4 avril 2023 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité, Autre défense

DEUX SÉRIES DE 4 PROGRAMMES DE FORMATION ET D’ACCOMPAGNEMENT POUR LES MARCHÉS DE LA DÉFENSE

INITIATIVE DIVERSIFICATION SÉCURITÉ DÉFENSE QUÉBEC – HORIZON 2026

GRÂCE AU SOUTIEN FINANCIER DU GOUVERNEMENT DU QUÉBEC, AÉRO MONTRÉAL VOUS DONNE L’OPPORTUNITÉ DE PARTICIPER À UN PROGRAMME DE FORMATION ET D’ACCOMPAGNE MENT VISANT 4 MARCHÉS DU SECTEUR DE LA DÉFENSE ET DE LA SÉCURITÉ.

Ce programme vous offre une bonne compréhension du marché d’intérêt et vous permettra de mieux naviguer la règlementation, mieux comprendre les barrières à l’entrée, et vous offre des solutions pour y accéder. L’accompagnement suivant la formation est offert par des experts en la matière et vous permet une identification des opportunités d’affaires et une mise en relation avec les bonnes entreprises.

Pour plus de détails et pour s'inscrire, consulter le document ci-joint.

Sur le même sujet

  • Lettre de mandat du ministre de la Défense nationale

    16 décembre 2019 | Local, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

    Lettre de mandat du ministre de la Défense nationale

    Monsieur le ministre : Merci d'avoir accepté de servir les Canadiens à titre de ministre de la Défense nationale. Le jour de l'élection, les Canadiens ont choisi de continuer d'avancer. D'un océan à l'autre, les gens ont choisi d'investir dans leurs familles et leurs communautés, de créer de bons emplois pour la classe moyenne et de lutter contre les changements climatiques, tout en maintenant la vigueur et la croissance de notre économie. Les Canadiens ont indiqué qu'ils veulent nous voir travailler ensemble pour faire avancer les dossiers les plus importants, qu'il s'agisse de rendre la vie plus abordable et de renforcer le système de santé, de protéger l'environnement, d'assurer la sécurité de nos communautés ou d'avancer sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones. Les gens s'attendent à ce que les parlementaires travaillent ensemble pour obtenir ces résultats, et c'est exactement ce que fera cette équipe. Il est plus important que jamais pour les Canadiens d'unir leurs forces en vue de b'tir un pays plus fort, plus inclusif et plus résilient. Le gouvernement du Canada est l'institution centrale chargée de promouvoir cet objectif commun et, en tant que ministre de ce gouvernement, vous avez l'obligation et la responsabilité de contribuer à l'atteinte de cet objectif. Pour y arriver, il faut d'abord s'engager à gouverner d'une manière positive, ouverte et collaborative. Notre plateforme, Avancer : Un plan concret pour la classe moyenne, est le point de départ de notre gouvernement. Je m'attends à ce que nous collaborions avec le Parlement pour donner suite à nos engagements. D'autres questions et idées surgiront ou nous seront communiquées par les Canadiens, le Parlement, les intervenants et la fonction publique. Je m'attends à ce que vous établissiez un dialogue constructif et réfléchi et à ce que vous ajoutiez, au besoin, des priorités au programme du gouvernement. Lorsqu'une mesure législative est requise, vous devrez travailler avec le leader du gouvernement à la Chambre des communes et le Comité du Cabinet chargé des opérations pour établir les priorités au sein du Parlement minoritaire. Nous continuerons d'obtenir des résultats concrets pour les Canadiens et de mettre à leur disposition un gouvernement efficace. Pour obtenir les résultats que les Canadiens exigent de nous à juste titre, nous devons effectuer un suivi des progrès réalisés par rapport à nos engagements et produire des rapports publics connexes, évaluer l'efficacité de notre travail, aligner nos ressources sur nos priorités et nous adapter aux événements à mesure qu'ils se produisent. Bon nombre de nos engagements les plus importants nécessitent un partenariat avec les gouvernements provinciaux et territoriaux et les administrations municipales ainsi qu'avec les partenaires, les communautés et les gouvernements autochtones. Même en cas de désaccord, nous garderons à l'esprit que notre mandat nous a été confié par les citoyens qui sont servis par tous les ordres de gouvernement et qu'il est dans l'intérêt de tous de travailler ensemble pour trouver un terrain d'entente. La vice-première ministre et ministre des Affaires intergouvernementales est la responsable de toutes les