13 septembre 2018 | International, Sécurité

EU eyes beefed-up coast guard to protect outside borders

By LORNE COOK | Associated Press

European Commission President Jean-Claude Juncker delivers his State of Union speech at the European Parliament in Strasbourg, eastern France, Wednesday, Sept.12, 2018. (AP Photo/Jean-Francois Badias)

BRUSSELS – European Commission President Jean-Claude Juncker on Wednesday unveiled new plans to beef up the EU's coast guard and asylum agency to better police Europe's outside borders and speed the deportation of unauthorized migrants.

The proposals come as EU nations bicker over who should take responsibility for people rescued in the Mediterranean Sea trying to seek better lives in Europe, even as the number of crossings has declined sharply this year.

"External borders must be protected more effectively," Juncker told EU lawmakers in Strasbourg, France, in a self-styled "state of the European Union" address.

He said the EU's executive Commission is proposing a standing corps for the border and coast guard agency numbering 10,000 staff, including guards and migration experts, to be up and running by 2020.

Juncker said the corps should be funded by some 2.2 billion euros in EU money from the bloc's next long-term budget.

But EU nations still have to endorse his plans. Beyond that, the Commission's idea of what the 2021-2027 budget should look like and what its priorities should be are certain to differ from that of member states.

Full article: http://www.foxnews.com/world/2018/09/12/eu-eyes-beefed-up-coast-guard-to-protect-outside-borders.amp.html

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    27 février 2020 | International, Terrestre

    Industrie : Lourds investissements chez Thales à Saint-Héand

    Par Stéphanie Gallo Triouleyre Créée par Pierre Angénieux en 1932, autour des zooms pour le cinéma et la télévision, puis rachetée en 1994 par le groupe Thales, l'entreprise de Saint-Héand dans la Loire réalise aujourd'hui 4/5e de sa production dans le secteur de la Défense. Elle vient justement de démarrer les livraisons de ses nouvelles jumelles de vision nocturne O-NYX à l'armée de Terre. Elle investit par ailleurs lourdement pour développer l'ensemble de ses activités. La Direction Générale des Armées avait notifié à Thales le marché des jumelles O-nyx fin 2017, la première livraison est intervenue il y a quelques semaines. Ces jumelles de vision nocturnes sont destinées à remplacer progressivement les jumelles Lucie qui équipaient jusqu'ici l'Armée de terre et qui étaient déjà fabriquées par Thales Saint-Héand (ex Thales Angénieux avant la réorganisation des sites Thales) dans la Loire. "Nous sommes partis d'un équipement dont nous disposions pour codévelopper avec la DGA et les utilisateurs. Nous sommes parvenus à des jumelles plus ergonomiques, plus légères (340 grammes NDLR) et plus performantes que celles qui équipent déjà les Forces Françaises", signale Delphine Cabaton, responsable commerciale du projet O-nyx. Plus de 3.500 paires ont d'ores et déjà été commandées. 15 000 unités sur 7 ans Le marché court sur 7 ans et devrait s'accompagner de 1 000 à 2 000 commandes par an, soit au total entre 10 000 et 15 000 équipements O-nyx fabriqués par le site ligérien du groupe Thales. Secret défense oblige, impossible de connaitre le montant du marché. En revanche, Bertrand Boismoreau, directeur d'établissement, souligne l'importance de cet accord : "Nous avons coutume de dire que lorsque l'Armée française investit un euro chez nous, la France gagne deux euros à l'export. L'Armée française a une réputation d'exigence absolue. Si elle commande chez nous, c'est un signal fort pour les armées du monde entier". Pour renforcer ses positions auprès de ce client de premier ordre, Thales Saint-Héand travaille d'ailleurs actuellement sur un appel d'offres de la DGA concernant de nouveaux équipements binoculaires. Elle avait déjà fourni depuis deux ans, 1 000 autres jumelles de vision nocturne aux forces spéciales et avait contribué depuis 10 ans au marché Félin (12.000 équipements de jumelles connectées). Des marchés conséquents à chaque fois et qui ont un impact sur le tissu économique régional puisque le site sous-traite 80% de la valeur de ses équipements. "La jumelle O-Nyx nécessite une douzaine de techniques de fabrication comme la plasturgie ou l'usinage mécanique. Nous nous basons pour cela sur l'expertise des PME locales", explique Benjamin Fournel, responsable d'industrialisation. Il cite par exemple Sagne, Modertech, HEF etc. A l'occasion du marché O-nyx, l'usine de Saint-Héand a décidé par ailleurs d'entrer plus fermement dans l'ère de l'industrie 4.0. Elle a ainsi développé des bancs de test, permettant notamment de caractériser la qualité optique de la jumelle. "Jusqu'ici, les opérateurs devaient vérifier la qualité de nos jumelles à l'oeil. C'est un travail fatigant et sujet à des variations de performance. Ces bancs de test automatisés permettent de simplifier le travail de nos collaborateurs et de fiabiliser la qualité de nos produits", se réjouit Benjamin Fournel. Le montant de l'investissement n'est pas communiqué. Croissance Thales ne communique pas non plus précisément sur les volumes d'activité de chacun de ses sites, mais Saint-Héand générerait un chiffre d'affaires de l'ordre de 100 millions d'euros, avec 350 salariés. C'est 20% et 50 personnes de plus qu'il y a deux ans. Le marché O-nyx contribue évidemment à cette progression mais Thales Angénieux se déploie par ailleurs sur d'autres sujets. Notamment sur les optiques cinéma, production historique pour laquelle elle est mondialement connue. Celle-ci représente aujourd'hui 20 à 25% de son activité. Plusieurs millions d'euros sont en train d'être investis par l'entreprise pour développer une nouvelle gamme d'optiques à focale fixe, marché sur lequel elle n'était pas, ou peu, présente jusqu'ici, privilégiant les zooms. "Les tournages de film nécessitent souvent des zooms et des focales fixes. D'autres acteurs étaient bien positionnés sur les focales fixes mais les nouveaux formats nous remettent sur la même ligne de départ. L'idée est de proposer aux cinéastes de pouvoir tourner l'intégralité de leurs films avec des produits Angénieux, avec en plus des fonctionnalités très différenciantes : nos appareils sont plus compacts, plus légers, avec des possibilités de personnalisation de filtres", expose le directeur d'établissement, Bertrand Boismoreau. Une gamme de 12 focales est en cours de préparation, sachant que "plusieurs millions d'euros d'investissement" sont nécessaires au développement de chacune des focales. Un investissement colossal donc mais qui devrait permettre à Thales Angénieux, sous 10 ans, de viser un marché complémentaire de 100 millions d'euros. Nouvelle ligne de production Enfin, le site ligérien va être encore renforcé dans les prochains mois. Le groupe Thales lui confie en effet la production de nouvelles caméras infrarouge pour le secteur de la Défense. Elles ont été codéveloppées avec un site parisien du groupe. Une nouvelle ligne de production est en cours d'installation. Elle sera inaugurée début avril. "Les investissements sont très lourds", signale Bertrand Boismoreau, sans pouvoir, là-encore, donner d'indication trop précise. A terme, "plusieurs dizaines de personnes" pourraient être recrutées pour assurer la production de ces nouvelles caméras, "en fonction de leur succès commercial". https://acteursdeleconomie.latribune.fr/strategie/2020-02-26/industrie-lourds-investissements-chez-thales-a-saint-heand-840652.html

