5 août 2022 | International, Aérospatial

Fighter pilots will don AR helmets to train with imaginary enemies

Roughly a year from now, Air Force pilots will start wearing augmented reality helmets that let them fight imaginary enemies in the air.

https://www.washingtonpost.com/technology/2022/08/04/virtual-reality-fighter-pilot-helmet/

Sur le même sujet

  • US Army chief: How COVID-19 will impact modernization is a wait-and-see situation

    20 mars 2020 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    US Army chief: How COVID-19 will impact modernization is a wait-and-see situation

    By: Jen Judson WASHINGTON — It's realistic for the U.S. Army to wait and see how the new coronavirus might affect its ambitious plans to modernize the force, Army Chief of Staff Gen. James McConville told Defense News in a March 18 interview. With major economic centers on both U.S. coasts restricting public gatherings, and with most of the country attempting social distancing to avoid the spread of the virus, industry as of this week appeared to still be sorting out how it would handle its own workforce and keep employees safe from infection. Much of what the Army is doing to address its top modernization priorities depends on industry collaboration and efforts. “We're watching what is happening,” McConville said. “We do have some high-priority tests that we think are continuing to go, and industry is doing the same thing that we're doing — they're putting measures in place with their people. They're weighing risks to the force and, really, risk to their missions as they do that.” Some high-priority tests will continue, he said, while “other ones will slow down.” While he did not list all high-priority tests that would likely go on, McConville noted that the Army is still moving forward with contract awards and making progress where it can. He pointed to the service's recent contract awards to Bell and Sikorsky to continue to develop and test aircraft for the Army's Future Long Range Assault Aircraft program. That contract was awarded on the expected timeline. The Army also tested its Extended Long-Range Cannon Artillery system at Yuma Proving Ground, Arizona, on March 6, but that was only as uncertainty was just beginning to build in the U.S. regarding the spread of COVID-19. The service has an abundance of important milestones planned across its modernization priorities this year, to include a robust flight test program for the Precision Strike Missile at White Sands Missile Range in New Mexico, and a likely imminent flight test of a jointly developed hypersonic glide body. The Army also plans to award contracts to build Future Attack Reconnaissance Aircraft prototypes this month. But it's unclear how other programs will move forward. The previously troubled Integrated Battle Command System for air and missile defense is finally slated to go into a limited-user test in May this year, which is critical to the program's success. The Army planned to conduct a series of industry days to restart its effort to competitively procure a Bradley Infantry Fighting Vehicle replacement, but according to sources, a virtual industry day to kick things off has been postponed and the Army plans to post informational slides to industry on Beta.Sam.Gov in the near term instead. “The acquisition cycle continues to move on,” McConville said, “and we'll have a better idea over the next 30 to 60 days, as more measures are implemented in certain states, what and how that really plays out.” https://www.defensenews.com/smr/army-modernization/2020/03/19/army-chief-how-covid-19-will-affect-army-modernization-is-a-wait-and-see-situation/

  • Histoire d’un faux pas : ce qui se joue vraiment derrière l’affaire du Rafale en Inde

    28 septembre 2018 | International, Aérospatial

    Histoire d’un faux pas : ce qui se joue vraiment derrière l’affaire du Rafale en Inde

