F4 va faire basculer le Rafale dans l'ère du big-data et de l'hyperconnexion. Sa connectivité va, en effet, être renforcée pour qu'il puisse communiquer et échanger de nombreuses quantités de données en réseau avec tous les véhicules alliés et même les autres forces déployées au sol ou en mer sur le champ de bataille. C'est ce que les militaires appellent le combat collaboratif. Dans tous les cas, la communication doit être fiable, rapide, sécurisée et ce, quelle que soit la distance. Pour cela, il sera équipé d'un nouveau système de radio chiffré renforcé par des nouvelles liaisons satellitaires. Un saut technologique, un saut stratégique Le Rafale va également se barder de nouveaux capteurs ou les optimiser, pour détecter les menaces. Ainsi, son radar à balayage électronique sera amélioré, son système de protection avec son brouilleur dernier cri sera renforcé (Spectra). Côté armement, il pourra emporter de nouvelles générations de missiles et une nacelle de visée laser. L'intelligence artificielle va aussi s'inviter à bord. Elle servira de mécano d'appoint pour prédire les opérations de maintenance à venir, ainsi que réaliser des pronostics de pannes et les diagnostiquer. Il faut dire qu'un avion de chasse comme le Rafale doit bénéficier d'importants travaux de maintenance qui viennent le clouer au sol. L'idée est de réduire ce temps de diagnostic et de maintenance. Ce standard F4 devrait arriver progressivement de 2023 à 2025 au fil des innovations technologiques. Cette importante mise à jour du Rafale va être un premier pas pour dessiner concrètement ce que sera l'avion européen du futur baptisé Scaf (système de combat aérien du futur). Cet avion sera mis au point à l'horizon 2040 par Dassault et Airbus afin de remplacer le Rafale actuel et l'Eurofighter. CE QU'IL FAUT RETENIR Le Rafale va renforcer sa connectivité et se doter d'intelligence artificielle dans une mise à jour baptisée F4. Les premiers démonstrateurs sortiront en 2025. Ces standards se retrouveront dans l'avion de chasse européen du futur à l'horizon 2040. https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/avion-futur-rafale-sera-ultra-connecte-chasser-reseau-74660/

  • Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    31 août 2020 | International, Aérospatial

    Suisse: Six milliards en jeu pour renouveler la flotte aérienne de l’armée

    Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le peuple suisse est à nouveau appelé à voter pour ou contre l'acquisition d'avions de combats. La Suisse doit renouveler sa flotte d'avions de combat. Les appareils en service actuellement seront en fin de vie d'ici 2030. Le Conseil fédéral et le Parlement veulent acquérir de nouveaux avions pour six milliards de francs. Les opposants y voient une dépense inutile. Le peuple tranchera le 27 septembre. La votation porte sur le montant maximal destiné à l'achat des avions de combat qui remplaceront les 26 F-5 Tiger et les 30 F/A-18 de l'armée. Les premiers, acquis en 1978, sont déjà obsolètes. Ils ne peuvent voler que de jour et par temps clair, et ne servent plus qu'à l'instruction. Les seconds atteindront leur limite dans une dizaine d'années. Après l'échec de l'achat des avions Gripen en 2014, le gouvernement a décidé de ne soumettre aux urnes que le cadre général de l'acquisition. Le choix du type et du nombre d'appareils nécessaires lui reviendra ensuite. L'enveloppe de 6 milliards de francs, soit deux fois plus que le Gripen, est plafonnée et ne pourra pas être augmentée. Elle pourra en revanche être ajustée à l'évolution des prix. L'achat des nouveaux avions de combat recueille dans les derniers sondages une majorité en sa faveur. Le clivage droite/gauche est marqué, le camp bourgeois étant favorable à la dépense et le camp rose-vert opposé. Objectif controversé Pour le comité référendaire, composé du PS, des Verts et du Groupe pour une suisse sans armée, dépenser 6 milliards de francs pour les avions est une fausse promesse de sécurité. Le scénario d'une guerre aérienne en Europe n'est pas réaliste. La Suisse doit plutôt se préparer à de nouveaux types de menace: catastrophes, cyberattaques, pandémies ou changement climatique. Les avions de combat ne pourront pas contrer ces menaces. Des investissements dans la lutte contre le réchauffement climatique ou la pénurie d'électricité seraient plus sensés, selon les opposants. L'émergence de nouvelles formes de guerre ne remplace pas les anciennes menaces, répond le camp des partisans dans les rangs duquel se trouvent des membres du PLR, de l'UDC, du PDC, du PBD, des Vert'libéraux, du PEV et de nombreuses organisations militaires. Bien qu'il n'y ait pas de conflit armé en Suisse, les conditions peuvent rapidement changer. Il s'agit de l'avenir de la politique de sécurité. Une menace imprévisible La menace évolue constamment et la population doit être protégée contre les attaques imprévisibles, argumente la ministre de la Défense Viola Amherd. L'armée de l'air a de nombreuses t'ches pour lesquelles des avions de combat sont nécessaires. Elle intervient si un avion se trouve en situation critique ou s'il viole les règles. Lorsque Genève accueille une conférence internationale sur la paix, des avions doivent en permanence être dans les airs. L'armée doit également pouvoir contrôler de manière plus intense ses frontières en cas de tensions dans les environs et s'assurer qu'aucun appareil militaire étranger ne survole le territoire. Elle doit protéger son espace aérien en cas d'attaque directe. Coûts à définir L'argent dépensé pour les avions fera défaut dans d'autres domaines comme l'éducation, la santé, la sécurité publique ou sociale ou encore la culture, rétorquent les opposants. Cet achat serait en outre un chèque en blanc donné au gouvernement et au Parlement. Le jour de la votation, les électeurs ne connaîtront pas les coûts concrets. Si l'on prend en compte l'ensemble des coûts sur la durée de vie des avions, la facture s'élève à 24 milliards, avancent les référendaires. Le Département fédéral de la défense estime pour sa part la dépense à 18 milliards. Le PS propose l'acquisition d'avions de combat légers, moins onéreux. Pour Viola Amherd, ces appareils ne valent rien pour le service de police de l'air et encore moins pour protéger la Suisse en cas de crise. Ils ne volent pas assez haut, sont trop lents ou n'ont pas les radars ou l'armement nécessaires. Compensations prévues L'arrêté sur lequel le peuple doit se prononcer inclut des conditions. Il précise que le constructeur remportant l'appel d'offres devra investir 60% du montant du contrat dans l'économie suisse (65% en Suisse alémanique, 30% en Suisse romande et 5% en Suisse italienne). L'achat sera coordonné avec la modernisation du système de défense sol-air. Quatre jets sont encore en lice: le Rafale du français Dassault, l'Eurofighter de l'européen Airbus et les deux avions américains, le Super Hornet de Boeing et le F-35A de Lockheed-Martin. https://www.lematin.ch/story/six-milliards-en-jeu-pour-renouveler-la-flotte-aerienne-de-larmee-442405814349

  • Kratos, Hypersonix team up on hypersonic systems for US market

    9 août 2023 | International, Aérospatial

    Kratos, Hypersonix team up on hypersonic systems for US market

    Under the agreement, Kratos committed to buy 20 of Hypersonix’s DART AE hypersonic vehicles, which it expects will log its first flight early next year.

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