24 novembre 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité

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  • How does the US Air Force plan to keep bombers affordable?

    21 septembre 2018 | International, Aérospatial

    How does the US Air Force plan to keep bombers affordable?

    By: Daniel Cebul WASHINGTON — The U.S. strategic bomber program plays a vital role in U.S. nuclear and conventional posture, providing both penetrating and standoff capabilities that allow the U.S. to hit targets almost anywhere in the world. But as the Air Force expands from 312 to 386 operational squadrons — planning to increase the bomber squadron from nine to 14 — how can the service keep costs within reason? A key to keeping down modernization costs will be the force's ability to field systems that can easily be updated as new technology develops, according to Gen. Timothy Ray, commander of Global Strike Command. “What I really want to drive home is that if we have a force, whatever the size of the force, it has to be affordable,” Ray said at the Air Force Association's annual Air, Space and Cyber Conference on Sept. 18. Ray believes prices will be affordable depending on the service's “ability to field a relevant force as part of our integrated capabilities, both nuclear and conventional, that has a rapid capability to be updated and modified.” Communications systems, weapons, sensors and defensive capabilities are very sensitive to technological change, which “is already going on much faster than what we can field right now using the old legacy processes,” Ray said. Ray pointed to the B-21 bomber as having "the right attributes that are going to set us up for success.” Others suggest that looking at the unit price for bombers is deceptive and does not allow the Air Force to address its critical modernization needs. “It is very easy to look at individual unit cost [per bomber], but that does not equate to value," Retired Lt. Gen David Deptula said. "People, particularly programmers, like to talk about cost, but they don't talk about the effectiveness piece.” This sentiment was echoed by retired Lt. Gen. Bob Elder Jr., who feels the public and some military members do not appreciate the active role bombers play in defending the U.S. As busy as these bombers are, Edler said, “it's a bargain” for how much the Air Force pays for them. Deptula also believes that if the Air Force is serious about modernization, it is past time that requirements for meeting U.S. strategic goals determine force structure, rather than depending on “arbitrary budget lines.” “For way too long our force structure has been solely driven by the budget and not the war-fighting demands of our nation's security strategy,” he said. “I dare say no one will argue with the preamble of the Constitution, which basically talks about how we form government to provide for the common defense, and then to promote the general welfare. It doesn't say the other way around.” “People will say the new enterprise is going to be too expensive, so don't keep it. I don't agree,” Ray said, adding that a more competitive approach will enable the Air Force to drive down procurement and modernization costs. “I have got to know our competitive nature of our approach will draw the talent from industry; or if I'm not quite certain with a technical capability or the capability is so far advanced I can't draw the talent from industry, now I find myself with an important issue,” Ray noted. In regard to ensuring the service can get the funding to grow its squadrons, Ray added: “Where you drop cost down and have a rapid modification capability or a relevant force for an extended period of time, then you begin to tell a more complete story,” which he explained should help dollars keep flowing into necessary programs. https://www.defensenews.com/digital-show-dailies/air-force-association/2018/09/20/how-does-the-us-air-force-plan-to-keep-bombers-affordable