relations avec les provinces et les territoires à l'échelle du gouvernement. Il n'y a pas de relation plus importante pour moi et pour le Canada que celle que nous entretenons avec les peuples autochtones. Au cours de notre dernier mandat, nous avons réalisé des progrès considérables en ce qui concerne l'appui à l'autodétermination, l'amélioration de la prestation des services et la progression de la réconciliation. Je vous demande, en tant que ministre, de déterminer ce que vous pouvez faire dans le cadre de votre portefeuille pour accélérer et renforcer les progrès que nous avons réalisés avec les Premières Nations, les Inuits et la Nation des Métis. Je m'attends également à ce que nous continuions de relever la barre en matière d'ouverture, d'efficacité et de transparence au sein du gouvernement. Autrement dit, je veux que notre gouvernement soit intrinsèquement ouvert et qu'il soit capable d'offrir une meilleure capacité numérique et de meilleurs services numériques aux Canadiens. Notre fonction publique doit être forte et résiliente. Nous devons aussi faire preuve d'humilité et continuer à reconnaître nos erreurs lorsque nous les commettons. Les Canadiens n'exigent pas de nous que nous soyons parfaits; ils s'attendent à ce que nous soyons diligents, honnêtes, ouverts et sincères dans nos efforts pour servir l'intérêt public. En tant que ministre, vous êtes responsable de votre style de leadership et de votre capacité à travailler de façon constructive au Parlement. Je m'attends à ce que vous collaboriez de près avec vos collègues du Cabinet et du caucus. Vous devrez également établir un dialogue productif avec les membres du caucus du gouvernement et les députés de l'opposition, le Sénat, qui est de moins en moins partisan, et les comités parlementaires. Il est également de votre responsabilité d'engager un dialogue fructueux avec les Canadiens, la société civile et les intervenants, y compris les entreprises de toutes tailles, les syndicats, le secteur public en général ainsi que les organismes de bienfaisance ou à but non lucratif. Vous devrez agir de manière proactive pour solliciter des conseils auprès d'un grand nombre de personnes, et ce, dans les deux langues officielles et dans toutes les régions du pays. Nous nous sommes engagés à prendre des décisions fondées sur des données probantes qui tiennent compte des répercussions des politiques sur tous les Canadiens et qui respectent pleinement la Charte canadienne des droits et libertés. Les décisions que vous prendrez devront s'appuyer sur l'analyse comparative entre les sexes plus (ACS+). Il est essentiel que vous mainteniez des relations professionnelles et régulières avec les médias canadiens, qui jouent un rôle crucial. La Tribune de la presse parlementaire et, en fait, tous les journalistes canadiens et étrangers, posent des questions pertinentes et contribuent grandement au processus démocratique. Vous devrez aider le gouvernement à continuer d'honorer son engagement à faire des nominations transparentes et fondées sur le mérite, pour veiller à ce que les personnes de toutes les identités de genre, les peuples autochtones, les personnes racialisées, les personnes handicapées et les minorités soient représentés dans les postes de direction. En tant que de ministre de la Défense nationale, vous continuerez de veiller à ce que les Forces armées canadiennes forment une force militaire agile, polyvalente et apte au combat, composée de femmes et d'hommes hautement formés et bien équipés, qui ont l'appui de leur gouvernement et de leurs concitoyens. Cette responsabilité se fonde dans la mise en œuvre de Protection, Sécurité, Engagement: la politique de défense du Canada. Je m'attends à ce que vous travailliez avec vos collègues et dans le respect des lois, règlements et processus du Cabinet établis pour mener à bien vos grandes priorités. Notamment, vous devrez: Veiller à ce que les Forces armées canadiennes disposent des capacités et de l'équipement nécessaires pour s'acquitter de leurs responsabilités par la mise en œuvre du programme Protection, Sécurité, Engagement, y compris les nouvelles acquisitions et les augmentations de financement prévues. Renforcer l'engagement du Canada envers nos partenariats de défense bilatéraux et multilatéraux afin de défendre la souveraineté du Canada, de protéger l'Amérique du Nord et de rehausser la sécurité