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    5 octobre 2018 | International, C4ISR

    Army chooses Raytheon, Lockheed to mature new missile defense radars

    By: Jen Judson WASHINGTON — The U.S. Army has picked Raytheon and Lockheed Martin to continue on the path to develop a next-generation air and missile defense radar following a concept design phase that looked at four different companies' technology, according to company representatives. The Department of Defense Ordnance Technology Consortium awarded contracts to four companies to come up with designs to help inform the Army's requirements for the Patriot AMD radar replacement a year ago. Because of their previous involvement, it came as no shock both Raytheon and Lockheed received contracts for the Lower Tier Air-and-Missile Defense Sensor. Northrop Grumman and dark horse Technovative Applications, based in Brea, California, were also awarded contracts. Raytheon is the manufacturer of the legacy Patriot system, and Lockheed Martin spent years developing a system to replace Patriot, from which the Army ultimately walked away. That system — the Medium Extended Air Defense Systems — is still in development with Germany. After spending years debating when and how it would replace its current Patriot system's radar with one that can detect threats coming from any direction, the Army decided to hold a competition for a brand-new 360-degree, lower-tier AMD sensor in early 2017. Replacing the radar becomes evermore critical as the Army looks at dealing with different threats: ones that fly slower, faster or maneuver differently. According to the Army's Air and Missile Defense Cross-Functional Team lead, Brig. Gen. Randall McIntire, the service is trying to move quickly to procure a radar more capable than the current one; any future radar must fit into the future Integrated Air and Missile Defense framework. The AMD CFT is part of the Army's new four-star organization — Army Futures Command — tasked to get after the service's top six modernization priorities. AMD is fifth on that list ahead of soldier lethality and behind the network. Each priority has an assigned CFT to manage modernization efforts. The concept design contracts were given a period of performance of 15 months, so the downselect to Raytheon and Lockheed came slightly early. Congress has mandated that the Army by 2025 find a way to produce a 360-degree radar, accelerating the service's effort to bring something online. The Army will get a capable radar over time, McIntire told Defense News in an Oct. 1 interview, but it might be worth quickly fielding a radar and then building capability into the system over time. McIntire noted that while a 360-degree capability is a top priority, there might be some key performance parameters that rank higher such as more efficiency and better range. “We are proud to be selected as one of the companies to move forward to the Technical Maturation and Risk Reduction phase for the Lower Tier and Air Missile Defense Sensor that will provide the United States Army the ability to detect, identify, track and report aircraft and missiles,” a Lockheed spokesperson said in an Oct. 3 statement to Defense News. Raytheon spokesman Mike Nachshen told Defense News that the company is entering the technology-maturation and risk-reduction phase of the program with a brand-new radar, rather than an upgraded Patriot radar. The capability was designed from the ground up using gallium nitride technology and a staring array, rather than a rotating one, to provide constant 360-degree coverage, according to Nachshen. The company has its own GaN foundry. Raytheon expects to begin discussions with the Army over the next few weeks to determine how the radar's performance will be evaluated, the timeline of the phase and how much the Army plans to invest. https://www.defensenews.com/land/2018/10/04/army-chooses-raytheon-lockheed-to-mature-new-missile-defense-radars

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