7 novembre 2018 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

DARPA Names Potential Sites for Launch Challenge, Eighteen Teams Prequalify

Teams focus on qualification phase in challenge aimed at launching small payloads on short notice

OUTREACH@DARPA.MIL

11/6/2018

DARPA has narrowed the potential launch locations for the DARPA Launch Challenge to eight, with options for both vertical and horizontal launch. The challenge will culminate in late 2019 with two separate launches to low Earth orbit within weeks of each other from two different sites. Competitors will receive information about the final launch sites, payloads, and targeted orbit in the weeks prior to each launch.

The potential sites are spread across the United States:

  • California Spaceport, Vandenberg Air Force Base
  • Cape Canaveral Spaceport, Florida
  • Cecil Spaceport, Jacksonville, Florida
  • Mid-Atlantic Regional Spaceport, Wallops Island, Virginia
  • Mojave Air and Space Port, California
  • Naval Outlying Field, San Nicolas Island, California
  • Pacific Spaceport Complex Alaska, Kodiak
  • Spaceport America, Truth or Consequences, New Mexico

Eighteen teams have prequalified to participate in the challenge, passing the first hurdle in the milestone process by proposing a viable solution for flexible and responsive launch. The diverse pool of applicants reflects the growth of the small commercial launch industry, and its potential to support emerging national security needs.

“Response from teams with different ways of achieving flexible and responsive launch solutions on short notice has been tremendous,” said Todd Master, program manager for the Launch Challenge in DARPA's Tactical Technology Office. “The different approaches to technologies used, launch requirements, fuel use, and teaming are a testament to the evolving space community.”

To successfully pass the qualification phase, potential competitors must complete three discrete applications. Potential competitors submitted pre-qualification applications in mid-October, and the DARPA Launch Challenge application is due by Nov. 30. Teams also must submit and receive acceptance of an FAA license application by Feb. 1, 2019.

The complexity of commercial space transportation regulations can present challenges for both new and experienced applicants. Teams are encouraged to consult with the FAA well in advance of submitting a launch license application to reduce programmatic risk by identifying and addressing potential regulatory questions or issues.

If teams successfully complete all three steps, they will qualify for the launch phase and receive an initial $400,000 cash prize. Teams successfully completing the first launch will receive a $2 million prize. For a successful second launch, prizes of $10 million, $9 million and $8 million are available for the top three teams respectively, ranked by factors including mass, time to orbit, and orbit accuracy.

https://www.darpa.mil/news-events/2018-11-06

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    (B2) Alors que le serpent de mer de l'armée européenne ressurgit par la gr'ce d'Emmanuel Macron (*), il n'est pas inutile de revenir sur terre. Ce qui existe aujourd'hui ... et ce qui n'existe pas en matière de défense au niveau européen. La réalité inscrite dans les Traités européens actuels est la politique (européenne) de sécurité et de défense commune (PeSDC). Ou en langage commun, l'Europe de la défense. Elle n'est cependant pas comparable à ce qui se définit au plan national comme une politique de défense. Que ce soit dans le langage des pro ou des anti-intégrations européennes, cet aspect est bien souvent gommé. Or, il est primordial d'avoir une vue ‘honnête' et ‘objective' de la situation actuelle. Une politique nationale de défense D'un point de vue national, une politique de défense se définit tout d'abord par une autorité qui imprime sa marque et un circuit décisionnel court (comme en France avec un président de la république acteur principal) ou plus long (comme en Allemagne avec une décision du gouvernement, une approbation du parlement). Elle répond à une stratégie de défense, qui est élaborée par strates successives, en répondant à des antécédents historiques et une logique politique. Elle se développe ensuite dans un budget d'investissement d'une armée, des équipements militaires, des troupes, une logique d'action et une légitimité dans l'opinion publique qui accepte, plus ou moins, un engagement militaire intérieur ou extérieur, à risque ou non. L'Europe de la défense : un projet politique L'Europe de la défense est tout d'abord un projet politique, qui vise à affirmer la place de l'Europe dans le monde, au service d'une politique étrangère. Elle ne consiste pas ainsi à assurer la défense du territoire ni la protection des citoyens (malgré les déclarations politiques en ce sens). Elle ne procède que d'une coordination des efforts des États membres. Son circuit décisionnel repose ainsi toujours, à toutes les étapes, de l'initiative à l'approbation puis au commandement et au contrôle, sur un accord de tous les États membres, de façon collégiale. Mettre tout le monde d'accord au même moment sur un enjeu commun est un véritable ‘challenge'. Elle a comme objectif unique d'avoir une capacité d'intervention, limitée, dans des missions ou opérations de paix ou de consolidation de l'état de droit. Elle n'est pas ainsi une force d'intervention tout azimut, n'a pas de commandement militaire direct (national) ou intégré (comme l'OTAN), ni de troupes ou de forces disponibles en permanence ni en propre. Elle ne peut intervenir qu'à l'extérieur des frontières, avec le consentement des États concernés (ou au moins de leurs gouvernements) et de la communauté internationale. On est ainsi très loin des ‘fondamentaux' d'une armée européenne. Quand on met face à face ainsi les principes d'une défense nationale et ceux de l'Europe de la défense, il est inévitable que la seconde soit moins efficace que la première. On peut considérer qu'il s'agit d'une faiblesse temporaire, due aux personnalités politiques du moment. Ce peut être le cas parfois. Mais il ne faut pas minorer les faiblesses structurelles dû à un fait principal : l'Europe n'est pas un État mais une structure juridique et économique de concertation et de coopération avant tout. Si on veut donner un aperçu plus mathématique, j'ai évalué, sous forme d'une note — sur une échelle de 0 à 3 — quels points remplit l'Union européenne, une fois mis en place tous les projets évoqués ces derniers temps. On va ainsi d'une note de 0 à 3 selon les thèmes : de 0 pour les équipements et les forces disponibles à 2 pour le budget de recherche, en passant par le mode de décision et le consensus politique que je cote à 1 sur 3. Article complet: https://www.bruxelles2.eu/2018/11/07/ce-quest-leurope-de-la-defense-ce-quelle-nest-pas/

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