    Les récentes déclarations de François Hollande au journal Mediapart sur le choix du partenaire local du projet Rafale (l'entreprise Reliance), et qui a également financé le film de sa compagne Julie Gayet, ont relancé la polémique en Inde sur les conditions d'attributions et d'achat de ces avions de combat. Pour autant, au-delà du potentiel conflit d'intérêts, cette histoire cache une réalité beaucoup plus complexe qu'il n'y peut paraître vu de France. Cet énorme contrat mêle, de façon concomitante, des enjeux de politique interne, de relations internationales mais aussi des enjeux industriels et économiques. La phrase ambiguë de François Hollande Afin de bien comprendre pourquoi les propos de François Hollande ont eu autant de retentissement en Inde, il est bon de recontextualiser l'histoire. Vendredi dernier, François Hollande interrogé sur le financement d'un film de Julie Gayet par le groupe indien Reliance, chargée également de fabriquer des pièces de l'avion de chasse Rafale dans le cadre d'une joint-venture avec Dassault Aviation, a déclaré à Mediapartque le gouvernement français n'avait pas eu de mot à dire sur le choix du partenaire indien : « C'est le gouvernement indien qui a proposé ce type de services, et Dassault qui a négocié avec Anil Ambani (le PDG de Reliance) [...] Nous n'avons pas eu le choix, nous avons pris l'interlocuteur qui nous a été donné. » Cette phrase ambiguë a permis à l'opposition, et notamment au Parti du Congrès, de prendre à partie le gouvernement de Narendra Modi et de l'accuser une nouvelle fois d'avoir favorisé Ambani et Reliance pour l'obtention de ce contrat. Une polémique ancienne Pourtant, cette polémique est bien plus ancienne et complexe. Celle-ci commence en avril 2015 lorsque le premier ministre Narendra Modi, en visite officielle à Paris, annonce que l'Inde achètera 36 Rafales pour un montant d'environ 8 milliards d'euros. Cette annonce remet en cause l'accord négocié par le précédent gouvernement UPA (une coalition entre le parti du Congrès et d'autres partis) en 2008 et qui proposait l'achat de 126 avions Rafale pour 20 milliards de dollars. Le gouvernement Modi avait jugé cet accord trop cher, d'une durée trop longue (plus de 10 ans) et limitant ainsi les plans de modernisation de l'armée indienne. L'acquisition à court terme de ces avions était aussi liée à la nécessité de rapidement remplacer une flotte de combat vieillissante et en sous-effectif. Les débats ont alors porté sur trois éléments que l'on retrouve encore aujourd'hui dans la controverse : le coût d'acquisition de ces avions Rafale ; le choix de la compagnie en charge de construire certains éléments aéronautiques ; et enfin le fait qu'il n'y ait pas de réel transfert de technologie compris dans l'accord. L'opposition maintient que ces Rafales sont plus chers sous ce nouveau contrat que sous l'accord passé en 2008. Le gouvernement indien prétend que ce nouvel accord permet, au contraire, une baisse de coût de 9 % de moins par avion par rapport à l'ancien accord. Mais, dans le même temps, il refuse de s'exprimer devant le Parlement sur le prix total, mettant en avant l'accord de confidentialité signé en janvier 2016 avec la France et Dassault et des considérations de secret défense et de sécurité nationale. Une préférence du privé au public qui pose question L'opposition questionne aussi vivement le fait que le gouvernement ait autorisé que le partenaire de Dassault soit une compagnie de défense privée (Reliance Aerospace Limited) dans le cadre de l'accord de 2016 et n'ayant qu'une expérience très limitée dans le domaine de l'aéronautique de défense. Par ailleurs, celle-ci, au moment de l'accord, connaissait de fortes pertes financières. L'ancien accord prévoyait que le partenaire principal soit l'entreprise publique Hindustan Aeronotics Limited (HAL) qui possède une importante expertise dans l'industrie des avions de combat depuis l'Indépendance. Cette préférence du privé au public, couplée à la question de la compétence, ont suffi pour jeter la suspicion sur l'aval donné à ce choix. D'autant plus que les frères Mukesh et Anil Ambani, originaires du Gujarat (État à l'ouest du pays), tout comme le premier ministre, sont considérés comme très proches de ce dernier. Ainsi que l'a dit François Hollande, le gouvernement indien a toujours maintenu le fait que la compagnie privée retenue a été du choix du vendeur français et que les gouvernements ne sont pas intervenus dans ce choix. Ils sont rejoints par les déclarations de Dassault qui revendique cette liberté de décision. Comment Reliance Aeronotics s'est imposé Ce qui est plus intéressant dans cette polémique, c'est de comprendre pourquoi Reliance Aeronotics Limited, entreprise ayant peu d'expérience et très endettée, s'est imposé par rapport à Hindustan Aeronotics. Reliance Aeronotics avait déjà discuté avec Dassault dans le cadre du premier accord de 2008. À cette époque, l'entreprise était sous l'égide de l'aîné des Ambani, Mukesh, et ce dernier n'avait pas souhaité participer au projet jugeant les procédures