15 mai 2024 | International, Sécurité
27 janvier 2024 | International, Naval
The French navy includes two or three days of drills under “back to the ‘80s” conditions whenever it deploys its carrier strike group.
15 mai 2024 | International, Sécurité
27 avril 2020 | International, Aérospatial
By: The Associated Press CHICAGO — Boeing announced Saturday it terminated an agreement to join forces with Embraer, prompting an angry response from the Brazilian jet maker, which threatened to seek damages. The pair had planned to work together on Embraer's commercial aviation business and to develop new markets for its C-390 Millennium aircraft. They had been working toward an agreement for two years. Boeing said it ended the agreement after Embraer did not meet conditions laid out by the deal, in which Boeing would have held majority ownership. Over the past few months, the companies had “productive but ultimately unsuccessful negotiations” about the unsatisfied conditions, which was “deeply disappointing,” Marc Allen, Boeing's president of Embraer partnership and group operations, said in a news release. Embraer issued a statement saying it “believes strongly that Boeing has wrongfully terminated” the mutual transaction agreement and “that it has manufactured false claims as a pretext to seek to avoid its commitments to close the transaction and pay Embraer the US$4.2 billion purchase price.” “We believe Boeing has engaged in a systematic pattern of delay and repeated violations of the MTA (master transaction agreement), because of its unwillingness to complete the transaction in light of its own financial condition and 737 Max and other business and reputational problems,” it added. “Embraer will pursue all remedies against Boeing for the damages incurred by Embraer as a result of Boeing's wrongful termination and violation of the MTA,” the company said. The collapse marked the latest mishap for Boeing. The company's best-selling plane, the 737 Max, has been grounded for more than a year after two deadly crashes that led to federal investigations. Those problems, combined with deflated demand for flights due to the pandemic, sharply reduced the company's cash. https://www.defensenews.com/air/2020/04/26/boeing-ends-deal-angering-brazilian-jet-maker-embraer/
15 octobre 2020 | International, Aérospatial, Terrestre
Jean-Marc Tanguy Le député de la Haute-Marne, rapporteur spécial pour la défense à la Commission des finances de l'Assemblée Nationale a, une fois de plus, transmis ses doutes sur le projet de loi de finances (PLF) 2021. Surcoûts Opex Le député (LR) de la Haute-Marne, rapporteur spécial pour la défense à la Commission des finances de l'Assemblée Nationale, a une fois de plus transmis ses doutes, ce 13 octobre, sur la fin de gestion 2020, et le projet de loi de finances (PLF) 2021, qui sera étudié en première lecture dans l'hémicycle à la fin du mois. François Cornut-Gentille estime que la « fin de gestion 2020 sera compliquée comme tous les ans, mais un peu plus en 2020 » du fait de l'augmentation des surcoûts Opex liés aux 600 personnels déployés en plus à Barkhane (mais aussi aux pertes en matériels), aux opérations Résilience et Amitié. Ainsi, le niveau pourrait atteindre 1,6 Md€, estime l'élu. Dassault Rafale pour la Grèce Auparavant, le ministère des Armées trouvait des ressources pour financer ces surcoûts : les montants non dépensés du titre 2 par exemple, mais le député estime que la totalité des fonds du T2 seront dépensés cette année. Le report de charge, qui aurait dû se réduire dans le cours de la LPM, progresse, constate François Cornut-Gentille, et pourrait atteindre 15 à 16 %. Le député se félicite aussi des annonces grecques sur le Dassault Rafale, « une bonne nouvelle pour les exportations et pour Dassault Aviation » mais il s'inquiète comme beaucoup des conséquences du prélèvement des 12 Dassault Rafale dans l'Armée de l'Air. Et du fait qu'il va falloir inscrire environ un milliard d'euros non prévus en LPM au chapitre des dépenses. Certes, la Grèce va payer pour les appareils d'occasion (sur lesquels en sus il faudra enlever des équipements/ndlr), mais moins que pour des avions neufs. Definvest pas à la hauteur ? Et la ministre des Armées, Florence Parly, elle-même reconnaissait en commission il y a peu qu'elle n'était pas sûre de récupérer le produit de cette vente même si elle entend obtenir gain de cause avec Bercy. Le niveau du reste à payer, les engagements non couverts par des paiements, atteint les 72,7 MdEUR à la fin 2019, un plus haut historique depuis 2006 au moins. François Cornut Gentille veut aussi dynamiser la logique de Definvest, qui n'a réalisé « que huit opérations » et « n'est pas à la hauteur des enjeux ». Photonis n'a pas été suffisamment protégé, constate-t-il. Enfin, il a déploré l'absence de réponses du ministère des Armées à ses 150 questions budgétaires posées en juillet en vue du PLF2021, ou des réponses trop tardives : 50 sont arrivées au courrier ce samedi. D'autres réponses, enfin, sont accompagnées d'une demande de discrétion, alors qu'elles figurent par ailleurs... en source ouverte, dans d'autres documents budgétaires. https://www.air-cosmos.com/article/budgets-dfense-les-doutes-du-dput-cornut-gentille-23737