July 6, 2021 | International, C4ISR
DARPA Selects Raytheon, BAE Systems, Northrop Teams to Develop Event-based Sensors
DARPA Selects Raytheon, BAE Systems, Northrop Teams to Develop Event-based Sensors
June 11, 2018 | International, Aerospace
By SETH ROBSON
YOKOTA AIR BASE, Japan — Tokyo-based airmen used a 3D printer and American ingenuity to modify a standard-issue gas mask into an aircraft oxygen system, potentially saving millions of dollars and improving aircrew safety.
The idea of hooking up the M-50 joint-service, general-purpose mask to an aircraft was hatched during brainstorming sessions by airmen from Yokota's 374th Maintenance Squadron and 374th Operations Support Squadron.
“We took the mask and added some off-the-shelf parts and some 3D-printed parts and converted it into a piece of equipment that can work in an aircraft,” said Senior Master Sgt. David Siemiet, an aircrew flight equipment superintendent.
Gear used now — the Aircrew Eye/Respiratory Protection System, or AERPS — is expensive, heavy and fault prone with long waits for replacement parts, said C-130 Hercules pilot Capt. Matthew Kohl.
When the ubiquitous, light and cheap M-50 is connected to an oxygen system, air flows through its chemical filters to the user, whose eyes are protected by goggles, Siemiet said.
To build their prototype, the airmen looked at an Army system that hooks soldiers' masks to air blowers to overcome the stifling environment inside a battle tank.
The airmen came up with a cap that blocks airflow into one side of the mask and an adaptor that allows it to attach to a hose that can be plugged into an oxygen system.
The modification, which the airman call “AERPS Ultra,” uses a few standard parts and two components made on a 3D printer that aircraft materials technology craftsman Sen. Airman David Petrich bought for a few hundred dollars of his own money.
It costs only about 75 cents to modify one mask, and the project has the potential to save the Air Force at least $8 million and countless man hours, according to Tech. Sgt. Eric Lundeen, another aircraft materials technology craftsman involved in the project.
The M-50 weighs less than a pound, a lot less than the 40 pounds of chemical-protection gear now used by aircrew. Unlike the current system, the lighter masks don't need a power supply that must be hooked to on-board electricity and uses expensive batteries, Petrich said.
“You can wear the mask onto the plane and latch in and you are good to go,” he said.
The mask modifications can be done on base without the need to pay a contractor, Siemiet added.
July 6, 2021 | International, C4ISR
DARPA Selects Raytheon, BAE Systems, Northrop Teams to Develop Event-based Sensors
July 13, 2021 | International, Aerospace
Turkey’s state-controlled missile-maker Roketsan has developed a supersonic, anti-radiation missile for the TF-X, the country’s indigenous fighter jet in the making.
February 24, 2020 | International, Aerospace
Une nouvelle campagne d'essais en vol du démonstrateur technologique de drone de combat furtif nEUROn vient de s'achever à DGA Essais en vol (Istres). Le drone furtif de Dassault Aviation s'est essayé au combat collaboratif. A Paris ce 20 février, la ministre Florence Parly recevait les délégations allemandes et espagnoles pour la signature du contrats de développement des démonstrateurs du SCAF. Ci-dessus: une vue d'artiste datant de plusieurs années montrant un drone de combat aux côtés du Rafale - Dassaut Aviation La DGA (Direction générale de l'armement) a annoncé la fin de la cinquième campagne d'essais en vol du démonstrateur nEUROn. Mandatée par elle-même au profit de l'Etat, elle "a été menée en coopération avec Dassault Aviation pour la mise en œuvre du vecteur aérien et avec la participation des forces. Un de ses objectifs était d'étudier l'utilisation d'un drone de combat furtif dans un contexte opérationnel, impliquant également une réflexion sur les tactiques de défense face à un tel vecteur." L'information principale concernant cette nouvelle campagne est la réalisation d'un vol d'essai en ambiance de combat collaboratif réalisé avec 5 Rafale et 1 Awacs, "dans des configurations tactiques multiples". Les résultats sont en cours d'analyse approfondie. Ils apporteront selon la DGA des éléments majeurs pour aiguiller les choix d'architecture et de technologie du SCAF. Programme à - seulement - 450 millions d'euros entamé il y a une douzaine d'années, le Neuron prouve une nouvelle fois toute la pertinence d'une politique active dans le domaine des démonstrateurs. Et si l'on parle aujourd'hui surtout des "remote carriers" dans le cadre du SCAF (système de combat aérien futur), il ne fait pas de doute qu'un drone de combat furtif aura toute sa place dans cette architecture, aux côtés du Rafale, du futur chasseur européen, et autres effecteurs déportés... Signature du contrat de démonstrateur du SCAF Et ce 20 février à Paris, près d'une semaine après l'aval du Bundestag (voir lien ci-dessous), la ministre des Armées Florence Parly recevait les autres parties au programme SCAF, à savoir les Allemands et les Espagnols, pour la signature du contrat de démonstrateurs. Lire aussi: Lancement de la phase de démonstrateur du SCAF Comme convenu, Dassault Aviation (qui pour l'occasion exhibait des maquettes du "NGF") hérite de la maîtrise d'ouvrage pour le futur chasseur, avec Airbus DS comme "main partners". Airbus est maître d'oeuvre pour les remote carriers, avec la collaboration de MBDA, collaboration qui était déjà affichée au Bourget en juin 2019, et est également en charge avec Thalès du "Air combat cloud" (ACC), à savoir l'architecture numérique du SCAF. Safran et MTU s'occuperont de la motorisation, mais le démonstrateur du chasseur utilisera lui vraisemblablement les moteurs M88 du Rafale. Le tout est chapeauté par la DGA, manager du programme. Si les démonstrateurs, dont l'avion, doivent voler en 2026, et qu'environ 150 millions d'euros ont été apportés au programme pour ces études préliminaires, il s'agira de trouver 4 milliards d'euros d'ici 2025, et 8 au total d'ici 2030. S'agissant de la participation espagnole, qui doit se clarifier durant les prochains mois, trois entreprises s'ajoutent à la participation de Madrid, principalement sur les drones. Il s'agit de GMV, SENER Aeroespacial et Tecnobit Grupo Oesia, qui ont annoncé ce 17 février un accord dans le cadre du plan industriel coordonné par le ministère espagnol de la Défense. La problématique Indra, que l'Espagne insiste pour intégrer au développement de l'ACC en dépit des réticences d'Airbus, reste à régler cependant. http://www.paxaquitania.fr/2020/02/fin-dune-5eme-campagne-dessais-pour-le.html