4 décembre 2024 | International, Terrestre
Army eyes autonomous missile launcher and 1,000-kilometer strikes
The capabilities are still in the research stages but are showing promise.
6 avril 2021 | International, Aérospatial, Naval, Terrestre, C4ISR, Sécurité
4 décembre 2024 | International, Terrestre
The capabilities are still in the research stages but are showing promise.
11 juin 2018 | International, Aérospatial
By: Jeff Jeong SEOUL, South Korea ― The South Korean military's long-sought purchase of training helicopters has been ruptured due to price issues, prompting the arms procurement agency to prepare a rebidding process for the aircraft acquisition project code-named TH-X. Bell (formerly Bell Helicopter) and Leonardo Helicopters were competing for the $155 million project to procure 41 training helicopters both for the South Korean Army and the Navy, according to the Defense Acquisition Program Administration, or DAPA. “The TH-X selection, originally due late last year, has been delayed, and a bidder failed to meet some of the TH-X requirements,” DAPA spokesman Kang Hwan-seok said. “As the TH-X acquisition is a competition basis, we're scheduled to proceed with a rebidding soon.” Multiple industry sources said the TH-X negotiations broke down mainly because of cost concerns. “Bidding price was an issue, but there are some other reasons, too,” Kang said, adding his agency would issue a request for proposals again between June and July. He declined to elaborate further. The South Korean military has sought to introduce new training helicopters to replace the older fleet of MD 500s, which have been operational for more than 30 years. The DAPA issued an RFP for the TH-X in November 2015. Bell offered its new 505 Jet Ranger light helicopter, which successfully completed its first flight in November 2014, while Leonardo suggested its SW-4 light single-engine multirole helicopter produced its Polish subsidiary PZL Swidnik. Both companies are expected to participate in the TH-X retender, according to DAPA officials. https://www.defensenews.com/global/asia-pacific/2018/06/01/south-korea-to-reboot-training-helicopter-acquisition/
14 avril 2022 | International, Aérospatial
Reconduit le 12 avril à la tête d'Airbus, Guillaume Faury revient sur l'urgence de se doter d'un système européen de sécurité et de défense et de lancer de grands programmes en coopération à l'image du SCAF. Le projet, lancé en 2017 par la France et l'Allemagne et rejoint par l'Espagne, doit succéder aux avions de combat Rafale et Eurofighter Typhoon à l'horizon 2040. Guillaume Faury revient sur les rivalités nationales autour du projet : « Il n'y aura pas de SCAF national, aucun pays européen n'en a les moyens, que ce soit en ingénierie ou en financement. Nous avons donc une responsabilité historique. Nous avons besoin d'un partenaire fort comme Dassault Aviation dans le système de combat aérien ». Un des enjeux du SCAF est de garantir l'interopérabilité pour répondre aux impératifs militaires européens discutés et définis à l'OTAN. L'entretien rappelle la nécessité de se doter d'un système de sécurité et de défense commun et de lancer de grands programmes en coopération. « Si nous avons des leaders mondiaux comme MBDA dans les missiles ou Airbus Helicopters, c'est que nous avons aussi mis nos forces en commun. Je pense que nous pouvons faire de même dans bien d'autres domaines de la défense, y compris dans la partie spatiale. » insiste Guillaume Faury. Une des préoccupations principales du moment concerne le risque de rupture d'approvisionnement du titane, la Russie étant l'un des plus importants producteurs. Le dirigeant d'Airbus reste néanmoins rassurant, si l'aéronautique en est le plus gros consommateur, le titane ne représente qu'un petit montant d'achat. Le Monde du 14 avril