internationale : Travailler avec le ministre des Affaires étrangères pour veiller à ce que tout déploiement des Forces armées canadiennes soit conforme à l'intérêt national du Canada, à nos engagements multilatéraux et aux objectifs stratégiques du gouvernement; Poursuivre l'importante contribution du Canada à l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et travailler avec les États-Unis pour veiller à ce que le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) soit modernisé afin de surmonter les défis actuels et à venir, conformément à la politique de défense Protection, Sécurité, Engagement; Collaborer avec le ministre des Affaires étrangères pour accroître l'appui du Canada aux opérations de maintien de la paix des Nations Unies, notamment en ce qui a trait aux nouveaux investissements dans le programme pour les femmes, la paix et la sécurité, la prévention des conflits et la consolidation de la paix; Assurer l'efficacité des déploiements des Forces armées canadiennes, y compris dans le cadre de l'opération IMPACT au Moyen-Orient, de l'opération NEON dans la région de l'Asie-Pacifique, de la présence avancée renforcée de l'OTAN en Lettonie, de la mission de l'OTAN en Irak et de l'opération UNIFIER en Ukraine; Élargir le rôle d'assistance et de formation du Canada, notamment en tirant profit de l'expertise des Forces armées canadiennes pour aider d'autres pays exposés à un risque plus élevé de catastrophes liées aux changements climatiques. Collaborer avec la ministre des Services publics et de l'Approvisionnement dans la gestion du processus concurrentiel pour choisir un fournisseur et conclure un contrat pour la construction de la flotte d'avions chasseurs du Canada. Collaborer avec la ministre des Services publics et de l'Approvisionnement pour poursuivre le renouvellement de la flotte de la Marine royale canadienne, afin de poursuivre la revitalisation de l'industrie de la construction navale au Canada, créer des emplois pour la classe moyenne et assurer que la Marine du Canada dispose des navires modernes dont elle a besoin. Appuyer la ministre des Services publics et de l'Approvisionnement dans l'élaboration d'options et d'analyses par rapport à la création d'Approvisionnement de défense Canada, afin de veiller à ce que les projets d'approvisionnement les plus importants et les plus complexes pour la Défense nationale et la Garde côtière canadienne soient livrés à temps et de manière plus transparente à l'égard du Parlement. Cette priorité doit progresser en même temps que les projets d'approvisionnement en cours et dans le respect des échéanciers établis. Comme le prévoit le Cadre stratégique pour l'Arctique et le Nord, collaborer avec le ministre des Affaires étrangères, le ministre des Affaires du Nord et nos partenaires pour augmenter les capacités de surveillance (notamment le renouvellement du Système d'alerte du Nord) de défense et d'intervention rapide dans le Nord et dans les zones d'approche maritimes et aériennes du Canada afin de renforcer la défense continentale, protéger les droits et la souveraineté du Canada, et faire preuve d'un leadership international relativement à l'utilisation et aux règles de navigation dans les eaux de l'Arctique. Continuer d'améliorer le soutien aux membres des Forces armées canadiennes et assurer un milieu de travail professionnel et inclusif qui favorise la diversité : Collaborer avec les haut gradés des Forces armées canadiennes afin d'établir et de maintenir un milieu de travail exempt de harcèlement et de discrimination; Créer une nouvelle prestation libre d'impôt de 2 500 $, destinée aux familles militaires qui doivent déménager afin de couvrir les coûts associés au renouvellement de la formation, de l'accréditation et des autres coûts liés à la recherche d'un nouvel emploi; Faire augmenter à 25 % la proportion de femmes parmi les membres des Forces armées canadiennes d'ici à 2026. Avec l'appui du ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, mettre en place un nouveau cadre régissant la collecte, la gestion et l'utilisation des renseignements de défense par le Canada, comme le recommande le Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement. Collaborer avec le ministre des Anciens Combattants et ministre associé de la Défense nationale pour renforcer les partenariats entre le ministère de la Défense nationale et Anciens Combattants