9 décembre 2023 | International, Aérospatial

Cathay Pacific chooses Airbus over Boeing for freighter order | Reuters

Hong Kong's Cathay Pacific Airways said on Friday it has placed a firm order to purchase six Airbus A350 freighters with a list price of $2.71 billion, as it replaces its ageing Boeing 747 cargo jets.

https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/cathay-pacific-buy-six-airbus-freighters-271-bln-2023-12-08/

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  • Dassault lance un ultimatum à Airbus sur l'avion de chasse du futur

    7 mars 2022 | International, Aérospatial

    Dassault lance un ultimatum à Airbus sur l'avion de chasse du futur

    Redressement dans l'aviation d'affaires et succès à l'exportation pour le Rafale, Dassault Aviation a enregistré en 2021 plus de 12 milliards d'euros de commandes, contre 3,5 milliards en 2020. L'avionneur estime que les prétentions d'Airbus sur le projet franco-allemand espagnol de système de combat aérien du futur ont franchi « les lignes rouges ».

  • Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    8 janvier 2020 | International, Aérospatial

    Ce qui a changé entre l’échec du Gripen et aujourd'hui

    Avions de combat : Le PS, les Verts et le GSsA lancent ce mercredi le référendum contre l'achat de nouveaux jets. Ils étaient parvenus à couler le Gripen en 2014. La situation de départ est cette fois-ci différente. Ce 18 mai 2014, les bouchons de champagne avaient sauté au stamm de la gauche, à quelques pas de la gare de Berne. Au terme d'une campagne acharnée qui a même fait ensuite l'objet d'un documentaire, «La bataille du Gripen», de Frédéric Gonseth, 53,8% des votants avaient refusé d'acheter 22 avions de combat Gripen pour une somme de 3,126 milliards de francs. Tous les cantons romands avaient dit non. Cette année, potentiellement en septembre, les citoyens suisses devraient à nouveau se prononcer sur l'achat d'avions de combat. Le Parti socialiste, le Parti écologiste et le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) lancent le référendum ce mercredi contre l'arrêté de planification qui prévoit d'investir 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux jets. Les fronts sont les mêmes qu'en 2014, mais le contexte a changé. Un vote sur le principe et pas sur un type d'avion En 2014, le choix d'acheter le Gripen E, modèle en cours de développement, avait suscité la critique et la méfiance. Les détracteurs de ce jet parlaient d'avions de papier. Des membres des forces aériennes s'étaient aussi étonnés, en coulisses, du choix du jet suédois, alors que d'autres avions avaient obtenu de meilleures notes lors de l'évaluation. L'analyse Vox qui avait décortiqué le scrutin avait ainsi montré que 13% des votants avaient mis un non dans l'urne par rejet du Gripen. Cette fois-ci, les Suisses n'auront plus à se prononcer sur un type d'avion. Une seule question leur sera posée: acceptez-vous de payer 6 milliards de francs pour acheter de nouveaux avions de combat? Le Conseil fédéral ne sélectionnera le modèle qu'après le scrutin, sur la base des évaluations conduites par ArmaSuisse. A noter que dans tous les cas, la Suisse n'achètera pas le Gripen: le constructeur Saab a renoncé dès lors qu'il a été écarté des essais en vol et au sol qui ont eu lieu l'an dernier sur la base militaire de Payerne. Il reste ainsi quatre jets en course: le Rafale de Dassault, l'Eurofighter d'Airbus, le Super Hornet de Boeing et le F-35 de Lockheed Martin (voir vidéos de présentation dans l'encadré). Viola Amherd à la place d'Ueli Maurer Gaffes en série, couacs de communication, allusions malheureuses: la campagne de 2014 avait été cauchemardesque pour le ministre de la Défense de l'époque, Ueli Maurer (UDC). Six pour cent des votants avaient déclaré, lors de l'analyse Vox, avoir dit non en raison de cette campagne cacophonique. Les électeurs du centre, qui se reconnaissent dans des partis traditionnellement acquis à l'armée, avaient joué un rôle déterminant. Aujourd'hui, c'est une centriste, Viola Amherd, qui est à la manoeuvre. La conseillère fédérale PDC met un accent particulier sur la transparence dans les achats de l'armée. Elle a aussi souhaité amener une caution à la fois scientifique et militaire à ce dossier. Elle a ainsi invité l'astronaute Claude Nicollier à rendre un second avis sur le rapport Air2030. La popularité et l'image de la Haut-Valaisanne joueront un rôle lors de la campagne. De nouveaux avions sinon rien? En 2014, le Gripen ne devait remplacer que la flotte des F-5. Les 32 F/A 18 devaient être remplacés dans un second temps. Aujourd'hui, les 30 avions de combat F/A-18 restants sont vieillissants. Il est prévu de prolonger leur durée de vie jusqu'en 2030. Ainsi, la gauche ne pourra pas déployer avec autant d'impact l'un de ses arguments clés de 2014: on peut dire non au Gripen, il reste des avions pour l'armée. A l'époque, selon l'analyse Vox, 24% des détracteurs du Gripen se disaient en effet partisans d'une armée forte, mais ils estimaient aussi que l'achat de ce jet n'était pas une nécessité vitale. Le message sera différent lors de la future campagne. Viola Ahmerd et ses alliés pourront marquer des points en affirmant que le scrutin déterminera la survie des forces aériennes. Fondamentalement, les référendaires ne contestent cela dit pas la nécessité d'avoir des avions mais uniquement pour faire la police du ciel. Ils estiment qu'on peut acheter moins et à un meilleur prix. Leur capacité de convaincre avec cet argument s'annonce déterminante. Des mesures compensatoires plus basses C'est une autre différence par rapport au vote de 2014. Les affaires compensatoires - ces contre-prestations exigées de la part du constructeur - se monteront à 60% du prix d'achat des avions. Pour le Gripen, c'était 100%. Sur ce point, la ministre Viola Amherd, critique face aux surcoûts engendrés par ces compensations, s'est imposée au parlement. Les entreprises romandes qui craignaient de ne pas voir la couleur des affaires compensatoires si elles étaient réduites à 60% se disent néanmoins satisfaites: les collaborations seront possibles au-delà du secteur de la sécurité. Elles s'étendront à onze autres domaines, dont celui des machines, de l'électronique ou encore de l'horlogerie. https://www.24heures.ch/suisse/change-echec-gripen-aujourdhui/story/22057626