  • Industrie : Lourds investissements chez Thales à Saint-Héand

    27 février 2020 | International, Terrestre

    Industrie : Lourds investissements chez Thales à Saint-Héand

    Par Stéphanie Gallo Triouleyre Créée par Pierre Angénieux en 1932, autour des zooms pour le cinéma et la télévision, puis rachetée en 1994 par le groupe Thales, l'entreprise de Saint-Héand dans la Loire réalise aujourd'hui 4/5e de sa production dans le secteur de la Défense. Elle vient justement de démarrer les livraisons de ses nouvelles jumelles de vision nocturne O-NYX à l'armée de Terre. Elle investit par ailleurs lourdement pour développer l'ensemble de ses activités. La Direction Générale des Armées avait notifié à Thales le marché des jumelles O-nyx fin 2017, la première livraison est intervenue il y a quelques semaines. Ces jumelles de vision nocturnes sont destinées à remplacer progressivement les jumelles Lucie qui équipaient jusqu'ici l'Armée de terre et qui étaient déjà fabriquées par Thales Saint-Héand (ex Thales Angénieux avant la réorganisation des sites Thales) dans la Loire. "Nous sommes partis d'un équipement dont nous disposions pour codévelopper avec la DGA et les utilisateurs. Nous sommes parvenus à des jumelles plus ergonomiques, plus légères (340 grammes NDLR) et plus performantes que celles qui équipent déjà les Forces Françaises", signale Delphine Cabaton, responsable commerciale du projet O-nyx. Plus de 3.500 paires ont d'ores et déjà été commandées. 15 000 unités sur 7 ans Le marché court sur 7 ans et devrait s'accompagner de 1 000 à 2 000 commandes par an, soit au total entre 10 000 et 15 000 équipements O-nyx fabriqués par le site ligérien du groupe Thales. Secret défense oblige, impossible de connaitre le montant du marché. En revanche, Bertrand Boismoreau, directeur d'établissement, souligne l'importance de cet accord : "Nous avons coutume de dire que lorsque l'Armée française investit un euro chez nous, la France gagne deux euros à l'export. L'Armée française a une réputation d'exigence absolue. Si elle commande chez nous, c'est un signal fort pour les armées du monde entier". Pour renforcer ses positions auprès de ce client de premier ordre, Thales Saint-Héand travaille d'ailleurs actuellement sur un appel d'offres de la DGA concernant de nouveaux équipements binoculaires. Elle avait déjà fourni depuis deux ans, 1 000 autres jumelles de vision nocturne aux forces spéciales et avait contribué depuis 10 ans au marché Félin (12.000 équipements de jumelles connectées). Des marchés conséquents à chaque fois et qui ont un impact sur le tissu économique régional puisque le site sous-traite 80% de la valeur de ses équipements. "La jumelle O-Nyx nécessite une douzaine de techniques de fabrication comme la plasturgie ou l'usinage mécanique. Nous nous basons pour cela sur l'expertise des PME locales", explique Benjamin Fournel, responsable d'industrialisation. Il cite par exemple Sagne, Modertech, HEF etc. A l'occasion du marché O-nyx, l'usine de Saint-Héand a décidé par ailleurs d'entrer plus fermement dans l'ère de l'industrie 4.0. Elle a ainsi développé des bancs de test, permettant notamment de caractériser la qualité optique de la jumelle. "Jusqu'ici, les opérateurs devaient vérifier la qualité de nos jumelles à l'oeil. C'est un travail fatigant et sujet à des variations de performance. Ces bancs de test automatisés permettent de simplifier le travail de nos collaborateurs et de fiabiliser la qualité de nos produits", se réjouit Benjamin Fournel. Le montant de l'investissement n'est pas communiqué. Croissance Thales ne communique pas non plus précisément sur les volumes d'activité de chacun de ses sites, mais Saint-Héand générerait un chiffre d'affaires de l'ordre de 100 millions d'euros, avec 350 salariés. C'est 20% et 50 personnes de plus qu'il y a deux ans. Le marché O-nyx contribue évidemment à cette progression mais Thales Angénieux se déploie par ailleurs sur d'autres sujets. Notamment sur les optiques cinéma, production historique pour laquelle elle est mondialement connue. Celle-ci représente aujourd'hui 20 à 25% de son activité. Plusieurs millions d'euros sont en train d'être investis par l'entreprise pour développer une nouvelle gamme d'optiques à focale fixe, marché sur lequel elle n'était pas, ou peu, présente jusqu'ici, privilégiant les zooms. "Les tournages de film nécessitent souvent des zooms et des focales fixes. D'autres acteurs étaient bien positionnés sur les focales fixes mais les nouveaux formats nous remettent sur la même ligne de départ. L'idée est de proposer aux cinéastes de pouvoir tourner l'intégralité de leurs films avec des produits Angénieux, avec en plus des fonctionnalités très différenciantes : nos appareils sont plus compacts, plus légers, avec des possibilités de personnalisation de filtres", expose le directeur d'établissement, Bertrand Boismoreau. Une gamme de 12 focales est en cours de préparation, sachant que "plusieurs millions d'euros d'investissement" sont nécessaires au développement de chacune des focales. Un investissement colossal donc mais qui devrait permettre à Thales Angénieux, sous 10 ans, de viser un marché complémentaire de 100 millions d'euros. Nouvelle ligne de production Enfin, le site ligérien va être encore renforcé dans les prochains mois. Le groupe Thales lui confie en effet la production de nouvelles caméras infrarouge pour le secteur de la Défense. Elles ont été codéveloppées avec un site parisien du groupe. Une nouvelle ligne de production est en cours d'installation. Elle sera inaugurée début avril. "Les investissements sont très lourds", signale Bertrand Boismoreau, sans pouvoir, là-encore, donner d'indication trop précise. A terme, "plusieurs dizaines de personnes" pourraient être recrutées pour assurer la production de ces nouvelles caméras, "en fonction de leur succès commercial". https://acteursdeleconomie.latribune.fr/strategie/2020-02-26/industrie-lourds-investissements-chez-thales-a-saint-heand-840652.html

  • Defence Minister Bill Blair to visit Halifax for Inaugural Halifax International Fleet Week

    6 septembre 2023 | International, Terrestre

    Defence Minister Bill Blair to visit Halifax for Inaugural Halifax International Fleet Week

    The Honourable Bill Blair, Minister of National Defence, will visit Halifax from September 6-7, 2023.

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