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January 10, 2022 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

What will be the biggest military stories of 2022? | Reporters Roundtable

Military Times journalists look into their crystal ball to let you know which stories to keep an eye on this year.

https://www.defensenews.com/video/2022/01/10/what-will-be-the-biggest-military-stories-of-2022-reporters-roundtable/

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  • More than one company could get cash to build the Air Force’s AI-equipped Skyborg drone

    May 21, 2020 | International, Aerospace, C4ISR

    More than one company could get cash to build the Air Force’s AI-equipped Skyborg drone

    By: Valerie Insinna WASHINGTON — The U.S. Air Force has kicked off a competition for one of its most highly anticipated tech programs, a drone known as Skyborg that will use artificial intelligence to make decisions in battle. The service released a solicitation May 15 for Skyborg prototypes, which will merge autonomous, low-cost aircraft with a suite of artificial intelligence capabilities. The Air Force envisions Skyborg as a family of drones — each designed for a specific mission or set of missions — with modular hardware and software payloads and a common AI backbone, which will allow software to be rapidly updated across the fleet. The Air Force intends to give multiple companies $400 million to develop different versions of the Skyborg system, although it reserves the right to award just one or no contracts. Proposals are due June 15, with awards projected around July 8, according to the solicitation. Once under contract, companies will “conduct research to develop, demonstrate, integrate and transition air vehicle, payload and autonomy technologies and systems that will provide affordable, revolutionary capabilities to the warfighter through the Skyborg program,” the Air Force said. The service previously intended to use experimentation and prototyping to have Skyborg operational by 2023. Skyborg will be what the service calls an attritable system, meaning that aircraft loss is expected and can be tolerated even though the system is not considered expendable and can be reused. Aircraft should “generate massed combat power with minimal logistical footprints,” with cost per unit and the price of operating and maintaining the air vehicles a “small fraction” for that of the Air Force's existing fighter inventory, according to the solicitation. Air Force acquisition executive Will Roper has compared Skyborg to R2-D2, the Star Wars droid that feeds Luke Skywalker helpful information while piloting an X-Wing. Skyborg would build up efficacy on its own via artificial intelligence by working with manned pilots, who would issue commands to the drone and provide feedback on the data presented by it. Last year, Roper told Defense News that the service was exploring the possibility of teaming Skyborg both with the Lockheed Martin F-35 and the Boeing F-15EX aircraft. The ability to team manned fighter jets with smart, autonomous drones could “open up the door for an entirely different way to do aerial combat,” he said in May 2019. “We can take risk with some systems to keep others safer,” he said at the time. “We can separate the sensor and the shooter. Right now they're collocated on a single platform with a person in it. In the future, we can separate them out, put sensors ahead of shooters, put our manned systems behind the unmanned.” Numerous aircraft companies are expected to bid on the Skyborg solicitation. Kratos Defense and Security Solutions is already working with the Air Force on its XQ-58A Valkyrie drone, which logged its fourth successful flight test in January as part of the Low Cost Attritable Aircraft Technology program. Earlier this month, Boeing rolled out its own loyal wingman drone, the Airpower Teaming System. The Royal Australian Air Force has committed to buy three of those systems for experimentation under its Loyal Wingman Advanced Development Program. General Atomics and Lockheed Martin's Skunk Works each plan to offer their own aircraft proposals, according to Air Force Magazine. In fiscal 2021, the Air Force intends to spend $157.6 million across its three “vanguard programs,” which includes the Skyborg effort. The service also included an additional $25 million for Skyborg on its unfunded priorities list, which would allow it to begin integrating UAVs with artificial intelligence software. https://www.defensenews.com/air/2020/05/20/more-than-one-company-could-get-cash-to-build-the-air-forces-ai-equipped-skyborg-drone

  • Coopérations dans l'armement : la France peut-elle vraiment faire confiance à l'Allemagne ? (1/3)

    November 7, 2018 | International, Aerospace, Naval, Land, C4ISR, Security

    Coopérations dans l'armement : la France peut-elle vraiment faire confiance à l'Allemagne ? (1/3)