Canada afin de revoir la prestation des services et réduire la complexité. Ces priorités sont largement tirées des engagements pris dans notre plateforme électorale. Comme je l'ai déjà mentionné, je vous encourage à chercher des occasions de travailler avec tous les membres du Parlement pour donner suite à ces engagements et cerner d'autres priorités. Je m'attends à ce que vous travailliez en étroite collaboration avec votre sous‑ministre et ses cadres supérieurs pour veiller à ce que les travaux en cours dans votre ministère soient effectués de manière professionnelle et que les décisions soient prises dans l'intérêt public. Votre sous-ministre vous informera des nombreuses décisions quotidiennes nécessaires pour assurer la réalisation de vos priorités, le bon fonctionnement du gouvernement et la prestation de meilleurs services aux Canadiens. Je m'attends à ce que vous mettiez en pratique nos valeurs et nos principes dans la prise de décisions, afin que ces décisions soient prises en temps opportun, de manière responsable et conformément à l'orientation globale de notre gouvernement. Pour que notre gouvernement puisse donner suite à ses priorités, il doit tenir compte des conseils professionnels et non partisans des fonctionnaires. Chaque fois qu'un employé du gouvernement se présente au travail, il le fait au service du Canada, dans le but d'améliorer notre pays et la vie de tous les Canadiens. Je m'attends à ce que vous établissiez une relation de travail basée sur la collaboration avec votre sous‑ministre, dont le rôle, tout comme celui des fonctionnaires sous sa direction, est de vous appuyer dans la réalisation de vos responsabilités ministérielles. Nous nous sommes engagés à être un gouvernement transparent, honnête et redevable envers les Canadiens; un gouvernement qui respecte les normes d'éthique les plus rigoureuses, qui porte une attention soutenue à la gestion des fonds publics et observe la plus grande prudence dans ce domaine. Je m'attends à ce que vous incarniez ces valeurs dans votre travail et que vous ayez une conduite éthique irréprochable dans tout ce que vous faites. Je veux que les Canadiens regardent leur gouvernement avec fierté et confiance. À titre de ministre, vous devez vous assurer que vous connaissez bien la Loi sur les conflits d'intérêts et les politiques et lignes directrices du Conseil du Trésor, et que vous les respectez à la lettre. Vous recevrez une copie du document Pour un gouvernement ouvert et responsable afin de vous aider à mener à bien vos responsabilités. Je vous demande de le lire attentivement, y compris les parties qui ont été ajoutées pour le renforcer, et de vous assurer que les membres de votre personnel en prennent connaissance également. Je m'attends à ce que vous embauchiez des personnes qui reflètent la diversité du Canada et à ce que vous respectiez les principes de l'égalité entre les sexes, de l'égalité des personnes handicapées, de l'équité salariale et de l'inclusion. Portez une attention particulière au code d'éthique qui figure à l'annexe A de ce document. Ce code d'éthique s'applique à vous et à vos employés. Comme il est indiqué dans le code, vous devez observer les normes les plus élevées en matière d'honnêteté et d'impartialité, et l'accomplissement de vos t'ches dans le cadre de vos fonctions officielles de même que l'organisation de vos affaires privées devraient pouvoir faire l'objet d'un examen public scrupuleux. On ne s'acquitte pas de cette obligation simplement en se contentant de respecter la loi. Je souligne qu'il est de votre responsabilité de faire en sorte que votre cabinet respecte les normes les plus élevées en matière de professionnalisme et qu'il constitue un milieu de travail sûr, respectueux, enrichissant et accueillant pour votre personnel. Je sais que je peux compter sur vous pour exercer ces importantes responsabilités. La vice-première ministre et moi-même sommes là pour vous appuyer dans votre rôle de ministre, et je m'attends à ce que vous communiquiez régulièrement avec nous. Veuillez agréer, cher collègue, l'expression de mes sentiments distingués. Le très hon. Justin Trudeau, c.p., député Premier ministre du Canada *Cette lettre de mandat a été signée par le premier ministre dans la première langue officielle du ministre. https://pm.gc.ca/fr/lettres-de-mandat/lettre-de-mandat-du-ministre-de-la-defense-nationale