administratives et légales trop contraignantes. Ce n'est qu'après 2012, quand Anil Ambani a pris la direction de Reliance Aeronotics à la place de son frère, que les discussions ont repris. Les plans d'une joint-venture auraient été discutés lors d'Aero India (le salon aéronautique indien) deux mois avant l'annonce par Modi du nouvel accord. Or, une vidéo d'Éric Trappier (le PDG de Dassault Aviation) prise 15 jours avant l'annonce du nouveau contrat de 2015 le montre se réjouissant d'un partenariat avec Hindustan Aeronotics Limited. Dassault se défend en expliquant que cette vidéo a été prise avant que le nouvel accord ait été proposé et que cette phase était logique dans le cadre de l'ancien accord ou Hindustan Aeronotics apparaissait. L'enjeu central des transferts de technologie Ce qui est plus probable, c'est que ce changement d'accord opportun ait permis à Dassaut d'avoir plus de coudées franches par rapport au projet, l'évitant ainsi d'avoir à faire un transfert de technologie trop important. Les discussions préliminaires avec Hindustan Aeronotics portaient a priori sur le fait de construire sur place une partie des structures du Rafale alors que l'accord avec Reliance Aeronotics prévoit la participation de Reliance sur la construction de certains composants d'avions d'affaire (comme le Falcon 2000), et de façon anecdotique ceux du Rafale (dont l'assemblage sera fait en France). Et c'est sans doute bien sur ce point que les commentaires des opposants au nouveau deal sont les plus pertinents. En effet, à son arrivée au pouvoir, Modi a souhaité faire en sorte que tout nouvel accord avec des entreprises étrangères réponde au cahier des charges de sa politique du « Make in India » : la production ou l'assemblage doit être en partie localisée en Inde. Ici, ce cahier des charges n'est pas réellement complet, même si, par le nouveau contrat, Dassault s'est engagé à réinvestir la moitié de la somme du contrat (qui est de presque 8 milliards d'euros) à travers le système des offset (investissements compensatoires). Le partenariat avec Reliance Aeronotics et la joint-venture ne porte, pour l'instant, que sur 100 millions d'euros pour l'usine commune qui est construite à Nagpur. Dans son communiqué de presse du 21 septembre, Dassault indique néanmoins d'autres partenariats vont être signés avec d'autres entreprises comme BTSL, DEFSYS, Kinetic, Mahindra, Maini, et SAMTEL. La bataille politique de l'armement en Inde Les controverses autour du Rafale et la véhémence du Parti du Congrès contre le BJP s'inscrivent en fait dans la longue continuation de la bataille politique entre le Congrès et ses opposants depuis les années 1980 vis-à-vis de la question de l'armement. Chaque contrat avec des puissances étrangères a fait l'objet des mêmes attaques pour un gouvernement comme pour l'autre, et un nombre substantiel de contrats n'ont pu voir le jour. La conséquence de ce jeu politique n'est pas neutre pour l'Inde. Le pays a été contraint de faire ses achats d'armements sans réelle cohérence dans la construction de sa politique de défense, plus souvent basée sur le contrat créant le moins de polémiques que sur l'efficacité technique ou la cohérence des commandes. Par contre, Narendra Modi, en refusant d'apporter un peu plus de transparence sur le prix et les conditions d'achat du Rafale, fait sans doute une erreur tactique. Et il semble retomber dans le même travers que Rajiv Gandhi (le père de Rahul Gandhi, le plus véhément principal opposant de Modi sur cette affaire et leader du parti du Congrès) lors du scandale Bofors dans les années 1980. Ce dernier y perdit ses soutiens politiques dans son propre parti, le soutien de l'armée et cette affaire provoqua la chute du gouvernement (et l'arrêt du contrat par la même occasion). En fin tacticien, c'est certainement avec le souvenir de cette histoire en tête que Rahul Gandhi cherche à préparer le terrain des élections générales de l'année prochaine. L'art délicat de la diplomatie des ventes d'armes Par ces propos ambigus, François Hollande a certainement cherché à se prémunir contre toute attaque vis-à-vis d'un conflit d'intérêts entre les choix stratégiques de la France et sa vie privée. Cette priorisation de l'intérêt personnel par rapport aux intérêts français est une option risquée et qui a d'ailleurs conduit l'ancien Président à faire machine arrière sur ses propos suite à une contredéclaration du Quai d'Orsay. Cet incident pourrait néanmoins porter à long terme préjudice à la France. N'oublions pas que l'Inde est le premier importateur d'armes au monde et le premier client export de Dassault Aviation ainsi que de la France en termes d'armement sur la période 2007-2016. L'achat de matériel militaire ne se joue pas uniquement sur la performance de celui-ci mais est un art délicat de diplomatie et d'équilibre des rapports de pouvoir entre les États et les entreprises. Et l'ancien Président est pourtant bien placé pour le savoir. https://theconversation.com/histoire-dun-faux-pas-ce-qui-se-joue-vraiment-derriere-laffaire-du-rafale-en-inde-104014

