July 29, 2024 | International, Land, Security
‘Not prepared’: Congressional panel calls for huge defense buildup
A group of experts tasked to review America's defense strategy argued the U.S. isn't ready for threats from China and Russia.
February 19, 2019 | International, Aerospace
ARLINGTON, Va., February 18, 2019 – Boeing [NYSE: BA] and the U.S. Navy have received U.S. Department of Defense approval to offer the EA-18G Growler to Finland. Previously only Australia had been authorized to purchase the airborne electronic attack (AEA) aircraft.
Boeing and the Navy have offered the Growler and F/A-18 Super Hornet in a response to query issued by the Finnish Ministry of Defense as part of their HX fighter program procurement.
“All strike fighter aircraft rely on Growler escort to increase survivability during high-threat missions,” said Dan Gillian, Boeing vice president, F/A-18 and EA-18G programs. “The combination of the Super Hornet Block III and Growler would provide Finland with superior technological capability particularly suited to Finland's HX mission requirements.”
An F/A-18 variant, the Growler is the world's most advanced AEA platform and the only one in production today. It's capable of disrupting, deceiving or denying a broad range of military electronic systems including radar and communication systems.
In addition to the U.S. Navy, the Growler is flown by the Royal Australian Air Force.
July 29, 2024 | International, Land, Security
A group of experts tasked to review America's defense strategy argued the U.S. isn't ready for threats from China and Russia.
July 9, 2022 | International, Aerospace
The Air Force Research Laboratory and the Space Force are working to transition a lab-developed interface called the Global Unified Environment that would allow combatant commands to buy satellite imagery from commercial providers and allied partners.
November 5, 2020 | International, Naval
SIMON CHODORGE TECHNOS ET INNOVATIONS , INTERNATIONAL , ROYAUME-UNI , CONSTRUCTION NAVALE (CIVILE OU MILITAIRE) , DÉFENSE PUBLIÉ LE 04/11/2020 À 08H08, MIS À JOUR LE 04/11/2020 À 09H17 Le gouvernement a annoncé le 3 novembre le lancement de la réalisation du système de lutte anti-mines futur (ou SLAM-F). Thales a déjà construit un prototype dans le cadre de ce programme d'armement innovant. Le système de lutte anti-mines futur (ou SLAM-F) se précise. Mardi 3 novembre, le gouvernement a officialisé “le lancement en réalisation” du programme d'armement. Dès 2022, la Marine nationale s'équipera de drones sous-marins et de surface pour affronter la guerre des mines. À quoi va servir le SLAM-F ? “Le SLAM-F remplacera à terme tous les moyens actuels de guerre des mines (chasseurs de mines tripartites, b'timents remorqueurs de sonars, b'timents bases de plongeurs démineurs)”, rappelle le ministère des Armées dans un communiqué. Concrètement, il permettra aux forces françaises de neutraliser des mines à distance à l'aide de drones, afin de ne plus exposer des plongeurs ou des marins. “Ce système nous permettra de détecter des objets de la taille d'une carte bleue – c'est 30 fois plus petit qu'avec nos moyens actuels. Notre capacité de détection et de neutralisation ira jusqu'à 300 mètres de fond, contre seulement une centaine de mètres avec nos moyens actuels", détaillait la ministre des Armées, Florence Parly, lors d'un discours en mai. Les drones démineurs du programme auront notamment pour mission d'assurer la sécurité d'unités stratégiques de l'armée française : celle des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), piliers de la dissuasion nucléaire, ou encore celle du porte-avions Charles de Gaulle. Le ministère des Armées mentionne aussi des usages pour protéger l'accès aux ports français, soutenir le déploiement d'une force d'action navale, sécuriser l'évacuation de ressortissants français ou participer à la prévention de crises. Un programme d'armement à plusieurs étages Comme le système de combat aérien du futur (SCAF), le SLAM-F comportera plusieurs volets. Au coeur de cette architecture, on retrouve des systèmes de drones capables d'être opérés depuis la terre ferme ou depuis un navire militaire dédié. La France et le Royaume-Uni collaborent depuis 2012 sur ce volet baptisé MMCM (pour “Maritime mines counter measures”). En 2015, le groupe français de défense Thales avait été désigné chef de fil industriel de ce volet. “L'étude de définition et la réalisation des prototypes du système de drones ont été confiés à Thales, dont la société Études et constructions aéronautiques [ECA, filiale du groupe Gorgé] sera le principal sous-traitant français”, confirme le ministère des Armées dans son communiqué. Thales avait déjà testé un chasseur de mines ultra-moderne en 2019 en collaboration avec la Marine nationale. Le groupe français fait figure de champion dans ce domaine. "Plus de 30 marines dans le monde sont équipées de sonars de guerre des mines Thales", soulignait Florence Parly en mai. Des livraisons prévues jusqu'en 2030 Le SLAM-F contient trois autres volets : des b'timents de guerre des mines (BGDM) dédiés à la conduite et à la mise en oeuvre des drones, des b'timents bases de plongeurs démineurs nouvelle génération (BBPD NG) et enfin un système d'exploitation des données de guerre des mines (SEDGM). Dans son communiqué, le ministère ne nomme pas d'autres entreprises participant à ce projet. “L'organisation industrielle de SLAM-F sera progressivement définie lors de l'attribution des marchés afférents aux différents volets du programme”, indique simplement le gouvernement. Le calendrier du SLAM-F prévoit la livraison de huit systèmes de drones anti-mines à partir de 2022. À l'horizon 2030, quatre à six BGDM devraient compléter les flottes françaises avec cinq BBPD NG. https://www.usinenouvelle.com/editorial/la-france-choisit-thales-pour-son-systeme-de-lutte-anti-mines-du-futur.N1024039