    Par Michel Cabirol La France et l'Allemagne ont à l'évidence des enjeux et des objectifs différents. La coopération franco-allemande est-elle assise sur des bases saines ? Pas sûr. La France peut-elle vraiment faire confiance à l'Allemagne en matière de politique de défense et d'armement? Pas sûr si l'on en croit le député LREM du Finistère, Jean-Charles Larsonneur, qui jette un pavé dans la mare avec son rapport sur le programme 146 (Equipement des forces et dissuasion) : "L'approfondissement, sans grande publicité et, pour ainsi dire, à bas bruit, du concept de nation-cadre de l'OTAN, consiste à fédérer autour de l'Allemagne les capacités de 17 « petits » pays, ce qui risque de réduire l'intérêt des Allemands pour nos coopérations bilatérales", a-t-il expliqué le 24 octobre à l'Assemblée nationale. L'Allemagne se place dans une volonté de leadership en Europe dans le domaine de la défense, qu'elle a très clairement exprimé dans son Livre Blanc de 2016 et dans sa stratégie dans le domaine des technologies clés. D'ailleurs, l'un des plus influents think tank d'Allemagne, la Stiftung für Wissenschaft und Politik (SWP), synthétise parfaitement la stratégie allemande. Il préconisait en août 2017 que Berlin prenne le leadership militaire de l'Union européenne, et de devenir le pilier européen de l'OTAN en raison du futur désengagement américain. "La Bundeswehr pourrait devenir une épine dorsale de la sécurité européenne à long terme, affirmait la SWP. (...) Cela exige de la volonté du futur gouvernement fédéral d'accepter un leadership politique et militaire dans l'alliance". Un avantage puissant pour l'industrie allemande L'Allemagne a effectivement su se saisir du concept de nation-cadre ("Framework Nation Concept"- FNC) élaboré par l'OTAN à son initiative à partir de 2012. De fait, l'Allemagne, qui a mis en œuvre ce concept, s'est entourée, en tant que nation-cadre, de 19 États membres pour mettre en œuvre des projets de coopération très approfondis, tendant à une véritable intégration pour certains d'entre eux (Pays-Bas notamment). Et pour de nombreux observateurs, ce concept va se révéler être un rouleau compresseur en faveur des intérêts industriels germaniques. C'est un "instrument stratégique qui pourrait servir puissamment les intérêts de l'industrie allemande", a confirmée Jean-Charles Larsonneur. Pourquoi ? Selon Antoine Bouvier, cité dans le rapport du député, l'interpénétration des enjeux capacitaires et opérationnels est profonde. Ainsi, les États partenaires de l'Allemagne ont souscrit l'engagement de porter au standard le plus élevé leurs capacités des chars de combat, ce qui constitue une "formidable opportunité pour KMW ". Cette opportunité est par nature d'autant plus grande que l'intégration des capacités militaires concernées est poussée. Ainsi, l'armée de terre néerlandaise ne pourrait désormais plus être déployée sans la Bundeswehr, tant leur intégration capacitaire est profonde. L'Allemagne, dans ce schéma, tient un rôle d'intégrateur des capacités européennes. Cette ambition s'appuie sur des ressources budgétaires à la hausse : augmentation de 34,3 milliards d'euros en 2016 à 42,9 milliards en 2019 (soit 1,31% du PIB). "Le concept de nation-cadre se constitue de fait comme le pilier européen de l'Alliance ‒ aux yeux d'Américains, mieux vaut voir l'Europe de la défense se constituer dans un cadre de l'OTAN, bien connu, plutôt que dans des constructions européennes moins maîtrisées par eux", a expliqué Jean-Charles Larsonneur dans son rapport. Le SCAF en danger? Un accord politique a été trouvé au plus haut niveau le 13 juillet 2017, formalisé par des lettres d'intention au printemps 2018. Il est convenu que la France aura un rôle prééminent dans la conduite du programme SCAF. Symétriquement, il est entendu que l'Allemagne en aura un dans la conduite du projet de char du futur tout comme elle a obtenu le leadership sur le futur drone MALE européen. Selon Jean-Charles Larsonneur, les industriels français et allemands ne disposent toujours pas d'un cadre réglementaire, ne serait-ce que pour échanger des informations. "Il ressort de mes travaux que la DGA attend des réponses de son équivalent allemand", a-t-il révélé. "Il est donc urgent de poser des jalons aussi irréversibles que possible dans la coopération franco-allemande, tant que le contexte politique le permet", a-t-il affirmé. Jean-Charles Larsonneur est inquiet sur la coopération franco-allemande. "La coopération franco-allemande présente en ce moment quelques signes de flottement", a-t-il estimé à l'Assemblée nationale. Il a cité en exemple la décision des Allemands de décliner la proposition française de développer en commun un missile européen pour le nouveau standard du Tigre, au profit d'un missile israélien, le Spike, comme l'avait révélé La Tribune. Mais selon Antoine Bouvier, le nouveau Spike LR2 n'est qu'au début de son développement et comporte donc des risques technologiques. "Le choix des Allemands pour une joint venture entre Rafael, fabricant israélien du Spike, et RheinMettall ‒ dont le rôle dans ce programme ne paraît d'ailleurs pas être dominant ‒ ne s'explique donc pas principalement par des considérations techniques", a précisé le rapport du député du Finistère. Le concept de nation-cadre permet également à l'Allemagne d'avancer discrètement ses pions dans le domaine des sous-marins. Après avoir fait céder la Norvège (membre du FNC), Berlin tente désormais de séduire la Pologne et les Pays-Bas en vantant un cluster européen sous-marin sous tutelle allemande. Ce qui marginaliserait clairement la France en Europe. En février 2017, la Norvège a commandé quatre U-212 et doit développer avec Berlin un partenariat à vocation mondiale dans le domaine des missiles mer-mer et des systèmes de traitement de l'information. La décision d'Oslo d'interrompre l'appel d'offres et de choisir une évolution du sous-marin en service dans la Marine allemande dans le cadre d'une coopération opérationnelle et industrielle renforcée, risque de faire t'ches d'huile en Europe... La France est en danger. https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/cooperations-dans-l-armement-la-france-peut-elle-vraiment-faire-confiance-a-l-allemagne-1-3-795987.html