  • New F-35 Modification Facility Brings Strategic Capability to FRCE

    20 août 2019 | International, Aérospatial

    New F-35 Modification Facility Brings Strategic Capability to FRCE

    By Heather Wilburn, Fleet Readiness Center Public Affairs MARINE CORPS AIR STATION CHERRY POINT, N.C. (NNS) -- A recently-completed facility will bring a new strategic capability to Fleet Readiness Center East (FRCE) and the F-35B Lightning aircraft line next year. When the new F-35 laser shock peening facility is fully operational in 2020, FRCE will be one of two sites in the world that will use laser technology to strengthen F-35 structural components. Construction of the $6 million facility wrapped in July, and the contractor providing the laser shock peening service will take occupancy in early spring, said Donald Jeter, portfolio manager of the F-35 aircraft line at FRCE. Under that timeline, the first F-35 aircraft inducted for laser shock peening would arrive in June to undergo the validation and verification process, and then the depot will begin work on the remainder of the F-35 fleet that requires the laser shock peening modification. “This facility is a big get for Fleet Readiness Center East,” Jeter said. “It's very exciting. Being able to perform this laser shock peening process adds a huge strategic capability to our depot. With it, we'll be able to provide a critical support element to the F-35B program and act as a force multiplier for the fleet and the warfighter.” The 16,000-square-foot facility comprises two bays, where the actual laser shock peening process will take place, and a connected area that will house the laser generator. The state-of-the-art laser shock peening process will allow FRCE to conduct heavy structure modifications that will strengthen areas of the F-35's airframe without disassembling the entire aircraft, said Matthew Crisp, the F-35 Joint Program Office site lead at FRCE. The process strengthens designs without adding additional metal or weight, which increases the aircraft's life and reduces maintenance costs. It has been used on the F-22 Raptor and in manufacturing aircraft components including engine blades, Crisp said, but has never been employed for the F-35. Now, FRCE will use the technology to help Marine Corps aircraft reach their full life limit. Aircraft maintenance professionals at FRCE will conduct prep work and some structural modification on the F-35s inducted into the depot, then turn them over to the contractor running the laser shock peening operations. The contractor will complete the process to strengthen the bulkheads and airframes, and FRCE will put the jets back together, perform all the flight test functions and get them back out to the fleet, Jeter said. The end result is aircraft that have been reinforced without adding additional weight, which would reduce the fighter's capabilities by limiting its fuel or weapons carrying capacity. Shot peening is not a new process, Crisp said, but laser shock peening is unique in that it produces a uniform result across the surface being treated. In laser shock peening, the surface of the media is first coated with an ablative layer and covered with a water tamping layer. A high-energy laser beam is fired at the metal, which creates an area of plasma on the metal's surface. The impact creates a shock wave, which travels through the metal, and compressive residual stresses remain. This compression helps improve the metal's damage tolerance, fatigue life and strength. “(Shot peening) has been done for decades,” he explained. “It's where you take a solid media, like glass beads or some kind of metal, and you hit the surface of an item – kind of like sandblasting. You just randomly throw it at the surface, and it creates all these surface dimples. What you get is a very inconsistent surface profile, because it's not controlled.” With laser shock peening, the process is very controlled, Crisp said. “They create a laser beam that's actually square, and the intensity is consistent across the entire laser beam – it's the exact same at the very edge of the beam as it is in the middle,” he said. “They come up with a grid pattern and stack the squares up right beside each other, so the entire surface of the part is completely uniform. You don't have the weak spots in between these areas that would then induce cracking later.” Jeter said he expects laser shock peening to be a main focus of the F-35 line for the next four to five years. Once the first two aircraft have undergone the validation and verification process, it will be a sprint to the finish to complete modifications on the remainder of the F-35B fleet that requires this treatment. “After that val/ver event, the aircraft will basically be nose-to-tail,” Crisp added. “We'll completely fill every aircraft stall that's here, and for the next five years, when one leaves another will come in. That's critical, because this process has to be done on every single airplane that requires it.” The workload does not include every F-35 ever produced, although it does include B and C models, and also encompasses F-35 aircraft owned by partner nations. FRCE will focus solely on the B variant, while Ogden Air Force Base in Utah will work on the F-35C models and take any F-35B overflow. After the first round of laser shock peening modifications, what comes after that is still to be determined, Crisp said. “I'm sure there will be some follow-on work,” he said. “And beyond the F-35 program, this is a little bit exciting, because this really is cutting-edge technology and we have it here at FRCE. I think maybe within the engineering community here, as people find out more about it, they may open additional discussions about how we could implement this on other aircraft lines. We might find a future capability we want to look at.” FRCE is North Carolina's largest maintenance, repair, overhaul and technical services provider, with more than 4,200 civilian, military and contract workers. Its annual revenue exceeds $720 million. The depot generates combat air power for America's Marines and Naval forces while serving as an integral part of the greater U.S. Navy; Naval Air Systems Command; and Commander, Fleet Readiness Centers. https://www.navy.mil/submit/display.asp?story_id=110618

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