  • F-35 program costs are evolving, and these savings matter

    2 septembre 2020 | International, Aérospatial

    F-35 program costs are evolving, and these savings matter

    By: Steven P. Bucci Last month, Congress held an oversight and accountability hearing regarding the F-35 Joint Strike Fighter's burdensome logistical IT system. The Department of Defense Office of Inspector General reported earlier this year that millions of additional dollars were spent in the form of labor hours by military personnel who manually tracked the plane's spare parts since its electronic logistical system didn't. The congressional review was undoubtedly warranted, especially as the F-35 program office phases in a newer system over the next two years to replace its legacy IT platform. But noticeably absent from this testimony, was a more fulsome discussion (and understanding) about the affordability of the program and how both acquisition costs and the price to fly the aircraft are significantly trending downward at a time that matters most. In an era of increased military competition against peer adversaries and during a period of tremendous budgetary constraints in the United States, incremental savings across a large enterprise such as the F-35 program matter. The Defense Department understands this well. It has smartly leveraged its buying power, driving down the cost of each F-35A to approximately $80 million one year earlier than planned — now costing taxpayers less than some of the less capable fourth-generation aircraft, and on a par with others. The F-15EX, for example, costs nearly $88 million, and gives our forces no help in a fifth-gen fight. Why spend more for less? This is critical because over the next five years, the number of F-35s purchased will more than double to approximately 1,200 aircraft. That translates to increased capacity and capability for the United States and its allies as they operate in the Indo-Pacific and European theaters. Congress recognizes that the costs to acquire the aircraft have been significantly reduced, and it has now rightfully turned its attention to the costs associated with sustaining the aircraft. But most lawmakers missed the opportunity during July's hearing to more fully explore a key statement made by the F-35′s prime contractor, Lockheed Martin. Lockheed announced that it has reduced its share of the aircraft's sustainability cost per flying hour over the past five years by nearly 40 percent, plummeting the costs to fly the aircraft to nearly $5,000 less each hour than earlier hourly costs. The company says it has invested hundreds of millions of dollars to build state-of-the-art tools, analytics, machine learning and artificial intelligence, which has led to labor efficiency gains as well as improvements to supply response times and data quality. The company implemented robust asset management tools and robotic automation to eliminate manual tasks, while placing a concerted focus on improving the reliability of aircraft parts to meaningfully reduce future repair requirements and material costs. This is significant because the number of hours flown each year will increase by approximately 140,000 hours over the next five years alone. Those savings add up. And more can be done. The F-35′s manufacturer believes it can further drive down its cost share to fly the aircraft by approximately an additional 50 percent. This is all the more significant when considering that the military services and aircraft's engine maker, Pratt & Whitney, are responsible for more than one-half of the total sustainment costs of the program. If a similar level of savings can be achieved by the Air Force, Navy, Marine Corps, and Pratt & Whitney, those savings can be confidently reinvested back into the program to ensure enough aircraft are being procured to deter and, if necessary, fight our adversaries. As the military services and foreign countries consider future threats and the capabilities needed to impede adventuresome opponents, these savings matter. These savings come at the same time the DoD reports that the aircraft's mission-capable rate has increased from the mid-50th percentile to the low 70th percentile from just a couple of years ago. And further improvements in the aircraft's mission-capable rate should be forthcoming as repair backlogs and mismatched spare parts are corrected by a new IT logistical system. A theoretical military principle suggests that steady quantitative changes can lead to a sudden, qualitative leap. After many, many years of sustained focus to drive down F-35 costs, the program may be representative of that maxim and allow the Defense Department to fully realize the advantages of the F-35′s gamechanging technologies. Steven P. Bucci is a visiting fellow at The Heritage Foundation. He previously served as a U.S. Army Special Forces officer and is a former deputy assistant secretary of defense for homeland defense. The Heritage Foundation takes no funding from any government. It does take donations from corporate entities, which average about 4 percent of their total funding in any given year. The think tank reports it does not take a position based on donations, nor do donors have editorial input.. https://www.defensenews.com/opinion/commentary/2020/09/01/f-35-program-costs-are-evolving-and-these-savings-matter/

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