19 juin 2020 | International, Naval

£26.7 million engine support contract for Oxfordshire company

June 17, 2020 - Oxfordshire-based EP Barrus secured the seven-year contract for the upkeep, update and supply of engines fitted to more than 1,100 craft.

The contract covers boats within the current MOD in-service fleet for craft under 25m, including Rigid Inflatable Boats (RIBs), the Mexeflote landing-raft system powered by the Thrustmaster propulsion unit, workboats, and planned future craft.

Defence Minister Jeremy Quin said:

Our maritime industry continues to grow from strength to strength. This contract will secure an essential capability for our Armed Forces and support over 40 quality engineering jobs in Bicester plus many more throughout the UK.

The contract will support operations in the UK and overseas involving the Royal Navy, Royal Marines, British Army, Ministry of Defence Police, and Cadets.

The contract will directly support 40 jobs within Barrus's Engineering Centre, as well as a further 80 jobs across the UK supply chain that will benefit from the contract. In addition, this contract secures EP Barrus's graduate programme in Oxfordshire and the future roles for its young engineering students.

James Melia, Project Manager for DE&S Boats Team, said:

Boats are an essential capability of the UK Armed Forces and are used for many different operations around the world ensuring that our Navy has the reach it needs to protect our interests around the globe.

We are committed to ensuring that engines are effectively managed through every stage of their life cycle and our partnership with EP Barrus will provide critical support to this.

DE&S is proud to maintain excellent working relationships with EP Barrus, a valued industry supplier and we look forward to continuing to work together to support our front line with the equipment they need while also maintaining vital British skills and jobs.

Photo Crown copyright

View source version on UK Ministry of Defence: https://www.gov.uk/government/news/267-million-engine-support-contract-for-oxfordshire-company

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    Face aux retards pris dans le programme de drone MALE européen, General Atomics pousse un concept de location, avec ou sans équipages. Du drone MALE en location Dans la famille General Atomics, on trouvait le Predator, le Reaper, le Sky Gardian et voici maintenant... le MALE (medium altitude, long endurance) disponible à la location ! La firme californienne a déjà démontré la viabilité d'un Reaper prêt à surveiller pour l'US Marine Corps : plus de 7 000 heures de vol ont ainsi été réalisés par des équipages de la société pour le compte des « Leathernecks », et en zone opérationnelle (Afghanistan) de surcroît. Cette démonstration sans la moindre anicroche pourrait bien faire école. Car dans l'éternelle et nécessaire progression capacitaire, les Etats butent souvent sur deux écueils : d'une part, trouver les ressources budgétaires pour acheter l'engin et le mettre en vol dans la durée. D'autre part, identifier puis former la ressource humaine, hautement qualifiée, qui doit assurer le vol lui-même, dont le coeur figure dans l'équipage à quatre personnels. Toujours pas de drone européen General Atomics croit donc à son concept de location, avec ou sans équipage, y compris en Europe, pour venir compléter les flottes exploitées par les Etats eux-mêmes. Des formules de ce type sont déjà employées pour d'autres vecteurs à peine moins sensibles, les avions ISR, notamment par la... France, grande consommatrice depuis une dizaine d'années. Le Reaper est servi par un coût d'exploitation relativement bas, à 2700 dollars l'heure de vol, un coût imbattable lié à son unique turbine PT-6, l'aérodynamique du Reaper fait le reste. Alors que les Européens de l'Ouest sont toujours à t'tonner pour savoir comment résoudre leurs problèmes de MALE, avec un drone européen toujours sans accord Français, au moins. La ministre des Armées estime que le concept d'Airbus, essentiellement tourné vers les besoins Allemands, coûte bien trop cher (deux fois plus cher qu'un Sky Guardian adapté aux besoins européens, l'Euro-Guardian) et ne répond pas aux besoins Français. La Marine veut aussi du MALE Dopée par les résultats de son Reaper Block 1 (déjà ancien mais toujours vaillant), l'Armée de l'Air ne peut que constater que l'appareil désormais armé a déjà raflé 40 % des frappes depuis le début de l'année au Sahel. Elle a aussi constaté que le programme européen a déjà au moins trois ans de retard et n'arrivera donc pas, au mieux, avant 2028. Sans préjuger du destin du programme de MALE Européen... ou de la rejointe sur un programme d'Euro-Guardian, qui pourrait faire la place aux sociétés européennes, les besoins en locations seront, de toute façon, patents. D'autant plus que la Marine nationale a aussi clairement exprimé son besoin pour un MALE, et n'a pas exclu d'en loger dans son programme AVSIMAR (avion de surveillance et d'intervention maritime). https://air-cosmos.com/article/dfense-general-atomics-pousse-son-drone-male-23102

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