  • ITEC 2018: RCAF looks to the future

    14 mai 2018 | Local, Aérospatial

    ITEC 2018: RCAF looks to the future

    Trevor Nash Following an industry ‘engagement session' in Ottawa on 2 May, the Royal Canadian Air Force (RCAF) has provided additional information to industry about its Future Aircrew Training (FAcT) requirement. Like many air forces around the world, the RCAF is looking at methods to both streamline and reduce the costs of producing aircrew, pilots, Air Combat Systems Officers (ACSO) and Airborne Electronic Sensor Operators (AES Op). The RCAF's preference is to opt for a training service provision model that is generated by one or more commercial contractors. At present, pilot training is conducted through two services contracts known as NATO Flying Training in Canada (NFTC) and Contracted Flying Training and Support (CFTS). These two contracts include classroom instruction, simulator training and flight training. These have been independently provided by CAE and KF Aerospace respectively however, these companies have recently combined their efforts to form a new 50:50 joint venture company named SkyAlyne that will now service both requirements. Although NFTC and CFTS training has been provided by industry, ACSO/AES Op training is delivered by 402 Squadron in Winnipeg using only DND personnel and equipment. Flying training is undertaken on the CT-142 (Dash-8) aircraft. These aircraft are approaching their end of life date and the ground training system that supports them is also old and needs replacing. According to the RCAF document issued prior to the industry engagement session: ‘The confluence of concluding pilot training service contracts, the need for revitalisation of the ACSO and AES Op training system, and the significant overlap of core knowledge and skills between these three occupations provide the opportunity to streamline key elements of aircrew training. ‘This approach will realise efficiencies in not only training time and cost, but also in training methodologies and incorporation of modern and evolving technologies. Additionally, the synthetic training environment will be leveraged to the greatest extent possible to maintain an aircrew training system that will remain relevant into the middle of the century. ‘It is essential that continuity of aircrew training be maintained throughout the transition.' Like most military procurements, FAcT has been a long time in the making with the first RFI issued in September 2013. If all goes well, contract award is scheduled for 2021 with a ramp-up during which ‘partial FAcT operations begin' during 2021-23. Full operating capability is not expected until 2027. Numerous companies have expressed interest including Boeing and Lockheed Martin as well of course, as SkyAlyne. The incumbent Canadian providers would appear to be in a strong position after pooling their resources. https://www.shephardmedia.com/news/training-simulation/itec-2018-rcaf-looks-future/