  • Cubic Signs Agreement with US Special Operations for Intelligence, Surveillance and Reconnaissance R and D

    February 28, 2020 | International, Aerospace

    Cubic Signs Agreement with US Special Operations for Intelligence, Surveillance and Reconnaissance R and D

    February 27, 2020 - Cubic Corporation (NYSE: CUB) today announced that its Cubic Mission Solutions business division signed a cooperative research and development agreement (CRADA) with Special Operations Forces Acquisition, Technology and Logistics (SOF AT&L) to work on research and development (R&D) for cutting-edge airborne payload technologies for use within the Department of Defense. The effort will primarily be performed by ISR Systems, a wholly owned subsidiary of Cubic Corporation. This press release features multimedia. View the full release here: https://www.businesswire.com/news/home/20200227005246/en/ “We are pleased to join forces with SOF AT&L to support its mission in developing advanced and innovative technologies in support of global special operations,” said Jerry Madigan, president of ISR Systems, Cubic Mission Solutions. “The CRADA agreement offers a great framework for Cubic's autonomous systems team to collaborate and to share information.” Cubic delivers a low risk, robust Unmanned Aircraft System (UAS) ISR platform with a highly expeditionary footprint to satisfy and enhance any ISR mission. Cubic's ISR-ONE offers a unique blend of high capability and performance, delivered within a Group III UAS platform. About Cubic Corporation Cubic is a technology-driven, market-leading provider of integrated solutions that increase situational understanding for transportation, defense C4ISR and training customers worldwide to decrease urban congestion and improve the militaries' effectiveness and operational readiness. Our teams innovate to make a positive difference in people's lives. We simplify their daily journeys. We promote mission success and safety for those who serve their nation. For more information about Cubic, please visit www.cubic.com or on Twitter @CubicCorp. View source version on businesswire.com: https://www.businesswire.com/news/home/20200227005246/en/

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