21 juillet 2024 | International, C4ISR

APT41 Infiltrates Networks in Italy, Spain, Taiwan, Turkey, and the U.K.

Chinese hacking group APT41 targets global industries in six countries, using sophisticated tactics to steal sensitive data in prolonged cyber attacks

https://thehackernews.com/2024/07/apt41-infiltrates-networks-in-italy.html

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    KEYSTONE/EDDY RISCH La voie est ouverte pour une votation sur les avions de combat. Le Conseil fédéral a remis mercredi au Parlement son projet d'arrêté attaquable par référendum. La facture est de six milliards. Les exigences pour les affaires compensatoires ont été revues à la baisse. Quatre jets sont sur les rangs. De ce côté-ci de l'Atlantique, on retrouve le Rafale français (Dassault) et l'européen Eurofighter (Airbus). S'y ajoutent deux avions américains: le successeur du FA-18, le Super Hornet de Boeing, et le F-35A de Lockheed-Martin. Le Gripen E suédois (Saab) n'est plus dans la course depuis deux semaines. Les Suisses ne voteront pas sur le modèle d'avion mais uniquement sur le principe de l'achat. Le Conseil fédéral se prononcera sur le type de jet après le scrutin populaire, qui devrait avoir lieu en septembre ou en novembre 2020. Le recours aux urnes est une attente dont il faut tenir compte sur le plan politique, selon le gouvernement. Les deux derniers projets d'achats de jets avaient été marqués par un scrutin populaire. L'acquisition de F/A-18 avait été rendue possible après l'échec en 1993 de l'initiative populaire s'y opposant. L'achat de Gripen a été rejeté en 2014 après un référendum contre le fonds qui aurait dû être mis sur pied pour le financer. A la mi-mai, la ministre de la défense Viola Amherd avait déjà exposé la marche à suivre pour les nouveaux jets. Elle avait alors revu et corrigé le projet d'arrêté de planification lancé par son prédécesseur Guy Parmelin. Seulement les avions Plus question désormais d'impliquer aussi l'achat d'un système de défense sol-air de longue portée, qui se fera dans le cadre des programmes d'armement ordinaires. L'arrêté précise toutefois que l'acquisition des jets sera coordonnée, sur le plan technique et du point de vue du calendrier, avec la défense sol-air. Dans un rapport, l'expert, ancien spationaute et pilote militaire Claude Nicollier plaidait pour l'acquisition d'une quarantaine d'avions ainsi que pour un système de défense sol-air de longue portée pouvant couvrir environ 15'000 km2. Soit une facture totale de 9 milliards. Le gouvernement en reste à son plafond de 8 milliards. L'arrêté de planification ne comporte que le volume de financement maximal pour les avions, soit 6 milliards. Un volume inférieur compromettrait la taille de la flotte. Prévoir davantage ne laisserait pas de cadre financier suffisant pour le système de défense sol-air, selon Viola Amherd. Affaires compensatoires Le Conseil fédéral est surtout revenu sur ses exigences en matière d'affaires compensatoires. Les entreprises étrangères qui se voient confier des mandats dans le cadre de l'acquisition des jets devront compenser 60% de la valeur contractuelle par l'octroi de mandats en Suisse, dont 20 % directement et 40 % indirectement dans le domaine de la base technologique et industrielle en lien avec la sécurité. Dans un rapport, l'ancien directeur du Contrôle fédéral des finances Kurt Grüter s'était montré sceptique face à une compensation à 100%, qui enfreindrait le principe de la liberté du commerce et de l'industrie. Pour lui, les compensations ne doivent être utilisées que pour renforcer la base technologique et industrielle suisse et il est impossible de compenser intégralement un volume de 6 à 7 milliards. Une exigence moindre en affaires compensatoires pourrait aussi faire baisser le prix des avions, a reconnu Viola Amherd. D'ici 2030 Pour le reste, l'arrêté précise que la mise en service des nouveaux avions de combat doit être achevée d'ici à fin 2030. Et que leur acquisition est proposée à l'Assemblée fédérale dans le cadre d'un programme d'armement. Le Conseil fédéral en profite pour souligner qu'il faut que l'armée puisse protéger la Suisse, à l'avenir aussi, contre des attaques aériennes, qu'elles soient menées par des forces armées ou par des groupes terroristes. Cette protection est cruciale. Les avions de combat actuels (30 F/A-18 et 26 Tigers) arriveront à la fin de leur durée d'utilisation au plus tard vers 2030. S'ils ne sont pas remplacés à temps, l'armée ne pourra plus remplir sa mission. Le projet d'acquisition s'étendra sur plus de dix ans. https://www.swissinfo.ch/fre/le-voie-est-ouverte-pour-une-votation-sur-les-jets-de-combat/45057728

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    By: Kyle Rempfer NEW ORLEANS — The Tennessee National Guard currently has trainers in Ukraine, armored units in Poland, aviators in Kosovo, and other airmen and soldiers deployed across Southeast Asia and the Middle East. That's to say nothing of domestic missions like disaster relief for which they are also responsible. Although those missions are broad, Tennessee Adjutant General Maj. Gen. Max Haston said his guardsmen are well trained to accomplish their tasks. Still, readiness shortfalls on big-ticket items strain their capabilities. “The biggest thing that does impact readiness ... is ensuring we have a common platform across our services,” Haston told Military Times. “We've done a terrific job of taking care of our soldiers with the fielding of individual personal equipment — ballistic vests, helmets, all that stuff. ... But it's the major end items. It's the tanks, the Bradley [fighting vehicles], the helicopters and the planes," he said. Haston explained that readiness issues aren't exclusive to Tennessee Guardsmen. He said they were “enterprise-wide," and boiled down to “dollars and cents.” Readiness concerns aren't something the Guard cooked up on its own. It was the first issue Defense Secretary Jim Mattis brought up during his speech at the 2018 National Guard Association of the United States conference in New Orleans last month. “The way we're going to address the challenges we face is we're going to restore readiness across our force, and you [the National Guard] are considered every bit a part of that force as any active element," Mattis said. “We cannot be unprepared when destiny in the form of mobilization day taps us on the shoulder, for then it will be too late." While his words were welcomed, Guard leadership was still left wondering what the next step will be while they juggle missions abroad with training constraints at home due to outdated equipment. One example: the Tennessee Army National Guard's 278th Armored Cavalry Regiment operates M1A1 Abrams AIM SA tanks, according to Haston. However, active-duty Army units, by and large, are operating the newer M1A2 SEP variant. Full article: https://www.militarytimes.com/news/your-air-force/2018/09/06/planes-tanks-and-helicopters-equipment-shortfalls-are-hurting-the-guards-readiness-leaders-say

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