  • Trouble with transitions

    1 août 2018 | Local, Aérospatial

    Trouble with transitions

    Posted on August 1, 2018 by Chris Thatcher Forgive BGen Michel Lalumiere if he begins to sound like a broken record. But his answer to any question about Air Force development and new capabilities–a new information network, fifth-generation fighter jet data fusion, remotely-piloted aircraft surveillance systems, enhanced search and rescue sensors, or the future of anti-submarine warfare systems–always begins with one word: people. The Liberal government's defence policy of 2017 put some much-needed funding and a “lot of clarity” behind a lengthy list of Royal Canadian Air Force (RCAF) major and minor capital projects, everything from space-based maritime domain awareness and satellite communications, to air-to-air refuelling tankers, multi-mission aircraft and modernized helicopters. But in an Air Force of just over 15,000 personnel, military and civilians, the transition from a legacy aircraft to a new one–or even the modernization of an existing platform with improved systems–can quickly strain the training and operational squadrons. Temporarily surging a capability as the RCAF did with unmanned aerial systems in Afghanistan is one thing; sustaining it for a longer period is another. And as much as Lalumiere, the director general of Air Force Development, might wish to hit a pause button to allow aircrews, maintainers and logistics specialists the time to bring a new platform into service, the reality is that RCAF Wings have never been busier. And ensuring a level of high readiness for operations trumps all. So, the first question when weighing the merits of any acquisition or upgrade project, which average around seven years to complete, is always the same: How will it impact people? Automation and artificial intelligence may one day lighten the workload, but for now every platform, even unmanned systems, remains people intensive. Any transition fraught with additional personnel requirements presents a problem. “It's always about people because we're definitely not that automated yet,” Lalumiere told RCAF Today in a recent wide-ranging interview. “We think about people first ... and we have to prepare well in advance for all of these transitions.” The RCAF views existing platforms and acquisition projects through a lens of AIR Power: Agility, integration, reach and power. That translates as an ability to perform a variety of missions with a single platform over great distance while integrating seamlessly with allies, other agencies and sister services. But it equally applies to maintenance, logistics, procurement, data architecture, information management, and other enabling systems–even government policy. An advanced fighter jet will not achieve its expected performance if what the military calls key “enablers” and supporting systems are not equally advanced. “What does it mean to build a fifth-generation air force? It quickly goes beyond the fighters,” acknowledged Lalumiere. “A lot of what the fighter needs to operate at that level actually comes from the rest of the Air Force. It's a very fundamental question from an organization perspective, because it means important investment: People and money. We think money is the hard part; it's actually people.” Daunting as that might seem, the Air Force has been here before, he noted. In previous eras of change, it has made decisions about the capabilities in which it would invest. “We have tough choices to make,” he said about the list of projects. “But we don't have all the capabilities today that we might have described a decade or 20 years ago because we [recognized] we would have to pick and choose.” Future Aircrew Training Near the top of the project list is Future Aircrew Training (FAcT), a program that has evolved in recent years to encompass not only pilot training but also air combat systems officers (ACSO) and airborne electronic sensor operators (AESOPs). Pilot training is currently delivered under two contracted programs, NATO Flying Training in Canada (NFTC) and Contracted Flying Training and Support (CFTS), while ACSOs and AESOPs are developed at 402 Squadron at 17 Wing Winnipeg, Man. NFTC and CFTS are scheduled to phase out in 2023 and 2027, respectively. Incorporating ACSOs and AESOps under the same umbrella as pilot training is a way to better manage available training aircraft, instructors and course standards, and recognition that the current practice of integrating the three trades at the operational training unit is too late in the process and needs to begin much earlier, Lalumiere explained. The RCAF has sought information from industry at regular intervals since 2013 on how the program should be structured and delivered. In early May, the government hosted a multi-day session with companies to brief on the planned procurement approach, key milestones and core requirements, and hold one-on-one meetings. One of the objectives, said Lalumiere, is to capitalize on the experience companies have gained in recent years providing training services in Canada and globally. Many are now able to offer solutions that weren't possible when the RCAF first initiated discussions almost a decade ago about future aircrew training. Of note, CAE and KF Aerospace, the two prime contractors for NFTC and CFTS, in May announced a joint venture called SkyAlyne to develop and deliver military aircrew training in Canada. While the two companies continue to manage the existing programs, the joint venture will focus on building synergies between them. Among the FAcT requirements is an increase in the throughput of all three trades. But that will create a demand for more trainers. Aircrew training today is primarily provided by serving qualified flight instructors, but the door is open for a greater mix of military and contracted instruction, he said. The RCAF is also seeking input from industry on the location and quantity of training centres and possible consolidation. To aid industry with their eventual proposals, “we have a few studies ongoing that try to describe the airspace capacity over those training areas and what we can do within that,” added Lalumiere. But what concerns him most is the transition phase. “All of this will have to be seamless,” he said, noting that both the legacy and new programs might overlap at the same locations for a period, again creating a huge demand on people. Strategic Tanker Transport Capability The RCAF had also planned to hold off on a decision on the next air-to-air refuelling tanker until after the next fighter jet was announced. However, as most replacement contenders are capable of fuelling whichever aircraft is acquired and could interoperate easily with allies, the STTC project is now a higher priority. One of the reasons for that is the lack of agility with the five CC-150 Polaris aircraft. Just two are fitted for tanking and both are probe and drogue; two more provide passenger and cargo transport, and the fifth is fitted for strategic government transport. A recent report prepared for the RCAF on the health of the Polaris found the “fleet is doing well, but the [aircraft are] not interchangeable,” said Lalumiere. That lack of agility and interoperability with allies is driving requirements for both boom and probe and drogue