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    «Le fonds européen de défense: quelles perspectives?». La tribune libre de Bruno Alomar

    Bruno Alomar Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale, pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027 Parent pauvre de la construction européenne depuis l'échec de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954, le projet d'Europe de la défense a connu, au moins dans les intentions, une accélération spectaculaire au cours des deux dernières années. Se est ainsi succédé la création en décembre 2017 d'une Coopération structurée permanente (CSP) regroupant 25 Etats, puis l'Initiative européenne d'intervention (IEI) en juin 2018. Se profile désormais la création d'un Fonds européen de défense de 13 milliards d'euros en capacité initiale (devant monter in fine à 20 milliards), pour lequel le Parlement européen s'est solennellement prononcé en avril, et qui devrait être confirmé lors de l'adoption des prochaines perspectives financières 2021-2027. La prochaine Commission européenne, pourrait même voir la création d'un poste de Commissaire européen à la défense, avec une Direction générale dédiée. Disons-le tout net : il n'est que temps que les Européens, adeptes du « doux commerce » et du soft power, prennent conscience de la dangerosité du monde et de leur fragilité dans le domaine militaire ! Il n'est que temps de dissiper l'illusion qui a prévalu depuis 1989, celle des « dividendes de la paix », d'un monde irénique structuré autour des seules questions économiques. Pourtant, alors que dans les mots l'idée d'une Europe de la défense progresse, d'autres mots indiquent d'autres réalités. Ainsi, les Sous-secrétaires d'Etat américains à la défense, Ellen Lord, et au département d'Etat, Andrea Thompson, ont adressé une lettre au Haut Représentant de l'Union européenne, Mme Mogherini, en date du 1er mai, qui ne déguise par le mépris dans lequel l'Amérique tient les timides efforts européens en la matière. Dans cette lettre, les autorités américaines rappellent que si la création d'un Fonds européen de défense est de la responsabilité des Européens, il va de soi que ceci ne saurait compromettre les relations qui existent au sein de l'OTAN. Le tropisme américain, Donald Trump n'ayant rien inventé si ce n'est une brutalité inédite sur la forme, demeure : « Européens, si vous voulez être protégés, achetez américain ; sinon gare ! » Sécurité. Rien de nouveau dira-t-on : hormis le Royaume-Uni et la France, puissances nucléaires indépendantes, tous les autres pays européens sont redevables à l'Amérique pour leur sécurité. C'est bien la raison pour laquelle ces Etats se fournissent avec zèle en matériel militaire américain, le dernier exemple en date étant le choix du F 35 par la très europhile Belgique, destinés d'ailleurs à remplacer les F-16 américains. C'est, plus encore, l'une des raisons essentielles pour lesquelles, face à une Russie redevenue menaçante, les pays scandinaves et baltes, avec le soutien silencieux de Berlin, mettent systématiquement en échec toute perspective d'approfondissement de l'Union européenne ou d'inflexion commerciale qui pourrait indisposer Washington. Dans un tel contexte, qu'il soit tout de même permis de formuler quelques orientations pour le futur Fonds européen de défense. Car, au-delà des intentions, c'est dans le détail que son succès au service de la sécurité des européens se jouera. Premièrement, la préférence européenne. N'en déplaise à nos alliés américains, si les européens, auxquels Washington reproche tant – à juste titre – de consacrer insuffisamment de ressources à leur défense, mobilisent des fonds, ceux-ci doivent à l'évidence être entièrement consacrés à la fortification d'une base industrielle et technologique de défense (BITD) européenne, d'autant plus fragile qu'elle est sous pression des industriels américains. Le programme F-35 a d'ailleurs réussi son pari industriel : assécher la R&D des entreprises européennes partenaires comme BAE ou Leonardo. C'est non seulement une question de crédibilité militaire pour les Européens. C'est aussi, si l'on tient compte du rôle essentiel des industries de défense en matière d'innovation au service de toute l'économie, une condition essentielle de restauration de leur base industrielle et de renforcement de leur compétitivité, le tout sur fond de rachat forcené de certains acteurs par leurs concurrents américains (Santa Barbara, Mowag, etc.). Deuxièmement, au moment où les conditions exactes de création et de gestion du Fonds sont débattues, il est essentiel, dans l'intérêt des Européens, de fixer clairement les responsabilités de chacun. Aux instances européennes de centraliser les projets, d'en évaluer l'intérêt, et d'apporter une « plus-value » communautaire. Ensuite, ce sont les Etats, et les Etats seuls, qui doivent gérer les fonds dégagés en coopération avec industriels. Mais rien ne serait pire que les institutions européennes, dont l'ADN est le libre marché et la compétence en matière de défense inexistante, prétendent se substituer au choix et à la décision finale des Etats membres, seuls comptables de leur souveraineté devant leur peuple. Bruno Alomar, auditeur de la 68 em session « politique de défense » de l'iHEDN et de la 25 em promotion de l'Ecole de Guerre. https://www.lopinion.fr/edition/international/fonds-europeen-defense-quelles-perspectives-tribune-libre-bruno-alomar-188032

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