refuelling systems, and for greater sensor and network interoperability. The RCAF plans to retire its four H-model CC-130 Hercules tankers, operated by 435 Transport and Rescue Squadron at 17 Wing Winnipeg, in 2020/2021. So, whether the CC-150 replacement requires five, six or more aircraft remains to be seen. To address Lalumiere's perpetual people challenge, the Air Force would like a jet with the endurance to reach any destination on one fuel stop, though he said a market analysis would inform what's possible. “If we do two [or] three fuel stops, and my crew day is actually over after one fuel stop, we need to put split crews at these stops,” he observed. “We need to be more effective.” Canadian Multi-Mission Aircraft Arguably one of the more captivating projects on the Air Force Development list is CMMA. Originally billed as a replacement program for the CP-140M Aurora long range patrol aircraft, Air Force officials have now indicated the eventual solution could be a mix of aircraft. Recently retired RCAF commander LGen Mike Hood spoke often at public events and in interviews of transferring much of the world-leading ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance) and anti-submarine warfare technology on the Aurora to a Bombardier-built platform. But at an industry outlook in April, officials suggested rather than a one-for-one platform replacement, CMMA could be a mix of manned and unmanned aircraft. “It's been pretty amazing what has been accomplished with the CP-140,” said Lalumiere. But “I think the [future] challenges will be of such a magnitude that we will have to come to them with a holistic set of capabilities.” Rather than a single project with a start and finish date, he said the more likely scenario is a rolling introduction of platforms and systems with open architecture to match the pace of technology. “We can phase in what we need when it's ready and we can continue phasing in as the next capabilities become ready.” Remotely-Piloted Aircraft System Once known as the Joint Unmanned Surveillance Target Acquisition System, or JUSTAS, the project to acquire a remotely piloted aircraft (RPAS) now has a more accessible name. But the requirements remain largely the same. Today, though, industry is better equipped to meet them. Lalumiere believes the market has evolved since the RCAF first stood up a project office in 2005 to look at a medium altitude, long endurance unmanned capability, to the point where challenges such as operating in unsegregated air space, that once seemed “like mountains,” have now been largely resolved. But the personnel requirements posed by unmanned systems loom large. Managing the data processing, exploitation and dissemination (PED) generated by the sensor suite in a long range and long endurance capability–which is the true force multiplier aspect, he noted–requires a sizeable force. “This will be the keystone project that will initiate the delivery of a sustainable PED capability by the RCAF,” he said. “[My staff] have not agreed on how many trades they've been describing to me, but I know we are already into double digits,” he added of the number of people required to stand up a squadron and sustain the capability, including the distribution of data, from a main operating base and forward locations in Canada and on international missions. One key question still to be answered is whether the RPAS solution is one platform capable of ISR and target acquisition and strike missions, or two with distinct domestic and expeditionary configurations and payloads. “The analysis work is looking at that,” he said. But whatever is acquired must be interoperable and able to share data with 5 Eyes (Canada, U.S., U.K, Australia and New Zealand), NATO and coalition allies, a process that likely has defence policy implications, he added. Griffon Limited Life Extension Replacement of the CH-146 Griffon may provide the next major helicopter procurement opportunity for industry–and with some intriguing possibilities. The RCAF, National Defence and Bell have been closely monitoring the structure of the 20-year-old utility helicopter and believe it can continue to perform “yeoman's work” in conflict zones from Afghanistan to Haiti, Iraq and Mali until the early 2030s with a limited life extension. The project would address several obsolescence issues with avionics and other onboard systems, meet new regulatory requirements, and improve connectivity. But the RCAF is also looking beyond 2030 to the eventual replacement. Like CMMA, the eventual solution might not be a single aircraft but rather a “tactical system,” observed Lalumiere, with the agility, integrated weapons and sensors, satellite connectivity, and endurance to fulfill a range of roles from escort and transport to close air support and perhaps attack. “Is it going to be only one aircraft or is it becoming a system? I'm going to be fascinated by the answer.” Fixed-Wing Search and Rescue With a new search and rescue airplane selected in the Airbus CC-295W, the RCAF has completed one of the lengthier procurement processes and is now into delivery of the first aircraft in 2019 and construction of a new search and rescue training centre at 19 Wing Comox. Though the CC-295W is expected to be a game-changing capability, its entry into service underscores Lalumiere's people management challenges. SAR is a 24/7, year-round, high-readiness service that can't be disrupted. Yet over the next few years, fixed-wing and rotary-wing aircrew training, new simulators, the Canadian Forces School of Search and Rescue, and training provided to CC-130H crews in Trenton will all be consolidated into a single, effective and holistic schoolhouse. “Part of the decision to acquire the CC-295W was also the retirement of the H model Hercs, including the tanker models,” he explained. “The plan is to transition [those aircrews] to FWSAR,” allowing the RCAF to maintain a high-readiness posture while simultaneously undergoing training on the new and upgraded aircraft. “These crews will help us achieve that success.” TIC3 Air Underpinning the success of many of these new and pending platforms is a little-known project called Tactical Integrated Command, Control, Communications – Air (TIC3-Air). Historically, the RCAF has purpose-built its data links for each expeditionary operation or domestic exercise, forming ad hoc networks to move, process and access the data generated by aircraft mission systems and payload sensors. TIC3 Air aims to build a more durable information highway, including establishing permanent Link-16 ground entry stations at locations across Canada. The project also involves modernized traffic management and air defence radios and cryptography. The challenge, said Lalumiere, is that no sooner has the project team defined a capability then the technology improves and “new needs start to surface.” TIC 3 Air will “clean up” and optimize the various systems, he said, but it, too, will draw significantly on RCAF professional personnel at its core for success. “We will ensure that this capability will be integrated in the larger enterprise ground IT infrastructure supporting the [Canadian Armed Forces]. This remains a key priority in the Information Management Group.” https://www.skiesmag.com/features/trouble-with-transitions/

Toutes les nouvelles